C’est assez drôle parce que cette scène renvoie exactement à un entretien de Soral où il disait que même en courbant l’échine devant nos maîtres, ils nous haïraient d’autant plus et nous cracheraient tout le temps à la gueule.
C’est le cas avec les sionistes, et on voit maintenant bien que c’est le cas aussi avec le lobby gay. Ahah, comme le disait Reynouard accepter les règles de ce jeu truqué dès le début, c’est accepter de perdre par avance.
Cette idiote utile n’a que ce qu’elle mérite. Un véritable leader pour lutter contre ce projet de loi aurait profité de l’occasion pour recontextualiser cette loi dans le processus auquel elle appartient. Il ne se serait pas contenté de toujours baisser les yeux et de dire "on n’est pas homophobe", comme s’il fallait montrer patte blanche devant nos dominants, un peu comme Marine Le Pen qui doit toujours faire des courbettes pour dire "non, je ne suis pas raciste".
Bref, plus j’observe cette "contestation institutionnalisée" (défiler sur un parcours balisé pour ne pas se faire étendre, et se faire matraquer par la police dès qu’on utilise un tant soit peu sa liberté d’expression pour sortir dudit parcours balisé) et plus je comprend les dires de Soral.
Parce que CETTE forme de contestation ne fonctionne pas, et que celle passant par la résistance violente/armée est vouée à l’échec et à la destruction de vies de personnes bien intentionnées à la base ; il ne reste que la formation, l’entraide, le réseau et la patience.
La patience avant un possible coup de force, attendre le point d’inflexion historique qui permettrait à 1% de la population française de prendre le pouvoir et chasser cet actuel pourcent qui est bien évidemment sur une autre ligne que la nôtre.
Car il ne faut pas se leurrer : si révolution il y a, elle ne se fera pas par une prise de conscience massive de la population. Ce sera le fait un petit pourcent de gens éclairés, formés et motivés qui pourront alors "manipuler" la masse et l’utiliser à bon escient. Mais en attendant, formons-nous camarades..