Au sommaire de ce soixante-seizième « Bulletin d’information politico-stratégique » :
Censure sur YouTube
Front militaire
Front des sanctions
Au sommaire de ce soixante-seizième « Bulletin d’information politico-stratégique » :
Censure sur YouTube
Front militaire
Front des sanctions
RDP | Mars 2022 |23 | DéfenseÉconomieGéopolitiqueInternationalPolitique |
01:28 Pourquoi ces vidéos sordides ? 03:32 Où est passé Sergei Shoigu ? 04:37 Gamelins ou Instagrameuses ? 05:15 Révélations de l’état-major russe : ‑ Pertes russes ‑ Pertes ukrainiennes 07:27 Révélations de l’état-major russe : ‑ Solution croate ‑ Macron était-il au courant ? ‑ Offensive russe tous azimuts ‑ Destruction de l’armée ukrainienne à l’est 11:45 Rouble à volonté et nouveau monde 14:30 Macron et (...)
Cet article a été vu 28752 fois Popularité : 1 Commentaires : 43 |
Article précédent En bref – Samedi 2 avril de l’an de grâce 2022 |
Article suivant Le porte-parole du Kremlin sur Depardieu : "Je pense qu’il ne comprend pas tout ce qui se passe" |
AVERTISSEMENT !
Eu égard au climat délétère actuel, nous ne validerons plus aucun commentaire ne respectant pas de manière stricte la charte E&R :
- Aucun message à caractère raciste ou contrevenant à la loi
- Aucun appel à la violence ou à la haine, ni d'insultes
- Commentaire rédigé en bon français et sans fautes d'orthographe
Quoi qu'il advienne, les modérateurs n'auront en aucune manière à justifier leurs décisions.
Tous les commentaires appartiennent à leurs auteurs respectifs et ne sauraient engager la responsabilité de l'association Egalité & Réconciliation ou ses représentants.
Suivre les commentaires sur cet article
Et si encore les EU revendiquaient cette domination qu’ils ont sur nous, comme "La Loi du plus fort" !
Mais non, ils revendiquent d’être appelés DEMOCRATIE !
Mais c’est ça la "démocratie " ! Où a-t-on vu démocratie où c’est le peuple qui gouverne ? Où a-t-on vu démocratie qui n’est pas corrompue ? Où a-t-on vu une démocratie qui n’est pas dirigée par des lobbies ? Enfin où a-t-on vu démocratie qui ne s’est pas terminée en guerre civile ou en bordel généralisé !
Escathologie, économie et géopolitique pour tout comprendre, dixit Alain Soral.
Très bonne intervention de Xavier concernant les "vidéos sordides". C’est horrible à voir et ça ne fait pas avancer les choses. Encore une preuve qu’il a la tête sur les épaules, ce qui est un secret de Polichinelle.
Durant ma carrière, j’ai eu, à partir de la fin des années 90, comme ami un policier de la section antiterroriste qui me disait que, dans les séances d’instruction, on montrait à ses collègues et à lui même des tchétchènes qui avait capturé des soldats russes et les torturaient en leur faisant sauter les doigts un par un avec un pistolet 9mm. La donne ayant changé, je suppose que maintenant, on va voir un soldat tchétchène gifler un soldat ukrainien. Cet occident puant dégage de plus en plus une odeur pestilentielle...
il fait des bonnes analyses mais il est à la limite de l’idolaterie, piège dans lequel il ne faut pas tomber (à l’exception du christ).
La Russie a son vaccin sputnik V prêt pour injection par voie nasale, qu ils comptent administrer à leur population tous les 6 mois.
Niveau covidisme, l’agenda est le même en Russie.
ça signifie que Poutine obéit toujours à schwab et au cartel bancaire qui est derrière.
Poutine a mis la main sur les labos d’armes biologiques d’Ukraine , il doit pourtant avoir les détails du couillonavirus.
Quant à la dedollarisation, il ne faut pas s’en réjouir tro vite. Le deep state ne va pas rester les bras croisés à regarder leur pouvoir s’eroder. La 2eme guerre est arrivée 7 ans après l’élection du fuhrer. Churchill à dit que la plus grande faute de l’Allemagne à été de vouloir sortir du système financier globalisé.
on peut imaginer que la finance à new York et Londres est en train de préparer un scénario similaire en ce moment. "judea declares war against germany". demain, "judea declares war against russia" ? C est l’Europe et la Russie qui seront poussés à s’entre tuer une nouvelle fois. l’économie européenne décimée d’ici la devra recourir à un nouveau lend lease act de nos amis ricains, ce qui leur permettra de se refaire une santé économique.
les chinois resteront en retrait. L’Europe sera le grand perdant à tous les niveaux.
C’est vrai que la séquence Covid "made in Russia" reste une très grande interrogation pour moi .
Un type qui peut décider de faire la guerre à l’Ukraine ( et contre la terre entière par la même occasion ) mais qui ne peut pas s’opposer a un processus satanique d’injection mortelle et de mesures liberticides, complètement débiles sous prétexte d’un rhume dans son propre pays ?!
Cela pose effectivement question.
Si je peux me permettre, il y a avait plus de puissance dans l’Occident encore plein de vitalité et de valeurs des années 30 du vingtième siècle, que dans l’occident putride et morbide des années 20 de notre siècle. Les USA étaient en pleine ascension, tandis que de nos jours ils sont en crise existentielle et n’arrivent plus a gagner une guerre.
Et l’alliance des Chine Russie Inde Brésil est sans doute plus puissante, avec plus de ressources et moins isolée que l’Allemagne Italie Japon de l’époque.
Et s’il y a une guerre mondiale elle sera probablement nucléaire... Ce qui serait la fin pour tous. Donc il faut espérer que les BRIC sauront calmer leurs ardeurs.
Je suis plus optimiste que vous. Je pense que Poutine ayant oublié d’être idiot, prépare minutieusement sa succession pour évacuer tous les renégats à la Navalny et s’assurer, avant de partir, que la Russie sera une monarchie héréditaire orthodoxe.
Je ne vois pas Vladimir Poutine périr devant l’assaut de ceux qui mettent actuellement un contrat sur sa tête, car la Chine veille de la même manière qu’il a veillé sur la Syrie. Je le vois prendre sa retraite sereinement dans les 3 ans, après s’être assuré que la femme qui lui succédera appliquera un poutinisme d’acier.
Qui vous dit que Poutine n’aurait pas fait semblant de jouer le jeu covidard en injectant à ses populations du sérum phi, d’ailleurs non approuvé par l’OMS. Les soldats de l’armée russe n’ont pas l’air de tomber comme des mouches ni comme les troupes étasuniennes sous l’effet du vaccin obligatoire.
Donc, d’après Moreau, « Kiev n’a jamais été un objectif prioritaire pour les Russes », c’était juste une diversion pour fixer des troupes ukrainiennes loin du Donbass ? Et maintenant que les Russes vont lancer leur « grande offensive » dans le Donbass, après avoir piétiné sur place pendant un mois, ils se retirent de Kiev et envoient ces troupes renforcer celles du Donbass, suivies par 30 000 soldats ukrainiens armés jusqu’aux dents par l’Occident ?
Qui peut croire une telle fable ?
Si les Russes voulaient « fixer » des troupes ukrainiennes sur Kiev, ils ne les libéreraient pas au moment exact où ils vont déclencher leur « grande offensive » sur le Donbass.
Ce qui explique l’échec des offensives russes dans toute l’Ukraine, l’encerclement raté de Kiev, la poussée ratée sur Odessa, et y compris Marioupol qui tient toujours après un mois d’encerclement, c’est le manque de fantassins. Les blindés, que ce soit au Liban, en Syrie ou en Ukraine, se font détruire par les armes anti-char légères. Il manque 150 ou 200 000 combattants à l’armée russe en Ukraine.
On dit que « la vie est presque normale à Moscou ». Mais la ville devrait être en effervescence, avec partout des bureaux de recrutement pour enrôler des volontaires et des queues à n’en plus finir. La Russie devrait mobiliser en masse. Car après un mois d’une opération coûteuse en hommes et en matériels, le Donbass n’est toujours pas libéré !
Cela signifie deux choses essentielles : que l’avancée de l’OTAN en Ukraine n’était pas vraiment une « menace existentielle » pour la Russie et que la Russie n’a pour l’instant aucune solution politique de sortie du conflit.
Ensuite, au vu des résultats actuels de l’opération, ce fut une erreur de ne pas attendre que les Ukrainiens attaquent en premier dans le Donbass. Car la Russie n’a pas recueilli de bénéfice de son initiative et c’est elle qui a été l’agresseur.
Plus le temps passe, plus le coût de l’intervention grimpe pour les Russes, pour des gains quasi inexistants, avec même des replis locaux, plus le moral des Ukrainiens remonte, et plus les armes de l’OTAN affluent en Ukraine.
On peut aussi conclure que la professionnalisation de l’armée russe et donc sa réduction drastique en effectifs, si elle permettait des interventions efficaces mais limitées comme en Syrie, n’était pas adaptée à un conflit avec un pays de la taille de l’Ukraine.
Il faut prier pour notre chère Russie...
La France a déclaré illégalement la guerre à l’Allemagne en 1939.
L’Histoire retient pourtant que "les nazis sont les agresseurs" (de toute façon "cé dé méchan").
Révisez vos classiques : c’est le vainqueur qui écrit l’histoire, et c’est la force qui crée la loi.
Tout le reste n’est que comédie.
Vous êtes là pour salir le travail d’un homme et ternir sa réputation. Ce ton rageur que vous employez est devenu suffisamment insupportable pour laisser deviner pour qui vous oeuvrez. Félicitez-vous de ce que votre camp obtienne bientôt la fermeture de la chaîne de Xavier Moreau, ce qui nous épargnera vos inepties crasses :
"la ville devrait", "la Russie devrait" ? Ça joue le maître des élégances sur un tempo de prédicateur évangiliste. Honnêtement, je ne vous supporte plus.
"La vie est presque normale à Moscou [... ] Cela signifie que l’avancée de l’OTAN en Ukraine n’était pas vraiment une « menace existentielle » pour la Russie" : Donc pour vous, l’absence de chaos et le sang froid des Moscovites sont des indices d’inoccuité de la présence militaire de l’OTAN ? Vous établissez un lien de causalité qui ne repose sur rien au plan empirique, si ce n’est un raisonnement abâtardi qui produit des concaténations hasardeuses.
"Ce fut une erreur de ne pas attendre que les Ukrainiens attaquent en premier dans le Donbass" : merci, haut stratège, on le saura pour la prochaine fois. On attendra d’abord l’épuration ethnique et le lâchage de la bactérie tueuse, ensuite on interviendra. Vos défaillances cognitives n’ont d’égale que votre présomption à en faire des certitudes. Quel sans-gêne !
"Plus le moral des Ukrainiens remonte, et plus les armes de l’OTAN affluent en Ukraine" : ce serait donc le moral en hausse des Ukrainiens qui ferait affluer les armes ?! Vous avez sûrement voulu dire l’inverse, à savoir que l’afflux d’armes galvanise les Ukrainiens. Dans votre formulation, la pensée magique prédomine, mais si on rétablit la logique causale, c’est la spéculation assise sur un lit de diarrhée qui l’emporte.
"La réduction drastique en effectifs [de l’armée russe] , si elle permettait des interventions efficaces mais limitées comme en Syrie, n’était pas adaptée à un conflit avec un pays de la taille de l’Ukraine" : Fadaises. Qui a pu le plus peut facilement le moins, mais votre surdité au fait que la Russie tente d’épargner les civils plutôt que d’avancer son bulldozer, est assez symptomatique de votre parti-pris atlantiste.
Vous taire serait dès lors une option à considérer, d’autant que votre prière fumiste pour la Russie contraste drastiquement avec vos éructations ciblées contre son plus fervent défenseur.
@ Anne de Montmorency
[ 1/2 ]
1) Votre commentaire comporte une réflexion critique qui peut sembler pertinente au premier abord, mais qui se révèle faible à l’analyse.
L’objectif de l’armée russe aurait été de « fixer » une partie de l’armée ukrainienne dans la zone de Kiev ;
Note : fonctionnellement, il semble acquis qu’une partie de l’armée ukrainienne a été « fixée » localement dans la zone de Kiev, ce qui implique un déficit de résistance contre l’avancée russe par ailleurs, pendant toute la période de la « fixation ».
Le retrait de l’armée russe de la zone de Kiev, laissant cette partie de l’armée ukrainienne se déplacer vers le chaudron à l’est pour porter le fer dans cette « mère des batailles », semble contradictoire avec le projet affirmé précité.
Note : cette contradiction n’est qu’apparente et ne résiste pas à l’analyse. En effet, d’une part la « fixation » aura fonctionné pendant environ un mois, d’autre part, je vois deux éléments que je détaille ci-dessous.
a) Un restant de troupes russes — non redéployées sur une autre zone — bien équipées et bien positionnées peuvent permettre de limiter la capacité des troupes ukrainiennes à rejoindre le chaudron à l’est, mais on peut aussi envisager qu’un ou plusieurs corridors soient laissés libres par les russes pour favoriser une sortie des troupes ukrainiennes et les attaquer postérieurement en dehors des zones urbaines.
b) Un déplacement massif de troupes (des dizaines de milliers d’hommes, par ex. 30.000) de l’armée régulière ukrainienne (éventuellement accompagnée de mercenaires suicidaires) ne passera pas inaperçu et ces troupes seront exposées à des attaques de l’armée russe pendant le déplacement, notamment du fait de la très large suprématie aérienne qui peut laisser envisager des bombardements réduisant ces troupes à néant. Notons que si la suprématie aérienne n’est pas totale, du fait de la possibilité, notamment pour des hélicoptères ukrainiens encore en état, de voler à très basse altitude pour se soustraire à la détection radar russe, il est possible de mobiliser du renseignement militaire pour l’analyse en temps réel d’images satellitaires pour détecter au plus tôt des déplacements d’aéronefs qui ne soient pas des aéronefs militaires russes (et ce travail d’analyse d’images satellitaires est déjà certainement automatisable, sous réserve de l’activer).
../..
[ 2/2 ]
Un mode de déplacement plus furtif — des véhicules civils banalisés avec des fantassins équipés d’armes légères, y compris des missiles anti-char et anti-aérien courte portée (jusqu’à 3 km) — suppose un débit limité. Même dans ce cas, en supposant que les véhiculent atteignent la frontière du chaudron, en supposant son encerclement bien réalisé à ce stade, les militaires russes pourraient contrôler les véhicules (les empêchant de rejoindre le chaudron), voire les éliminer.
2) Le reste de votre message comporte des élucubrations ridicules basées sur un manque d’information, voire une tentative de manipuler l’opinion en toute conscience. En effet, hormis l’évidence que les blindés puissent être détruits par des armes anti-char légères, voici quelques critiques qu’on peut apporter à vos thèses :
la ville de Marioupol est [quasi] intégralement libérée ;
la région du Donbass est quasi intégralement libérée, le plus gros de ce qui reste est un chaudron à son ouest ;
l’avancée de l’OTAN en Ukraine était vraiment une « menace existentielle » pour la Russie, à plusieurs titres : possibilité de disposer des missiles éventuellement porteurs de charges nucléaires plus près que jamais de Moscou, une trentaine de laboratoires biologiques menant pour partie des recherches militaires avec des indices de projets d’attaques bactériologiques en Russie, notamment via des drones, des indices montrant des recherches nucléaires internes à l’Ukraine, par exemple pour obtenir des bombes sales, voire plus, la perspective d’intégration de l’Ukraine à l’OTAN, ce qui aurait supposé un lien de défense mutuelle avec les autres membres de cette alliance malfaisante, par l’article 5 du traité de l’OTAN ;
l’armée régulière ukrainienne a attaqué en premier dans le Donbass : d’une part ça fait 8 ans que ça dure, ensuite le 14 février 2022, l’OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe) dénombrait une trentaine d’explosions d’origine militaire ukrainienne dans le Donbass, le lendemain une cinquantaine, le 17 février ça montait à plus de 400, le 18 c’était à plus de 1400, et ça perdurait, avec des fluctuations, à un régime élevé jusqu’à la veille de l’invasion de l’Ukraine par l’armée russe.
Ma chere Anne la Russie a gagné la guerre en Ukraine en 1 semaine, tout le reste c est juste une vaste operation policiere, il faut arretr de regarder BFM TV...
- la ville de Marioupol est [quasi] intégralement libérée
Il n’y a pas de « quasi intégralement » prise ou libérée, cela n’existe pas. Tant que les Ukrainiens résistent, combattent et tuent des soldats russes, la ville n’est pas libérée. Comme Deir Ezzor assiégée et « quasi intégralement » prise durant trois années par les islamistes... et finalement jamais prise, l’AAS et les Russes brisant le siège en 2017 si je me souviens bien.
- la région du Donbass est quasi intégralement libérée, le plus gros de ce qui reste est un chaudron à son ouest ;
Dans l’oblast de Lougansk, oui, il y a eu une avancée très significative. Mais l’Oblast de Donetsk est loin d’être libéré : les Ukrainiens sont toujours à Pesky !!! Vous comprenez Pesky ? Et ce n’est pas un « chaudron », vous prenez les rêves de Moreau pour des réalités, car il n’y a pas d’encerclement, pas pour l’instant.
- l’avancée de l’OTAN en Ukraine était vraiment une « menace existentielle » pour la Russie...
Oui, on sait cela. Mais le fait que l’armée russe soit forcée par Poutine de se passer de conscrits, parce qu’il ne faut pas risquer les vies de conscrits russes, montre que l’Ukraine n’était pas si « vitale ». Vous comprenez le doute que fait naître cette interdiction ? On ne va pas risquer la vie de jeunes Russes pour garantir une solution politique en Ukraine... Et d’ailleurs, les jeunes russes devraient s’enrôler en masse, plutôt que laisser les glorieux Tchétchènes de Kadyrov mourir à leur place, non ?
- l’armée régulière ukrainienne a attaqué en premier dans le Donbass
Non, la Russie a saisi et produit des documents ukrainiens d’après lesquels une opération de nettoyage ethnique était en préparation pour mars et prouvant ainsi que l’attaque russe du 24 février était justifiée. Depuis 2014, c’est une guerre civile interne à l’Ukraine qui faisait rage, Poutine l’a suffisamment souligné. Mais l’entrée de l’armée russe en Ukraine est autre chose, la Fédération de Russie est l’agresseur de la République d’Ukraine, pour défendre la minorité russe du Donbass injustement persécutée par le régime de Kiev, certes, mais agresseur. En interne Kiev agresse le Donbass mais à l’international la Russie agresse l’Ukraine. On ne peut pas changer le sens des mots. Poutine a fait le choix d’endosser ce rôle et de l’assumer.
je me réjouissais des 250 à 300 000 vues sur youtube, des videos de X. Moreau, mais l’autre Xavier (... Tydelman ) fait lui entre 600 et 700 000 vues pour dire que les russes ont perdu la guerre .
Soyons sérieux , même avec des armes antichars fournies par l’ Otan, l’ Ukraine ne pourra pas suivre dans une guerre longue, elle n’a pas de pétrole, ni d’accès à la mer pour en recevoir . Mais bon, les videos de Tydelman ne sont pas si mal faites que cela et beaucoup peuvent croire sa narration
@ géopolix
[ 1/2 ]
Les innocents manipulés qui gobent les propos délirants de Xavier Tytelman — très probablement un agent de désinformation en service commandé dans le cadre de la guerre de l’information — seraient bien inspirés de consulter la vidéo — dédiée à exposer ses « fantaisies » — présentée dans la page titrée « Xavier Moreau – Russie vs Ukraine : fantaisies stratégiques de la presse française » (ainsi que les commentaires qui y sont exposés, au nombre de 22 à cet instant), page publié le 17 février 2022 sur le site web E&R.
La vidéo [1] présentée dans ladite page vient de la chaîne Youtube Stratpol ; si elle devait se retrouver censurée (par exemple à l’occasion d’une censure de toute la chaîne Youtube, ce dont se méfie actuellement Xavier Moreau), il y a une copie [2] de la vidéo sur la chaîne Odysee @STRATPOL [3].
A propos des délires de Xavier Tytelman, Xavier Moreau est revenu tout récemment dessus, brièvement (dans un entretien très intéressant qu’il a accordé), cf. de 32:55 à 33:39 dans la vidéo (durée 1:03:40) titrée « Xavier Moreau, sur le conflit russo-ukrainien, est l’invité de Franck Abed », publiée le 2 avril 2022 sur la chaîne Youtube Histoire Sans Fin. Attention, je ne vois pas de copie apparente de cette vidéo sur le web, pour l’instant, or on peut anticiper une censure...
[1] il s’agit de la vidéo (durée 34:59) titrée « Fantaisies stratégiques sur Air & Cosmos par Xavier Tytelman.17.02.2022. », publiée le 17 février 2022 sur la chaîne Youtube Stratpol, ayant fait à cet instant 72.512 vues (selon ce que déclare Youtube...) et comportant 1275 commentaires à sa suite.
[2] il s’agit de la vidéo (durée, titre et date de publication identiques, cf. la note [1] ci-dessus), publiée sur la chaîne Odysee @STRATPOL, ayant fait à cet instant 703 vues et comportant 14 commentaires à sa suite.
../..
[ 2/2 ]
[3] il s’agit ici de la chaîne Odysee officielle @STRATPOL originelle qui expose une collection de vidéos dupliquées depuis la chaîne Youtube. Je soulève ici une complexité nouvellement révélée, de manière à lever toute ambiguïté qui pourrait égarer les internautes : ce n’est pas la même chaîne que celle nouvellement apparue publiquement, accueillant la vidéo du bulletin Stratpol N°76 (vidéo relayée dans la présente page E&R). En effet, bien que les deux chaînes Odysse, toutes deux officielles, aient le même identifiant « @STRATPOL », on peut voir une nuance dans l’URL des deux chaînes Odysee, aussi bien que dans l’URL des vidéos de ces deux chaînes, en terme de suffixe au libellé @STRATPOL (à savoir : le suffixe ":0" pour la chaîne originelle et le suffixe ":d" pour la chaîne nouvellement apparue).
Réf : mon point noté [3] dans mon dernier message ci-dessus
[ 1/3 ]
En toute rigueur, je relève deux corrections à apporter à mon propos. Ces corrections aideront les internautes qui pourraient être décontenancés, en situation réelle, par une observation occasionnellement non conforme à ma description antérieure.
Notez que l’utilité, pour l’internaute, de connaître ces subtilités, est lié à une maladresse de conception du site Odysee.com (et de Lbry.tv qui lui est associe) qui permet de créer deux chaînes distinctes ayant un même identifiant, tel qu’il apparaît dans la page web d’une vidéo.
[ Les deux corrections présentées sous forme résumée ]
1) La présence du suffixe « :0 » est optionnelle à la fin de l’URL de la chaîne Odysee officielle @STRATPOL originelle.
2) Lors d’un clic sur le titre d’une vidéo Odysee embarquée dans une page d’un site web distinct de Odysee.com, l’URL obtenue ne comporte pas le libellé « :0 » ni « :d » à la suite du libellé « @STRATPOL », mais un long identifiant alphanumérique suivi d’un paramètre indiquant que la source est « embed ». Dans le cas d’une vidéo Odysee de Stratpol, lorsque vous êtes sur une page du site Odysee.com avec une telle URL, pour savoir à laquelle des deux chaînes officielles — la chaîne originelle ou la chaîne alternative — la vidéo est rattachée, un des moyens est de cliquer sur l’identifiant « @STRATPOL » présent sous la vidéo et d’observer le contenu de la chaîne. Si en plus vous cliquez sur l’onglet About de cette chaîne, vous verrez, dans la section « URL », le libellé « lbry ://@STRATPOL#d » ou bien le libellé « lbry ://@STRATPOL#0 » (sans l’espace après « lbry » qui est automatiquement ajouté par le site E&R, hors de ma volonté).
[ Les deux corrections présentées sous forme détaillée (pour les débutants) ]
1) L’URL de la chaîne Odysee officielle @STRATPOL originelle (qui expose une collection de vidéos dupliquées depuis la chaîne Youtube Stratpol) peut comporter le suffixe « :0 » comme elle peut ne pas le comporter : les deux URL https://odysee.com/@STRATPOL (sans le suffixe « :0 ») et https://odysee.com/@STRATPOL:0 (avec le suffixe « :0 ») sont toutes les deux valides et renvoient à la même page.
L’URL de la chaîne Odysee officielle @STRATPOL alternative (qui comporte le bulletin Stratpol N°76) comporte nécessairement le suffixe « :d », selon mes observations.
../..
[ 2/3 ]
2) Considérant une vidéo Odysee de Strapol embarquée dans une page web distincte du site Odysee.com — la vidéo étant présentée dans son cadre, avec l’interface permettant de la jouer dans le contexte de ladite page, comme c’est le cas avec la vidéo du bulletin Stratpol N°76 relayée en tête de la présente page —, lorsque vous cliquez sur le titre de la vidéo, en haut de son cadre, un nouvel onglet du navigateur s’ouvre avec la vidéo dans le contexte du site Odysee.com. L’URL qui s’affiche alors ne comporte pas en son sein le libellé « :0 » ni « :d » à la suite du libellé « @STRATPOL ». L’URL est spécifique, liée au fait que vous avez cliqué sur le titre d’une vidéo Odysee embarquée dans une page d’un autre site qu’Odysee.com.
Par exemple, dans le cas de la vidéo relayée en tête de la présente page, si vous cliquez sur son titre (en haut du cadre présentant la vidéo), cela vous ouvre un nouvel onglet avec une URL comportant un long identifiant alpha-numérique suivi d’un paramètre indiquant que la source est « embed » (une référence au fait que le clic a été effectué depuis le titre d’une vidéo Odysee embarquée — « embeded » en anglais — dans une page d’un site web distinct du site Odysee.com).
Cette URL est différente de celle que vous obtiendriez si vous ouvriez une page du site Odysee.com affichant la même vidéo, mais cette fois en ayant cliqué sur la vignette de ladite vidéo, choisie dans la collection des vignettes de la chaîne Odysee à laquelle elle est rattachée (vous pourriez aussi bien cliquer sur un lien hypertexte conventionnel, exposé sur le web et menant à cette vidéo, du moins un lien qui ne soit justement pas le titre de la vidéo présenté en haut du cadre affichant la vidéo). Dans un tel cas, si c’est une vidéo de Stratpol, alors nécessairement l’URL commence soit par la chaîne de caractères https://odysee.com/@STRATPOL:0 (notez la présence du « :0 »), si la vidéo est rattachée à la chaîne Odysee officielle @STRATPOL originelle, soit elle commence par la chaîne de caractères https://odysee.com/@STRATPOL:d (notez la présence du « :d »), si la vidéo est rattachée à la chaîne Odysee officielle @STRATPOL alternative.
../..
[ 3/3 ]
Au final, lorsque vous êtes sur une page du site Odysee.com présentant une vidéo Odysee de Stratpol, avec une URL comportant l’identifiant alphanumérique à rallonge (suivi du libellé terminal présentant le fait que la source est « embed »), pour savoir à laquelle des deux chaînes officielles — la chaîne originelle ou la chaîne alternative — la vidéo est rattachée, un des moyens est de cliquer sur l’identifiant « @STRATPOL » présent sous la vidéo et d’observer le contenu de la chaîne (si vous êtes hésitant, cliquez sur l’onglet About de cette chaîne, vous pourrez observer, dans la section « URL », soit le libellé « lbry ://@STRATPOL#0 », soit le libellé « lbry ://@STRATPOL#d » (dans ces deux libellés, l’espace après « lbry » est automatiquement ajouté par le site E&R, hors de ma volonté, pour respecter l’usage en littérature française). Le « #0 » est la signature de la chaîne originelle et le « #d » est la signature de la chaîne alternative (astuce mnémotechnique : « d » pour « deuxième »).
Réf : le point [3] dans mon message ci-dessus
J’apporte ici deux corrections à mon propos, pour aider les internautes qui pourraient être décontenancés, en situation réelle, par une observation occasionnellement non conforme à ma description antérieure.
Notez que l’utilité, pour l’internaute, de connaître ces subtilités, est lié à une maladresse de conception du site Odysee.com (et de Lbry.tv qui lui est associe) qui permet de créer deux chaînes distinctes ayant un même identifiant, tel qu’il apparaît dans la page web d’une vidéo.
1)
La présence du suffixe « :0 » est optionnelle à la fin de l’URL de la chaîne Odysee officielle @STRATPOL originelle.
2)
Lors d’un clic sur le titre d’une vidéo Odysee embarquée dans une page d’un site web distinct de Odysee.com — la vidéo étant présentée dans son cadre, avec l’interface permettant de la jouer dans le contexte de ladite page, comme c’est le cas avec la vidéo du bulletin Stratpol N°76 relayée en tête de la présente page —, l’URL obtenue dans le nouvel onglet (qui s’est ouvert sur la page présentant la vidéo sur le site Odysee.com) ne comporte pas le libellé « :0 » ni « :d » à la suite du libellé « @STRATPOL » (mais un long identifiant alphanumérique suivi d’un paramètre indiquant que la source est « embed », indiquant au site Odysee.com que l’utilisateur a cliqué sur le titre d’une vidéo embarquée dans une page d’un site distinct).
Dans le cas d’une vidéo Odysee de Stratpol, lorsque vous êtes sur une page du site Odysee.com avec une telle URL, pour savoir à laquelle des deux chaînes officielles — la chaîne originelle ou la chaîne alternative — la vidéo est rattachée, vous pouvez cliquer sur l’identifiant « @STRATPOL » présent sous la vidéo et observer le contenu de la chaîne.
Si en plus vous cliquez sur l’onglet About de cette chaîne, vous verrez, dans la section « URL », le libellé « lbry ://@STRATPOL#0 ou bien le libellé « lbry ://@STRATPOL#d » » (sans l’espace après « lbry », espace qui est ici automatiquement ajouté par le site E&R, hors de ma volonté, pour respecter l’usage en littérature française). Le « #0 » est la signature de la chaîne originelle et le « #d » est la signature de la chaîne alternative (astuce mnémotechnique : « d » pour « deuxième »).
Bien malin qui sait ce qui se passe réellement là-bas. C’est propagande contre propagande et chacun choisit le récit qui convient le plus à ses options idéologiques et à ses préférences pro russe ou pro ukrainienne. J’écoute Monsieur Moreau depuis le début de cette guerre et je me souviens bien qu’il a dit que tout serait terminé au plus tard le 12 avril. J’espère que c’est vrai, sans quoi je devrai admettre que ce qu’il dit est, sinon faux, du moins très optimiste et à géométrie variable. Il nous dit là que celui qui gagnera cette "mère des batailles" aura gagné la guerre, mais il nous a dit à maintes reprises que la guerre était déjà gagnée et que l’armée ukrainienne était d’ores et déjà détruite.
Tout cela est dérangeant. Nous verrons bien.
Donc, selon Monsieur Moreau la guerre est gagnée et selon Monsieur Tytelman, en exagérant à peine, les Ukrainiens ont mis l’armée russe en déroute.
Moi, j’aimerais beaucoup que cette guerre se termine au plus vite et que les Russes la gagnent mais je suis dubitatif, aussi bien en ce qui concerne l’enthousiasme de Monsieur Moreau en faveur des Russes qu’en ce qui concerne celui de Monsieur Tytelman en faveur des Ukrainiens.
[ 2/2 ]
Il explique entre autres qu’i y a une très forte proportion de mensonges caractérisés du côté officiel ukrainien et qu’il n’observe pas de mensonge du côté officiel russe, tout en reconnaissant qu’il n’a pas les moyens de vérifier toutes les allégations officielles russes par lui-même ; ainsi, il privilégie les informations qui viennent par la voie officielle russe et le déclare ouvertement, de manière à permettre à chacun d’évaluer pour lui-même la crédibilité des informations qu’il délivre et conséquemment la crédibilité de ses analyses. Il l’explique par exemple dans l’entretien qu’il vient d’accorder à Franck Abed (cf. le lien fourni au 3e paragraphe du message #2935941 que j’ai posté plus haut). Je ne fournis pas ici de chronométrage dans la vidéo (je m’abstiens de rechercher), mais je certifie que mon rapport résumé est fidèle à ses propos (ce que j’ai écrit est valide, mais il a donné plus de détails à l’oral, notamment des noms de chaîne Telegram, il me semble).
L’auteur peut manquer de sincérité par biais idéologiques.
Note : les biais idéologiques sont un poison car ils peuvent inciter à la duplicité, en plus d’inciter aux biais de confirmation.
L’auteur peut subir des pressions, soit directement, soit indirectement, notamment du fait du cadre juridique auquel il est soumis.
Note : en l’occurrence, une loi est passée en Russie qui restreint la liberté d’expression, en particulier sanctionne judiciairement la production d’informations fausses sur la guerre (fausses du point de vue du juge qui tranche...).
L’auteur peut faire des erreurs d’inférences (déductives, inductives, abductives, cf. l’article Wikipédia intitulé « Inférence (logique) » pour approfondir) et avoir des biais cognitifs (ex. : faible capacité d’évaluation d’une situation par fatigue, stress émotionnel, défaillance mnésique...), l’amenant à produire des analyses erronées, l’amenant possiblement à se contredire d’un moment à l’autre.
[ Réflexion sur l’augmentation de la qualité de l’information (via des processus algorithmiques et matériels) ]
[ 1/2 ]
Cette guerre en Ukraine s’inscrit dans le cadre général d’une guerre hybride où tout peut faire l’objet d’une militarisation, incluant les civils (ils peuvent être des vecteurs de la guerre en étant manipulés, en plus d’être des cibles directes). Le cadre encore plus général est une guerre globale multi-fronts — économique, financier, social, etc. — où l’oligarchie, particulièrement l’oligarchie mafieuse des plus gros pays de l’OTAN, joue très gros contre les peuples.
Le temps passant, la technologie numérique progressant — particulièrement les IA ainsi que l’imagerie de synthèse photo-réaliste —, la lecture pertinente des évènements devient de plus en plus complexe, avec notamment ces artéfacts :
production de fausses pièces, en particulier des vidéos de synthèse (en tout ou partie), y compris des deep fake (littéralement « faux profond », avec par exemple la tête d’un humain remplacée par un autre, dont on aura fourni des images sous de nombreux angles à l’IA, lui permettant ainsi de reconstruire la scène en remplaçant une tête par l’autre) ;
commentaires textuels manipulatoires (voire vocaux, voire en image), y compris produits par IA.
Des contre-mesures existent. J’en formule quatre ci-dessous (la dernière n’étant probablement qu’une approche théorique, au moins dans le civil).
Pour aider à résister contre la manipulation via des commentaires de propagande, une contre-mesure basique est l’incitation à la contribution en mode connecté (compte associé à un mot de passe), voire à la signature cryptographique des contributions (auquel cas, la certification — toujours relative — de l’authenticité peut s’appliquer quel que soit le canal de communication, y compris sans être connecté via un compte dédié), permettant une traçabilité minimale (en cas de non vol et de non partage du mot de passe voire de la clé privée permettant de signer), y compris en mode pseudonymat. La traçabilité des contributions par l’usage d’un compte voire d’une signature cryptographique facilite notamment l’évaluation (voire la ré-évaluation à postériori) du crédit d’un contributeur — ou déjà d’une contribution donnée — par évaluation de la qualité de ses contributions antérieures (voire ultérieures).
../..
[ 2/2 ]
Une IA peut aider à évaluer la similarité sur la forme et le fond de contributions émanant à priori d’auteurs distincts (critères pour du texte, par ex. : vocabulaire utilisé, orthographe, syntaxe, style, sujets traités, angle d’approche, posture psychologique...), de manière à obtenir une évaluation probabiliste de l’unicité de l’auteur desdites contributions, aboutissant à la détermination d’un indicateur probabiliste de qualité sur le fond d’une contribution donnée (sur les questions de la compétence épistémique, des biais de confirmation, des biais idéologiques, de la sincérité, de la qualité des inférences et des biais cognitifs), en tenant compte de la qualité sur le fond des autres contributions identifiées comme émanant probablement du même auteur. Par exemple, une IA peut aider à évaluer la probabilité d’unicité d’auteur de multiples contributions produites par d’autres IA, d’une façon bien plus subtile qu’un humain pourrait le faire (!).
Une IA peut aider à discerner la présence d’un deep fake — là où un humain ne verrait quasiment aucun artéfact, voire strictement aucun — et même permettre d’évaluer quel type d’IA (parmi celles à sources ouvertes) a probablement produit ledit deep fake. C’est déjà dans l’état de l’art.
Pour aider à lutter contre la production d’images truquées, il y a le concept de caméras signant numériquement les trames produites (avec destruction de la clé privée servant à la signature en cas d’intrusion détectée dans l’appareil). Notons que ce principe de certification des données captées — liée à l’authentification des données comme étant produites par du matériel de captation réputé fiable — peut s’appliquer plus généralement à tout autre matériel mobilisant un capteur d’information (par exemple un capteur de pression, un microscope, un télescope, un scanner, etc.). Une aide complémentaire peut être apportée par l’usage de protocoles de montage vidéo garantissant la non-altération des images d’une séquence, par propagation de la certification via la signature numérique. Ce type de contre-mesure est un concept qui n’est pas mis en oeuvre à ma connaissance, au moins dans le civil, du fait de la lourdeur des processus incluant la conception (ainsi que l’audit et des preuves formelles de conception, idéalement), la fabrication du matériel de captation (caméra ou autre) sous supervision et l’éventuelle maintenance nécessitant l’ouverture du matériel sous supervision.