Le gouvernement socialiste et une tranche d’UMP à l’assemblée nationale ont fait voter le droit au mariage pour les sodomites et les lesbiennes français qui le désirent.
C’est la réalité de l’homosexualité.
La perfidie des hommes politiques hexagonaux (qu’ils aient fait voter la loi ou qu’ils l’aient combattue), associée à celle des journalistes qui ont commenté l’événement pendant des semaines et des semaines, consiste dans la formulation du concept : mariage gay...
Cet anglicisme doucereux (soft) est utilisé juste pour éviter la réalité crue (et à croire). Pour une telle précipitation dans leur feuille de route gouvernementale, Me Taubira avec l’aval de M. Hollande, président des socialistes, n’ont pas hésité à repousser le débat sur la loi (elle ne passera jamais c’est une certitude vu la pourriture ambiante) sur le droit de vote aux étrangers à.... après les élections municipales de 2014 !!
Dans les banlieues communautarisées de France où vivent depuis des décennies des étrangers qui ont toujours consommé ici (parents pour la plupart de deux ou trois générations de français) ON pense très sérieusement (sans être homophobe pour autant) que la population sodomite et lesbienne, constitue un vivier d’électeurs évident pour le parti socialiste dans les échéances éléctorales à venir.
Seront-ils plus nombreux que les électeurs français issus de l’immigration... non homosexuels s’entend ?
Habitants des quartiers communautarisés, les Français issus de l’immigration, ont en effet vu la hiérarchie dans la priorité socialiste, spolier leurs parents d’un éventuel droit civique. Droit ponctuel qui aurait largement concourru à la concorde nationale dans des temps de crise exacerbée dans ces banlieues. De toute manière, les socialistes ne l’avaient pas fait en 1981, 1988, 1995 avec Jospin...idem donc avec Hollande.
Pour qui vraiment peuvent voter les Français issus de l’immigration ?