Le Président a fait réaliser par son photographe personnel une série de deux clichés – réalisés sans trop de trucages grossiers, à part l’épaisseur du premier radial – qui montrent sa force brute, sa puissance musculaire et sa détermination sans faille. On peut penser que le sac de frappe représente Poutine.

Macron, c’est pas un pédé

Les clichés ont fuité, et les Français sont rassurés : notre chef de guerre est prêt au combat du siècle et rien ne l’arrêtera. Poutine peut d’ores et déjà pisser dans son froc !

C’est BHL qui a inauguré cette espèce de « je suis partout là où ça chauffe », avec ses clichés sur les terrains de guerre (qu’il a contribué à provoquer). Macron fait pareil : nanti de couilles grosses comme des pamplemousses, il peut aller là où ça craint, là où le commun des mortels n’ose pas pénétrer : chez nous, dans les cités de Marseille, ou au Salon de l’agriculture, et hors de France, sur les zones de guerre (enfin, en pensée).

Si avec un tel guide vous ne vous sentez pas en sécurité (sauf sociale), on ne sait pas ce qu’il vous faut !

Car que peut un piètre judoka face à un boxeur poids lourd ? Pas grand-chose. Poutine a déjà perdu, moralement. Son mental est brisé, le corps suivra.

« Les dirigeants actuels du pays ne se soucient pas de la mort des Français ordinaires ni des inquiétudes des généraux. (...) Selon les données reçues par les services russes de renseignement extérieur, un contingent est déjà en préparation pour être envoyé en Ukraine » (Sergueï Narichkine, chef du Service des renseignements russe – SVR)

Les bruits de bottes enflent de Paris à Chisinau : selon une « info » du renseignement russe, relayée par Philippot, la France préparerait l’envoi de 2 000 hommes de troupe, dont la moitié de techniciens, aux frontières de l’Ukraine en Moldavie, dans le but de sécuriser ce pays face aux appétits russes. La Transnistrie, prorusse, serait alors dans un étau. Cela signifie, du côté de Paris, qu’on s’attend à ce que les 1 000 km de front ukrainien craquent.

Derrière se joue le contrôle d’Odessa (et de Mykolaiv), qui est la cible stratégique russe numéro un, après la récupération des républiques du Donbass. L’info n’a pas été confirmée, mais les journaux français bruissent de menaces de guerre, notamment par les généraux très engagés côté ukrainien.

Celui qui a été le plus loin dans cette optique, c’est le général Vincent Desportes, qui veut carrément rétablir la conscription – qui avait été défaite par Chirac – et envoyer les jeunes Français verser leur sang pour l’Ukraine :

La réponse de Piotr Tolstoï aux menaces de Macron

Tolstoï joue les gros bras, mais il n’avait sans doute pas encore vu les impressionnantes photos de Macron !