Une lycéenne à qui l’on reproche une jupe trop longue
2 avril 2012 12:58, par MG 42
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Parfois, quand on vous enseigne que l’école de la République est l’école du vice, l’école du mal, l’école de satan, vous trouvez peut-être cela exagéré. Il n’en est rien, je parle d’expérience : j’en viens ! L’école de l’Etat, c’est une école de haine et de déchéance. On y apprend à haïr l’Eglise, à haïr la France. On y apprend, dès l’école primaire, la débauche et l’impureté dans les cours de récréation. Dans le lycée de mon cousin, le professeur de philosophie se droguait et incitait les élèves à faire de même. L’école officielle est en faillite. Les enseignants s’en moquent. La réussite scolaire, ils n’en ont rien à chaloir : peu importe que les élèves soient analphabètes, ce qui compte, c’est qu’ils soient les zélotes dociles du régime, dressés comme des pitbulls dans la haine du déviant, du non-conforme…
Il suffit d’ailleurs de lire l’évolution de la rubrique faits-divers des journaux, de l’école publique ou para-publique et ses 1500 viols par an
Le plus intéressant de l’article est le profil des parents qui réussissent à contourner la carte scolaire. En tête… les enseignants (tiens, tiens…), les journalistes, les cadres et les personnalités… Bref, toutes ces crapules qui à longueur de journée nous imposent un cosmopolitisme et un métissage censé être « une chance, un enrichissement » mais dont ils se gardent bien de faire « profiter » leurs enfants…C’est bon pour les gueux ça. Pour ne pas dire les goïm…
Et tous les enseignants contribuent à ce que Nietzsche appelait « die Verstimmviehung des Menschen », la bovinisation de l’individu à qui on apprend à approuver entre deux positions (comme en politique entre l’UMP ou le PS, tous les autres partis étant éliminés par des manipulations du système électoral) ». Quand cet axiome a été intégré à son système d’analyse conceptuelle, tout s’éclaire.