Les jeux olympiques rosbifs, c’est pour épater les épatables.
Ça m’intrigue toujours de voir ces phénomènes sportifs. C’est pourquoi, dernièrement, j’ai jeté un coup d’œil attentif sur deux exhibitions sportives retransmises par Eurosport.
Les championnes de courses, rosbifs en particulier, étaient remarquables. Elles sont capables de faire un sprint de 400 mètres et d’arriver premières sans être le moins du monde essoufflées. Un vrai miracle quand je repense à moi malade à en être presque canné après seulement un sprint de 250 mètres.
Comment font-elles ? On leur a sorti la rate ou quoi ?
J’ai aussi remarqué aussi au moins un coureur qui, avant la course, devant les starting-blocks, pratiquait l’hyperventilation. Il respirait d’une manière très ample et assez rapide en attendant le départ. Ça, en principe, c’est permis, car c’est naturel contrairement à la seringue. Si ça ne vous déclenche pas un sentiment océanique (ou cosmique, un truc surnaturel qui vous laisse présager des choses), ça vous permet, en vous saturant d’oxygène, de ne pas avoir besoin de respirer pendant plusieurs minutes. C’est très utile surtout pour prendre les grosses déferlantes.
Pour finir, avec ce coureur, je n’ai pas remarqué s’il était essoufflé à l’arrivée.