Le halal « casherisé » à l’assaut du marché français
26 février 2012 17:54, par A B
J’ai égorgé moi-meme (1ere fois) pour laîd elkebir : avec mon plus grand respect, amour et dignité que je devais à cet agneau, je confirme que cet acte m’a raproché du monde animal, m’a responsabilisé, m’a fais prendre encore plus conscience que nous ne traitons pas à leurs juste valeur les animaux qui nous nourrissent et les autre....
bref, pour moi sacraliser la mort dans le but de nous nourrir reste un acte majestueux comparé à un abattage à l’arraché dans une machine.