Analyses d’Alain Soral sur Hugo Chavez
8 mars 2013 19:33, par comte Vergil
Peut-on seulement comparer notre nation française en période de désindustrialisation et confrontée aux défis du post-colonialisme avec l’état du Venezuela ? Les éléments constitutifs d’une cohésion sociale sont tributaires d’une prise de conscience collective de sa nécessité.
L’empire oligarque luciférien resserre petit à petit ses filets autour du Moyen-Orient, fomenté dès le XIXème par Albert Pike, et il est à peu près certain (sauf révolution) que nous allons vers un terrible affrontement qui destituera systématiquement toute tentative de médiation. Intimement convaincu de l’impasse dans laquelle nous nous efforçons de nous embourber jour après jour, le monde athé s’épuisera psychologiquement et moralement à trouver une issue aux problèmes soulevés par les enjeux économiques et énergétiques (Rareté sartrienne). Si Spinoza considérait que nous vivons dans le meilleur des mondes, Antonin Artaud déclarait que la malédiction de l’homme réside dans son incapacité à penser son propre cadavre.
Merci tout de même à Messieurs Soral, Meyssan, Dieudonné, Jovanovich, etc, véritables penseurs des temps modernes, qui ont su donner à mon adolescence des raisons de ne pas sombrer dans la folie. Retenez l’adage que nul n’est prophète en son pays ! L’Egalité et la Réconciliation dans un monde millénaire où l’inégalité et la division sont des constantes, sont à mes yeux cernés des idéaux kantiens, l’homme de misère ne trouvera son salut et son accomplissement qu’en faisant la paix avec lui-même à travers les âges. Soyez tous audacieux, prudents, alertes, sérieux, et souvenez-vous que l’homme sait qu’il ne sait rien.