Le FBI organise presque tous les complots terroristes aux États-Unis
21 avril 2013 01:15, par PropergolTactique élémentaire. Ça n’a rien de scandaleux, ni d’exclusif, une lecture aristotélicienne de la chose ne pourrait que conduire à une déduction en forme de certitude absolue folklorique et idéologique. l’une des possibilités n’en empêchant pas des milliers d’autres (a moins de réfléchir comme au XVIIIe), la création, ou l’incitation -plus sérieusement-, n’indique pas que TOUT est ainsi. Le rapport basique de cause a effet, superstitieux, est un fléau et sans doute un symptôme de manque, brut, d’intelligence. (ce que recherche la publication de l’article après les événements de Boston) et relève du bidouillage médiatique de bas étages et, a vrai dire de la malhonnêteté intellectuelle via un vulgaire procédé d’association d’idées. Praxis : quand je lis l’article, recontextualisé, je pense confessions intimes - remi gaillard.
Bref... a chacun ses méthodes...
Ce qui est scandaleux, serait de ne pas concevoir qu’une nation utilise des moyens clandestins à son profit, et, a moins de se croire bisounours ou de vivre dans un nuage rose ou encore d’avoir le QI d’une huitre et/ou la culture d’un producteur de TF1, c’est la moindre des choses pour maintenir son intégrité ou son hégémonie. Qui voudrait vivre dans une telle nation de baltringues bonne a se faire enfiler en permanence ?
C’est le règne du mensonge, surtout pour ceux qui découvrent brusquement le jeu d’ombres, comme s’il était tout a fait nouveau. Cet article n’apporte rien (sinon une vague polémique, du reste les faits datent d’à peu prés deux ans) que les récits antiques, médiévaux, ou traités stratégiques (je pense au Chinois par exemple) n’aient déjà maintes fois expliqués. D’autant qu’une brève lecture d’historiens américains, de criminologues ou même d’Elroy propose une histoire similaire avec Cosa Nostra, les mouvements noirs ou les coco (largement étoffés de preuves et sans fantasmes y compris chez Elroy). Bref, un pétard mouillé qui fait de jolies couleurs, fragrance patchouli réchauffé et doit faire vibrer la quequette du "révolté", en lui rappelant vaguement à l’esprit, sous couvert de moralité, qu’il ne doit pas oublier de demeurer absolument émotif dans sa représentation du monde et, au passage, pourquoi pas, gueuler un peu sans raison sur l’un ou l’autre.
"il est toujours bon de voire poindre un sourire chez ces édentés" doit penser le poster de l’article.