RBS et Commerzbank attaquent Dubaï pour impayés
20 septembre 2012 17:49, par Galaga
"notre préférence est toujours de conclure un accord à l’amiable sans recourir à des moyens juridiques"
Quand un créancier fait une telle remarque devant les médias, c’est que son débiteur royal se fout royalement de ses menaces juridiques.
Les banques ne peuvent pas faire saisir les biens de l’émir Ben Rachid. Elle ne peuvent qu’appeler à l’aide le gouvernement des pays où elles sont établies, pour qu’ils les les renflouent aux frais de leurs contribuables (c’est à dire faire du racket bancaire version 2.0).