Ce clown hystérique bénéficie depuis cinquante ans d’une réputation totalement usurpée : ce n’est pas lui qui a provoqué Mai 68, ce n’est pas lui qui a fait partir De Gaulle.
Par contre, il surfe sur une vague internationaliste qui le conduit alternativement de France en Allemagne et d’Allemagne en France : cherchez la logique !
Bien évidemment, il n’a jamais rien fait pour la France, pour sa culture, pour sa réputation, pour ses citoyens, mais il se permet d’insulter des artistes qui valent incomparablement plus que lui –ce n’est d’ailleurs pas bien difficile-.
Bendit, c’est un brasseur d’air qui s’enivre du vent qu’il fait, un toxico qui se shoote aux insultes qu’il crache. Il a développé une vraie pathologie.
Une des caractéristiques des caractériels c’est qu’ils attribuent aux autres leurs propres défauts.
Le "fou", le "crétin fini", c’est son reflet dans la glace. Bendit insulte les autres, mais c’est lui qu’il veut outrager. Quand il lance "ta gueule", en séance, à un député du parlement européen, c’est la sienne qu’il vise.
Sa gueule, il lui reproche son incapacité à argumenter avec intelligence toutes les fois qu’un individu lui déplait. Cette propension à gueuler pour se faire respecter suffisait dans la cour de récré, au temps béni de son enfance, mais avec les adultes ça ne marche pas, ses insultes sont les reliefs d’une pensée qui se délite. Cette grande gueule handicapée de la pensée est donc utilisée tel un MATON ou un KAPO, pour impressionner les ames sensibles. En fait, il valorise ceux qu’il croit insulter.
Cette outre vide nous expliquerait sans doute qu’une démocratie c’est un endroit où il peut impunément insulter tout le monde, soit l’Europe, mais pas la Russie de Poutine.
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