Egalité et Réconciliation
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Philippot : Twitter lâche ses dossiers sur Macron et ses lobbies

Florian Philippot, le chef des Patriotes, revient sur la publication des fichiers Twitter sur la censure conjointe de l’UE et de la France de Macron contre le réseau social devenu X. La presse mainstream se garde bien de sauter sur le sujet, pourtant ô combien juteux. L’administration américaine est en train de tirer dans la Macronie.

« Comment la France est devenue l’inventeur du complexe industriel de censure. »

 

Petit détail qui a son importance, quatre entités ont servi à censurer la liberté d’expression en ligne, associations soutenues par Macron et l’UE : SOS Racisme, l’UEJF, SOS homophobie et J’accuse.

Signalons que l’UEJF et J’accuse sont toutes deux dirigées ou défendues par un certain Stéphane Lilti. Lilti est l’avocat de l’UEJF et le vice-président de J’accuse. Cela lui fait donc deux fers au feu pour lutter contre la « haine en ligne », c’est-à-dire, dans la bouche de ces censeurs, la liberté d’expression et le débat politique.

Notons que J’accuse est pour l’ouverture des frontières, soit le chaos national.

Étrange objectif pour une association qui veut « promouvoir la liberté, la fraternité, la paix et la justice entre les hommes ».

Stéphane Lilti sur Radio J

 

Notre question : Macron, en tant que président ouvertement pro-LGBT et pro-israéliste, s’appuie-t-il sur la pression de minorités agissantes pour orienter la liberté d’expression dans son sens, ou subit-il la pression de ces quatre groupes de pression, plutôt trois, puisque J’accuse et l’UEJF sont les deux mamelles du même animal ?

On rappelle que l’UEJF est une succursale du CRIF, qui représente à peine 1 % des juifs français, qui eux-mêmes représentent 1 % de la population française. Comment deux associations archi-minoritaires et à même vocation peuvent-elles à ce point influer sur un président de la République et sur la liberté d’expression de la majorité des Français ?

C’est l’un des mystères de notre glorieuse république.
La question finale : est-ce que notre président est l’otage de ces trois groupes de pression, ou est-il justement le porte-parole de ces groupes de pression ?

Dans les deux cas, ça ne change rien pour les Français, déclarés coupables de racisme, d’antisémitisme, d’homophobisme et d’anti-immigrationnisme. C’est l’objectif de ces coquilles aussi vides qu’agressives, derrière lesquelles se cache un vrai groupe de pression, pas gentil pour deux sous. Il faut bien punir les gens quelque part, et au besoin, inventer des délits !
Voilà pourquoi, chaque année, les mêmes nous disent que la production française de délits (de mal-pensance) a augmenté.

 

Le détail de la censure UE-Macronie