Depuis l’avalanche d’effets secondaires produits par l’injection à ARN-messager, les pouvoirs publics, aux prises avec la montée de la réinformation en matière de santé sur les RS, ont trouvé une nouvelle parade, encore une fois provisoire : les effets néfastes du faux vaccin sont confondus avec des covid dits longs.
Et la boucle est bouclée, de la même manière que les exécutants du Bataclan sont aussi, pratiquement, les commanditaires. La comparaison n’est pas fortuite : dans les deux cas, il s’agit de terrorisme sous faux drapeau. Heureusement que le virus n’est pas sorti d’un laboratoire P4 en Algérie !
Dans un article du Figaro sorti le 22 août 2025 – et on va comprendre possiblement pourquoi –, il y a une autre donnée intéressante qui fait interférence entre injection et covid, entre les labos et le virus : le covid ferait vieillir trop vite les vaisseaux sanguins.
Avec le temps, les vaisseaux sanguins perdent l’élasticité qui leur permet d’amortir les variations de pression dues aux battements du cœur. Ce processus de rigidification, qui accroît les risques d’infarctus, d’AVC et de démence, est l’un des effets naturels du vieillissement. Il peut être aggravé par des facteurs extérieurs comme le tabagisme, l’hypertension, le diabète ou le cholestérol… ainsi que par le Covid
En effet, on a constaté chez les vaccinés, surtout les plus de 65 ans, une accélération du vieillissement et des pathologies en sommeil (cancers), sans oublier les pathologies directement liées à l’injection : AVC et thromboses, principalement.
Dans la rue, on voit de plus en plus de personnes âgées qui ont des problèmes à une jambe, pas à deux. S’il est normal de souffrir des genoux vers 75 ou 80 ans, là, on assiste à une multiplication de ce qu’on appelait auparavant des pattes folles, et ce, depuis 2 ou 3 ans.
On reconnaît que ce ne sont pas là des observations scientifiques, mais on sent, chez les sociétés du Big Pharma impliquées dans l’arnaque au vaccin, qu’on essaye désormais de nous faire prendre les vessies pour des lanternes, autrement dit les effets secondaires du vaccin pour des effets du virus à long terme. Et le pire, c’est que des multivaccinés y croient, acceptant comme une fatalité des effets secondaires qui n’en finissent plus.
DEVOIR DE MÉMOIRE
10/2021 Bernard Jomier, Sénateur et médecin : « Et la vérité des faits, c’est que les vaccins contre la COVID-19 sont efficaces, comme peu de vaccins l’ont été. Qu’ils sont sûrs et qu’ils sont notre meilleure arme pour réduire la pandémie à l’état d’un bruit… pic.twitter.com/1pngEdjGIP
— Ni Oubli Ni Pardon (@NiONiPardon) August 18, 2025
Julien Pain reconnaît avoir pris « les gens pour des cons »
DEVOIR DE MÉMOIRE
04/2022 Julien Pain, journaliste : « Je pense que personnellement, lorsque la pandémie est arrivée, je regrette la façon dont je l'ai traitée parce que j'ai attendu des scientifiques des réponses certaines, alors qu’ils n’en avaient pas, et je pense que… pic.twitter.com/YCtVkq6PKq
— Ni Oubli Ni Pardon (@NiONiPardon) August 9, 2025
Pour cela, il faut la complicité des médias et du milieu médical (voir Karine Lacombe et sa promo très intéressée de la dangereuse injection AstraZeneca, vite retirée du marché), certains journalistes ou chercheurs bénéficiant de largesses de la part de multinationales cachées derrière des agences de presse qui organisent des vacances sous faux drapeau. On parle alors de colloques, de rencontres...
Ce coup-ci, les Marty, Delfraissy et autres Buzyn n’osant plus sortir de chez eux pour parler covid, au tour d’une certaine « Rosa Maria Bruno, professeur de pharmacologie à l’université Paris-Cité, spécialiste de l’hypertension à l’hôpital européen Georges-Pompidou » de reprendre le flambeau abandonné par la meute des pétochards cramés, et valider ce narratif opportun, car déresponsabilisant. Déresponsabilisant pour le politique, le médical et le médiatique, s’entend.
« On a bien vu, durant la pandémie, que le virus Sars-CoV-2 entraîne des complications vasculaires et cardiaques aiguës. Nous avons cherché à savoir s’il pouvait aussi induire des effets à long terme sur le système vasculaire. »
Bientôt, ils vont nous sortir que la vaccination de masse a sauvé 80 % de la population d’un covid long à effets rebond et retard... L’article étant payant, on ne peut pas tout mettre, juste de quoi nourrir le fond NONP (Ni oubli ni pardon), ces archivistes du compte X qui font un boulot remarquable, pour l’histoire, et pour la justice.
En attendant, les malheureux touchés par un covid long, c’est-à-dire une multiplication d’injections à risques, se voient promettre un futur plein de surprises inflammatoires...
« Les artères des participantes ayant fait une forme légère de Covid ont ainsi subi l’équivalent d’un vieillissement de cinq ans en moyenne. Quant aux malades admises en réanimation, leur âge vasculaire est augmenté de dix ans. »
« On sait depuis le début de la pandémie que le virus Sars-CoV-2 infecte directement les cellules endothéliales qui forment le revêtement des artères, causant des thromboses ainsi que des accidents cardiaques et cérébraux. L’inflammation et les réponses immunitaires de notre corps pourraient également être impliquées. »
Rosa Maria Bruno« On peut craindre que les personnes infectées développent, à plus ou moins long terme, une hypertension en raison de la rigidité de leurs artères. »
« Cet article met au jour une nouvelle catégorie de sujets à risque de développer une hypertension artérielle : les personnes ayant eu le Covid, a fortiori si elles ont des symptômes qui persistent dans le temps. Pour prévenir infarctus et AVC, elles doivent être surveillées dans la durée, et traitées rapidement – avec des changements de mode de vie, voire des médicaments – si leur tension continue à s’élever. »
Dr Jean-François Renucci, spécialiste de médecine vasculaire
On appelle ça une rente. Le covid a été une invention géniale : pour le politique, qui a au sens propre et au sens figuré muselé une population (enfin, pas nous) qui commençait à gronder ; pour le médecin qui a utilisé une psychose organisée de A à Z pour reprendre un pouvoir perdu sur les médecines douces ; et enfin le journaliste qui a servi de courroie de transmission entre le combo médecin-politique et le peuple, regagnant au passage une partie du pouvoir perdu sur l’information horizontale depuis l’avènement du Net.
Aujourd’hui, ces trois entités mouillées dans ce gigantesque scandale ne sont pas revenues au point zéro, elles ont plongé en dessous de zéro.
Philippot tire à boulets rouges sur les commanditaires