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Swann Périssé : la reine des pommes (pourries)

« Reine des connes » ça allait aussi, mais c’était tomber dans la méchanceté, la même que celle de Périssé. Cependant, quand on voit le public de cette fausse humoriste, on n’est pas loin de cette cruelle vérité : elle s’adresse aux écolo-féministes.

 

 

L’écolo-féministe est une personne de sexe féminin qui croit aux 53 degrés à Paris bientôt. Autant dire une grosse nouille plus versée dans la croyance que dans la connaissance. Ça tombe bien : Swann est là pour conforter l’écolo-féministe dans sa croyance.

On fait bien la différence entre les humoristes et les humoralistes ici : les premiers se servent de tout pour (faire) rire, les seconds se servent du rire pour faire passer leur message politique. Pour eux, l’humour n’est qu’un moyen technique de favoriser la pénétration du message – ou du mensonge – dans l’esprit du public.

Voilà pourquoi Blanche Gardin est drôle et Swann Périssé ne l’est pas : Blanche, on ne peut pas la situer, alors que Swann, elle signe son crime. Il s’agit d’une gauchiasse qui se met en scène pour faire haïr l’extrême droite et les hommes (si c’est encore possible), deux entités forcément mauvaises. Ça lui permet de rassembler une audience de 25-35 en colère (600 000 sur YouTube), c’est-à-dire de filles malheureuses.

On n’a pas écrit femmes, on a préféré « filles » car ces 25-35 périssables ne sont pas encore matures. Elles craignent d’être de vraies femmes, et se protègent de l’horrible destin de femmes-mères. Périssé fustige l’enfantement, ou fait bien comprendre à son auditoire que c’est une galère.
On en reparlera dans 20 ans, quand ces cœurs secs se retrouveront au concert de Taylor Swift entre cinquantenaires endurcies, maudissant les hommes et la vie en bloc.

Il y a deux sortes de femmes malheureuses : les femmes sans homme, et les femmes sans enfant. Et si jamais une périssable arrive à faire un enfant, voici ce qui l’attend :

« Quand vous avez un travail, vous faites votre métier, puis vous faites votre boulot de mère, et vous faites le boulot du père... »

 

Eh oui, le libéralisme a libéré la femme de la domination de l’homme, pour la livrer pieds et poings liés à la domination de l’oligarchie, infiniment plus violente et injuste. L’homme a ses défauts, on en sait quelque chose, mais dans ce domaine il n’arrive pas à la cheville du Système, qui lui a volé la femme, détruit l’amour, et qui cherche actuellement à lui enlever l’enfant. La famille est l’ennemi absolu du Système.

Tout ceci est trop complexe (c’est pourtant pas la mer à boire conceptuelle, on est dans du sous-Clouscard, là) pour Périssé et ses périssables, qui foncent tête baissée dans le piège. Tout ce qui foire dans leur tête et dans leur vie est mis sur le compte des hommes, et cette haine bien pratique est alimentée par les sœurs (de la sororité, pas les braves sœurs des couvents), les médias et le politique, sans même parler de l’ÉducNat.
Beaucoup d’ennemis, beaucoup d’honneur, pour les hommes.

Et parce que nous aimons malgré ça les femmes, nous terminerons sur la citation d’une immense penseuse, Virginie Despentes, qui va dans notre sens (mais sans le vouloir) :

« Parce que l’idéal de la femme, séduisante mais pas pute, bien mariée mais pas effacée, travaillant mais sans trop réussir, pour ne pas écraser son homme, mince mais pas névrosée par la nourriture, restant indéfiniment jeune sans se faire défigurer par les chirurgiens de l’esthétique, maman épanouie mais pas accaparée par les couches et les devoirs d’école, bonne maîtresse de maison mais pas bonniche traditionnelle, cultivée mais moins qu’un homme, cette femme heureuse qu’on nous brandit tout le temps sous le nez, celle à laquelle on devrait faire l’effort de ressembler, à part qu’elle a l’air de beaucoup s’emmerder pour pas grand-chose, de toutes façons je ne l’ai jamais croisée, nulle part. Je crois bien qu’elle n’existe pas. »

Humour et féminisme ne font pas bon ménage

 






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48 Commentaires

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  • #3380780
    Le 18 juin à 09:04 par miles davis
    Swann Périssé : la reine des pommes (pourries)

    C’est quoi ce truc ? Punaise le niveau... la blague, c’est elle en fait.

     

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  • #3380789
    Le 18 juin à 09:22 par Eric
    Swann Périssé : la reine des pommes (pourries)

    Je suis d’accord sur un point avec elle, la méritocratie n’existe plus ou de moins en moins, sans quoi des attardées dans son genre ne seraient a minima pas mises en avant pour nous dire ce qu’elles pensent (ou croient penser en l’occurrence), et ça avec un air de supériorité que rien ne justifie sinon l’inconscience de leur médiocrité. Je comprends donc bien qu’elle se réjouisse de la disparition de la méritocratie (cette chose réactionnaire et d’un autre temps comme le suggère sa remarque pourrie mais qu’elle imagine drôle) puisqu’elle en est une des nombreuses bénéficiaires.
    Qu’elle commence par apprendre à s’habiller avant d’envisager quoi que ce soit d’autre.

     

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  • #3380841
    Le 18 juin à 11:05 par Zoulby
    Swann Périssé : la reine des pommes (pourries)

    Il y a maintenant plusieurs années, j’avais eu une aventure avec sa sœur qui était sacrément délurée, beaucoup mieux gaulée (mmm rien que d’y repenser) et (de ce fait ?) pas vraiment féministe. Mais qui sait si aujourd’hui elle n’a pas elle aussi été entraînée par l’idéologie et ses "dady issues" bien visibles à l’époque.

     

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  • #3380943
    Le 18 juin à 13:47 par Renaud
    Swann Périssé : la reine des pommes (pourries)

    Ces bonnes pommes dont l’utilité finale avec les dégénérés LGBT est de maximiser l’euthanasie afin de rentrer dans l’ère de la mort industrielle via ses camps d’extermination "démocratique" où la vie sera si pourris que de moins en moins de monde voudra aller jusqu’au bout, préférant le suicide "médicalement assisté", le règne de la facilité ne produisant qu’une souffrance schizophrène de gens qui n’auront jamais réussi à connecter leurs idées à la réalité finalement ou plutôt que la réalité de leurs idéaux n’aura jamais reflété l’arc-en-ciel omniprésent dans leurs petites têtes, bien au contraire cela les aura plonger dans une éternelle et exponentielle souffrance dont leur égo masturbé par des décennies de propagande victimaire gratuite qui prétendait les aimer n’aura jamais eu la force de passer au-dessus.

     

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  • #3381009
    Le 18 juin à 16:17 par Tomax
    Swann Périssé : la reine des pommes (pourries)

    Il ya des types si désespérés pour sortir avec un truc pareil !! Autant allez vivre en Sibérie dans une cabane

     

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  • #3381022
    Le 18 juin à 16:47 par Friedrich Engels
    Swann Périssé : la reine des pommes (pourries)

    2 beaux cageots. L’humoriste, c’est laquelle ?

     

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  • #3381032
    Le 18 juin à 17:08 par Paul82
    Swann Périssé : la reine des pommes (pourries)

    "ces coeurs secs"

    C’est bien trouvé

     

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  • #3381050
    Le 18 juin à 17:44 par Coquillages et crustacés
    Swann Périssé : la reine des pommes (pourries)

    Que les hommes se rassurent : il y a quand même beaucoup de femmes qui ne sont pas comme cette nana horrible (j’etais gênée pour elle, je n’ai pas pu regarder jusqu’au bout...) qui se croit subversive, drôle et cool. On en trouve beaucoup dans le 11e, avec cet air blasé et sans âge (elle a 5 ans ou 45 ans ??), qui s’imaginent au-dessus du lot parce qu’elles ont lu les fiches wikipedia de Simone Veil et Michel Foucault et qu’elles fument encore des joints. Messieurs, regardez autour de vous. Mais c’est sur que si vous cherchez une tradwife de 22 ans gaulée comme un top modèle alors que vous etes un quidam de 50 ans, vous allez pester longtemps contre le feminisme eco-citoyen en trottinette non-genrée sans succès . Car, pour une fois, ce dernier ne sera pas responsable de votre celibat.

     

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    • #3381302
      Le 19 juin à 12:01 par Patrie Haute
      Swann Périssé : la reine des pommes (pourries)

      Vous avez raison, l’adéquation entre ce qu’on veut et ce qu’on propose est primordiale.

      Pour autant, à moins qu’elle soit d’une intelligence émotionnelle exceptionnelle pour son age, une gamine de moins de 30ans ne m’intéressera pas, toute bonne qu’elle peut être.

      Quoi qu’il en soit, autant devenir la meilleure version de soi même pour intéresser la meilleure version de femme, qu’elle soit jeune bombasse ou mature intense. Car finalement, c’est la femme qui décide pour qui elle écarte ses bras.

       
  • #3381252
    Le 19 juin à 09:24 par zzx
    Swann Périssé : la reine des pommes (pourries)

    Elle a choisi de s’appeler Swann (cygne, en anglais) ?
    Elle ?!!!
    Et pourquoi montre-t-elle les chairs molles de son ventre ? Pour forcer l’intérêt, faute d’autre appât (supposé) ? Obliger l’œil à ne pas voir sa face ?
    Et pourquoi tant évoquer ses coucheries sur ce ton désinvolte et méprisant ? Parce que personne ne l’aime ?
    Elle tente d’imiter une autre comique (me souviens plus du nom), carrément en surpoids, et qui fait beaucoup de grimaces, mais qui a des textes pour le moins assez travaillés ; et qui, après un passage professionnel éclair d’institutrice de maternelle, a tenté le spectacle et se moque des petits enfants rois (sans terre) de notre époque, de leurs parents, leurs prénoms... dans plusieurs sketches malaisants mais bourrés de trouvailles linguistiques.
    On rit assez jaune ou on ne rit pas, mais il faut reconnaître un talent à cette comique (la Swann n’a aucun talent).

     

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  • #3381518
    Le 19 juin à 21:04 par Chuchemimb
    Swann Périssé : la reine des pommes (pourries)

    Le plus hallucinant dans tout ça, c’est que cette femme prétend faire du running...

     

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    • #3381667
      Le 20 juin à 08:33 par Le bifleur fou
      Swann Périssé : la reine des pommes (pourries)

      Tout dépend combien on en fait...si c’est genre 3km une fois par mois et qu’elle a une hygiène de vie par ailleurs déplorable, elle ne risque pas d’être en bonne forme physique.

       
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