Enfin un article parlant de la Suisse sur E&R, c’est pas trop tôt.
Le 8 août 2011, de mémoire, a été un jour funeste pour la Suisse puisque son franc a été indexé sur l’euro, comme une bouée attachée à gigantesque bateau entrain de sombrer.
Ainsi, le 8 août 2011 le dernier pilier de la souveraineté de la Suisse est tombé !
Ils ont même voulu en rajouter une couche 2 mois plus tard en plafonnant non plus à 1.20 mais à 1.40 ! Heureusement, la Suisse y a échappé pour le moment.
La campagne propagandiste de la TSR et des journaux-torchons était clair : faire de la dévaluation compétitive pour, tenez-vous bien, sauver les entreprises exportatrice et le tourisme !
Argument grossièrement fallacieux car :
La Suisse n’ayant pas de matière première, ce qu’elle perd à la vente de produits manufacturés, etc. elle le gagne à l’achat de matières premières. Ainsi, la situation reste stable.
Le tourisme suisse ne vise pas des back-packers, des aventuriers, etc. mais plutôt des petits bourgeois et des saoudiens prétextant faire du tourisme pour planquer leur argent dans les banques.
Pour les autres, il aurait suffit de subventionner le tourisme puisque la Suisse était en bilan positif.
Attention, c’est du sérieux, tous les plus grands professeurs d’économie des facs suisses ont validé ces foutaises.
En réalité :
La Suisse a reçu la visite du groupe Bilderberg quelques temps avant cette conspiration. L’Espagne l’avait reçue, et la Grèce aussi, l’année de leur effondrement, si je ne me trompe pas.
La Suisse a céder d’une manière ou d’une autre à la pression des mondialistes en dévaluant sa monnaie, la seule qui n’était que partiellement fiduciaire dans toute l’Europe (avec la Suède peut-être).
La BNS a opéré cela seule, sans aucune consultation du peuple, en prétextant l’état d’urgence, en plein durant les vacances d’été.
Celui qui a mis a jour le délit d’initié de l’escroc Hildebrand, le directeur de la BNS lui-même (qui s’est empoché des sommes gigantesques en achetant du dollar juste avant la dévaluation, pour le revendre tout de suite après) était Blocher, le chef de l’UDC, le parti nationaliste suisse.
Aucun référendum populaire n’a eu lieu. La campagne de propagande a bien fonctionné, normal, les Suisses sont des cibles faciles. La propagande était même placardée au guichet de certaines banques !
Honte éternelle sur les autorités suisses !
MAGNA VERITAS