Il faudrait aussi comprendre un jour que la bourse n’est pas le reflet de l’économie au sens général mais de la rentabilité de certaines sociétés, généralement multinationales (si ce n’est par leur emprise économique au moins par leur schéma d’investisseurs et de financement) qui ont cloisonné avec les politiques qu’elles contrôlent par la presse et donc qu’elles tiennent par... les bourses, le monde économique en 2 :
elles d’un côté, qui ont accès aux financements, aux investissements et qui sont macroscopiquement (au sens pas chacune d’entre elles) protégées par leur lobbying
les autres d’un autre côté, qui se font étriller et dont les indices ne traduisent pas la débâcle (PME en général).
Globalement, les entreprises cotées se sont mise dans un club qui leur permet de siphonner les ressources financières des autres entreprise, elles, asphyxiées et dont les activités, marchés, actifs sont reprises pour des bouchées de pain par les premières.
Il faut arrêter de penser que la bourse est le reflet de l’activité globale qui est en baisse, elle reflète celle d’une partie du système qui ne se dégonfle pas, peut même gonfler un peu juste parce qu’elle siphonne l’autre qui n’est pas protégée.
Pas durable, pas juste, but who cares ?*
Si votre boite le fait et vous verse un salaire et des primes, vous vous intéressez au concurrent mis à sac ?...