C’est dans les piscines qu’on voit que la France a changé de visage, et de mentalité.
Nicolas paye très cher pour éviter ça pour ses enfants. Quand c'est encore possible. pic.twitter.com/nOYSoINFRb
— Comité Trump France (@TrumpFrance) July 3, 2025
Des requins dans nos piscines !
Non, ce n’est pas un énième article dénonçant les pauvres « jeunes des cités » qui prennent d’assaut les piscines publiques (grâce à des entrées subventionnées par Nicolas-qui-paie) ou privées (quand les sales bourgeois racistes blancs ne sont pas là), mais plutôt un tableau de la Nouvelle France chère à Jean-Luc. On l’écoute et on passe à l’analyse.
Mélenchon : “On ne va pas dire aux gens mourez dans la Méditerranée. Je préfère qu'ils viennent ici épouser nos filles et nos gars. Je suis un agent de submersion migratoire. Je suis tout à fait tranquille. De toutes façon, je crois à ça ».
Bordel de m*pic.twitter.com/PnsITR2E9k
— Antonin Ferreira Roche (@Antonin_FR_) June 26, 2025
Face à ce constat, on ne voit que deux solutions pragmatiques : soit on francise cette masse de jeunes, de gré ou de force, soit cette jeunesse africanise la France. C’est un rapport de force yin-yang, et actuellement, au stade où on en est, pour l’instant, avantage aux jeunes. Leur parler (racaille), leur comportement (rebelle), leur désintérêt pour les études, leur manque d’éducation, leur crânerie, leur antiracisme ou leur racisme, leur violence, mais aussi leur énergie, leur talent, gagnent du terrain sur l’ensemble de la jeunesse et bousculent les parents.
Révolte contre le père, puis meurtre du père
Dans les années 50 aux États-Unis, le même bouleversement sociologique a lieu avec les blousons noirs, les premiers voyous : la liberté laissée aux jeunes après la guerre leur a permis de se défouler, d’exprimer leur singularité, mais aussi leur violence, leur bêtise, et leur talent. Les émeutes estudiantines (sociétales plus que sociales), le rock sont nés de ça. Heureusement, le Viêt Nam les remettra sur le droit chemin.
Dans cet extrait de Graine de violence, le petit juif et le grand Noir donnent un coup de main au prof qui s’est fait agresser par un Portoricain, l’équivalent de nos racailles d’aujourd’hui.
La révolte contre le père est autorisée, mais dans certaines limites. Des fois, un daron le prend mal. Quarante ans après ce jungle-movie, le rap a remplacé le rock et Tom Berenger, dans The Substitute, incarne le prof-soldat qu’il faut face à des élèves fortement dissipés. On est loin de la gentille prof de gauche dépassée (par son logiciel déconnecté) qui se fait malheureusement tarter. Car la violence est montée de cinq crans, des deux côtés de la barrière générationnelle. La France, culturellement colonisée par l’Amérique, suit logiquement le mouvement.
« I am in charge of this class, I am the warrior chief... You fuck with me, and you will suffer my wrath. »
Aux dernières nouvelles, l’ÉducNat francaoui n’a pas embauché de Tom Berenger pour tenir les classes agitées. Les nouveaux profils sont plus dans le genre crevette tremblante antiraciste. On n’est pas sortis de l’auberge kebabiste.
Le problème, quand on a lâché sur l’autorité, même si la violence scolaire n’est que le symptôme d’un mal plus vaste – la désagrégation sociale voulue par les néolibs, avec une hyperclasse dominante, une classe moyenne à la technique et à la gestion, le tout posé sur une masse d’esclaves –, c’est que reprendre la main est extrêmement dur.
Ceux qui parient sur une maturation et une modération des racailles avec le temps, c’est-à-dire quand ils deviennent des darons, n’ont pas tort, mais ils oublient que la nouvelle génération est plus dure, plus radicale encore. La violence est le régulateur social voulu par le pouvoir profond. On lâche les fauves, préalablement – désinstruits et décultivés – dans la population laborieuse, qui serre les fesses en allant de la maison au bureau et du bureau à la maison. C’est un confinement grand format, permanent, programmé.
Quand les fauves auront compris qu’ils sont sacrifiés par la dominance qui les transforme en bergers allemands, dont la vie est d’avance foutue, ils changeront peut-être. Pour l’instant, ça n’en prend pas le chemin : la liberté et l’impunité sont bien trop attractives !
C’était censé devenir l’attraction de l’été dans l’agglomération du Mans : le premier parc aquatique de la région ! Las, quelques heures seulement après l’ouverture tant attendue, ce mardi, toboggans, pistes de glisse et jeux flottants ont dû être démontés. Face à « une invasion de jeunes des cités », qui s’en sont pris violemment à un agent de sécurité, jusqu’à créer « une émeute de 200 à 300 personnes, munies de barres de fer et de pierres », le gérant de la structure n’a « pas eu d’autre choix » que de « fermer, définitivement ». (Le Figaro)
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