CNBC admet que nous sommes tous esclaves des banquiers
2 juillet 2012 10:18, par Gotfried
Mouais. Ils se bornent à dénoncer le système de banque centrale, comme si le reste de la finance subissait sa loi sans aucunement y participer. Comme si les banques centrales, dans leur forme actuelles, n’étaient pas au contraire un outil mis en place par les acteurs financiers pour mettre l’économie réelle en coupe réglée, et disposer de la capacité d’imposer même aux responsables politiques les plus hauts placés et au mépris de la colère du peuple des choix dont ils sont les seul à tirer bénéfices. Comme si la banque dans sa forme actuelle, la spéculation et en particulier sur les matières premières n’étaient pas des activités relevant de la plus incurable saloperie morale, et nécessitant les corrections les plus vives et exemplaires. Comme si le bien être des peuples n’était pas passé à pertes et profits dans les bilans des institutions financières aux comptes virtuels et truqués.
Ces "économistes" font partie du système, ils ne le remettent nullement en cause dans son essence, et ne pointent surtout pas du doigt que vu comme on châtie les voleurs de sacs à main, il n’y a pas sur Terre de punition suffisante pour faire payer les banquiers qui organisent et vivent du malheur et de la ruine des peuples. Jovanovic est infiniment plus pertinent : un banquier est essentiellement un ennemi de l’humanité doté d’une intelligence satanique à prospérer du mal qu’il cause.