En ce qui me concerne, je ne parviens pas à m’apitoyer sur le sort des salariés qui travaillent pour les entreprises de la world compagnie, même si ils sont Français.
Voir même encore moins pour ceux qui sont Français.
Pour moi, se sont des collaborateurs du système.
A chaque fois on ne les entend que lorsqu’ils se font lourder.
En dehors de ça, ils ne semblent pas offusqués plus que ça par les pratiques de leurs patrons.
Quant on partage l’assiette d’un vautour, même si on n’en tire que les miettes qui tombent de la table, on est un rouage de la machine, point final.
Il existent suffisent de manière de gagner ça vie sans participer à ce merdier.
C’est trop facile de prétendre ne faire que son travail ou d’avancer le fait que si je n’en profitais pas, ce serait le voisin.
Les plus grandes horreurs de l’homme sont toujours l’assemblage et la convergence d’intérêt individuels qui conduisent au pire.
Par conséquent, si on est fondamentalement contre l’impérialisme, on ne peut pas être centurion.
Ni même pleurer avec les centurions quant ils servent de chair à canon.
Je préférais devenir clodo si je n’avais plus que ce choix d’aller remplir les rayons de Virgin, d’aller servir des big mac au mac do ou aller pointer chez Sanofi.
L’excuse du "il faut bien gagner ça vie" a ces limites pour moi, celle de ma moralité.
En plus, si ils ne se démerdent pas trop mal, ils vont partir avec le bingo.
Les plans sociaux, c’est des indéfinités bien au delà de la légalité, avec des dizaines de milliers d’euro à la clé.
J’ai été licencié économique en 2011.
Mais dans une petite boite de 3 salariés.
Et j’ai du me contenter des indemnités légales.
Pas un mot sur itélé bizarrement.
Et je ne vous parle pas du nombre de boulot dont j’aurais démissionné dans la seconde en échange de quelques milliers d’Euro.
En France, la vérité, c’est qu’avec les conditions d’indemnisation du moment et qui n’ont pas changé, la première année de chômage, on m’a donné plus que pour aller travailler.
Prés d’une centaine d’euro de plus tout les mois très exactement.
Et je ne vous dis pas les économies de carburant quant vous ne passez plus des heures par jour dans la voiture pour aller au travail.
Comment voulez vous trouver du travail dans ces conditions ?
C’est juste impossible.
Pas étonnant que le chômage ait un succès fou en se moment.
C’est fait pour en fait.
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