En fait, Benoist nous dit que les gouvernements d’occupation en Occident auraient peur de ce que pourrait être la Syrie sans Bachar el-Assad et sans le pouvoir du clan Allaouite
qui est ce qu’il est mais qui assure néanmoins une certaine paix civile entre toutes les confessions. C’est oublier les épisodes de l’Irak, de l’Afghanistan, de la Libye, de l’Egypte et de la Tunisie. Demander encore à ce que l’on vérifie les véritables intentions, c’est nier qu’il existe une politique bien établie qui est actuellement suivie par la finance, véritable détenteur du pouvoir mondialiste aujourd’hui situé aux Etats-Unis par sa puissance intrinsèque. Ce pouvoir mondialiste pourrait très bien se trouver dans un autre pays si l’avenir était à cet autre pays. C’est bien le choix qui a été officiellement effectué à la fin de la première guerre mondiale, la Finance ayant délaissé l’Allemagne pour le monde anglo-saxon. Que Fabius n’ait aucun pouvoir, on s’en doute bien. Ce ne sont que des suivistes. Il est évident que la politique étrangère s’est littéralement effondrée ces dernières années. Je trouve que l’intervention de Besnoit laisse planer le doute alors qu’en la matière, il n’y a plus a en avoir.