C’est fait.
NOUS NE SOMMES PLUS sous la LOI FRANCAISE (ni européenne), mais directement sous la Loi des KEHALIM.
Cette année 2013 marquera un tournant dans la SOUMISSION de nos principes du droit à ceux d’un nouvel occupant, le droit des kéhalim.
Ces lois des ghettos de l’Europe de l’Est terrorisaient les pauvres juifs, provoquant même des autodafés et des pogromes intra-juifs.
Dans ce contexte Dieudonné est victime d’un herem ; il est condamné à ne plus pouvoir travailler en France. N’importe qui peut de facto interdire son spectacle, puisque ces pratiques sont devenues la règle.
Il est condamné –comme ses organisateurs et comme son public : au dernier moment, sans être entendu, sans contradiction possible.
Dans notre pays, -HELAS- la liberté de la presse est sans limite puisqu’elle tangente le MONOPOLE,
et cette presse s’acharne sur Dieudonné.
Par contre, la liberté de parole est OUVERTEMENT et CYNIQUEMENT bafouée sur SCENE où n’accèdent pourtant que des spectateurs avertis, volontaires et payants.
Ces dénis de justice répétés encouragent les protestataires vers des excès sans fin.
Rappelons nous que ces mêmes excès qui jadis avaient visé Spinozza, sont allés de l’anathème jusqu’à l’assassinat.
A méditer