Je te tiens, tu me tiens par le Forcari.
9 avril 2012 22:29, par fiermarin
Je ne connaissais pas le passé sulfureux de ce Forcari. Ce qui explique sans doute “ce petit zèle à quoi on les reconnaît” !
Je n’irais pas jusqu’à dire que les journalistes sont tou(te)s des « putes »... mais bon, tout de même, faut bien reconnaître que c’est une profession où la soumission, plus ou moins tarifée et consciente, y est monnaie courante. Et plus il y a soumission, plus il y a zèle !