Paris, 18 novembre 2012 : manifestation contre le mariage homosexuel et l’homoparentalité
18 novembre 2012 15:53, par MivilleJe vous encourage vivement à manifester de toutes vos forces pour que cet infâme projet de loi reste lettre morte éternellement. Vous avez là de quoi inverser tout mai 68 et toutes ses funestes conséquences. Il n’est pas vrai que les gays ne demandent qu’à vivre en paix chez eux : c’est un militantisme, un sectarisme qui ne prospère qu’à coup de conversions tonitruantes. L’homosexualité militante est bel et bien une religion, à regarder sous la loupe comme la secte Moon par exemple. Aucun enfant ne choisit ni ne choisirait rétrospectivement de grandir dans une famille homo-parentale, voire même dans une famille apparemment normale, mais où un des conjoints pratique l’homosexualité.
Je conçois qu’il y ait une ou deux villes dans le monde à se singulariser par des défilés de gays, mais je conçois à plus forte raison que d’autres villes, beaucoup plus nombreuses, votent à grande majorité pour ne pas avoir ce genre de manifestation. Ce que je conçois en place du mariage gay, c’est un concept plus englobant, plus tolérant encore de nature à clouer le bec à tous ces impudiques déchaînés : c’est le mariage blanc, où deux individus se promettent l’un à l’autre assistance mutuelle en tous domaines sans se promettre des rapports sexuels l’un à l’autre. Le mariage blanc fait partie de la coutume indo-européenne la plus traditionnelle, en Allemagne depuis Guillaume et aussi en Inde dans le cadre de la société des guildes et des castes. Le mariage blanc est idéalement chaste, il peut joindre des gens de même sexe aussi bien que de sexe différent (on peut tomber follement amoureux de quelqu’un de même sexe du fait que le coup de foudre est une affaire de coeur, non de génitalité), il peut quelques rares fois être homosexuel de fait, mais l’homosexualité ne doit jamais être mise en avant comme étant sa partie la plus intégrante, ni non plus mentionnée dans sa cérémonie ou dans sa revendication politique.
Un enfant quant à lui a le droit sacré de grandir dans une famille normale consacrée par un mariage au sens biologique, même s’il est adopté, car c’est seulement bien après la puberté qu’il est en mesure de faire ses choix sexuels. Un couple issu d’un mariage blanc ne peut adopter d’enfants que post-pubères (l’institution a souvent servi dans le passé à l’adoption de disciples : un exemple est Aurobindo et la Mère en Inde) et non jamais obligés à adopter le style de vie sexuel des parents en principe platoniques.