Deux hautes figures du Grand Orient de France condamnées
13 mars 2013 12:27, par profaneCOMBIEN DE REGION ET DE VILLE FRANCAIS COMME CA ,,,,,,,, ??? le poisson pourri toujours par la tête...edilités merdeuses..administration copieuse...pays sinistré et fouttu...
EXCLUSIF. Marseille : soupçons sur certaines enquêtes de la police
Un témoin a été auditionné lundi dans le cadre de l’enquête préliminaire ouverte début janvier contre la police marseillaise.
Extorsion de fonds, vol en bande organisée, vol de carburants administratifs, infraction à la législation sur les stupéfiants, vol aggravé." Ce sont les motifs pour lesquels le parquet de Marseille a ouvert, début janvier, une nouvelle enquête préliminaire contre la police marseillaise. Cette fois, ce ne sont plus des policiers de la BAC Nord qui sont dans le collimateur, mais des fonctionnaires d’autres services : sûreté urbaine, PJ...
Selon nos informations, cette nouvelle affaire aurait été déclenchée sur la base d’un rapport rédigé par d’anciens policiers et remis au procureur de la République, Jacques Dallest. Ce document apporterait un nouvel éclairage sur plusieurs affaires qui ont défrayé la chronique : règlement de comptes, coups de feu...
Du coup, l’IGPN, la police des polices, doit se replonger dans les vieux dossiers. Avec en ligne de mire la manière dont les enquêtes ont été menées par certains services d’investigation, dont la sûreté départementale spécialisée dans les stupéfiants. Les "boeufs-carottes" s’intéressent aussi aux liens entre un officier de l’état-major de la direction de la sécurité publique, dirigée à l’époque par Pascal Lalle, et la police judiciaire, chapeautée par Roland Gauze.
affaires sensibles revisitées
Parmi les dossiers réexaminés : une affaire de coups de feu dans la cité des Lauriers dans le 13e arrondissement. À l’époque, l’enquête avait conclu que les policiers avaient agi en état de légitime défense. Les "boeufs-carottes" vérifient si tel était bien le cas. Autre affaire sensible revisitée : le règlement de comptes, en 2008, entre dealers des cités des Iris et des Flamands. L’affaire s’était soldée par la mort d’un jeune sur fond de trafic de stupéfiants. Le procès s’est tenu en mars 2012.
Selon la version officielle, des dealers auraient tabassé à mort un autre dealer accusé de les avoir volés. Mais dans le mémoire remis à Jacques Dallest, c’est une tout autre version qui est défendue. En réalité, les auteurs du lynchage se seraient fait dérober une sacoche contenant 4 000 euros tirés de la revente de stupéfiants par des policiers. Pour se rembourser, ils se seraient alors rendus dans le quartier des Iris voler des dealers. Et l’affaire aurait dégénéré. Hier, l’un des auteurs du fameux rapport a été longuement entendu comme témoin au siège de la police des polices de Marseille.