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Pédocriminalité : l’affaire du plasticien Claude Lévêque coche toutes les cases les plus noires

Un pilier culturel de la Macronie s’écroule, pourrait-on dire. Claude Lévêque, le numéro un de l’art contemporain français, est mis en examen depuis le 31 mars 2023 pour des viols sur mineurs de 15 ans et des agressions sexuelles en tout genre. L’instruction est en cours, et un procès se profile.

Il a 13 ans, Lévêque, 44...

Pour dire la symbolique et l’importance de cette affaire, nous citerons Libération, qui inaugure une série de trois grands articles sur l’homme.

Au fil du temps, c’est toute la mécanique de domination exercée par Claude Lévêque qui est mise au jour, révélant les pratiques pédocriminelles de celui qui représenta la France, en 2009 à Venise, à la plus prestigieuse biennale d’art contemporain au monde et dont une œuvre, Soleil noir, habillait encore il y a peu un salon de l’Élysée. Acculé par l’amoncellement des témoignages, l’artiste a livré une série de déclarations aux magistrats, oscillant entre dénégations et aveux circonstanciés. Il a notamment reconnu avoir abusé de jeunes hommes, mais seulement autour de leurs 15 ans, minimisant ainsi sa responsabilité pénale.

Contactés par Libération, ses avocats, Patrick Klugman et Lucas Veil, estiment que « Claude Lévêque a pris conscience et la pleine mesure, par le processus judiciaire, de la souffrance de ce que des relations, qu’il pensait autrefois librement consenties avec de jeunes adolescents, souvent restés des proches au long des années, ont pu s’avérer traumatiques par la suite pour les intéressés. Claude Lévêque a choisi d’accueillir la parole des plaignants avec un grand souci d’écoute, de vérité et d’apaisement. Il a donc apporté un concours actif à l’instruction, en même temps qu’il a entrepris un travail thérapeutique sans crainte de s’exposer à des poursuites, ce qui est assez rare pour être souligné, tout en réservant ses déclarations et ses explications à la justice. » Il appartient désormais aux magistrats de caractériser précisément les faits et d’en circonscrire le périmètre.

 

Art con’, pratiques pédocriminelles, salon de l’Élysée, Soleil noir, Klugman & Veil, on n’est pas loin de l’affaire d’État. Certes, ce n’est pas le pacte de corruption, qui est au centre de la Macronie et de l’installation du chérubin des Rothschild sur le trône de France, mais, comme pour l’affaire Lelandais, le fait de dépêcher un Jakubowicz en urgence est un indicateur de l’importance du dossier.

On ne va recopier ici l’article de Libé, mais étudier succinctement la toile autour de l’araignée Lévêque. D’abord, les défenseurs : Me Klugman, c’est l’avocat de SOS Racisme, de BHL, de Fourest, excusez du peu, et l’ancien président de l’UEJF, cette matrice du CRIF et de la LICRA. Me Veil, le fils de la tristement célèbre Agnès Buzyn, accessoirement petit-fils de Simone Veil, est marié avec Nelly, la fille de Daniel Auteuil et Emmanuelle Béart. Que du beau monde ! On est dans le haut du panier de la république.

Ensuite, les plaignants : Libé a recueilli six témoignages, mais le nombre des victimes de Lévêque, qui officie dans la pédocriminalité depuis 46 ans, est bien supérieur.

Le loup dans la bergerie

La méthode : Lévêque approchait les familles et tissait des liens, comme l’araignée, pour endormir la vigilance des parents. Une approche de prédateur. Une de ses victimes raconte comment, à 15 ans, il est devenu l’amant officiel du prédateur, à côté de garçons plus jeunes. Dans la lumière, il s’exposait avec des adolescents ayant théoriquement la majorité dites sexuelle. Dans l’ombre, évidemment, il tapait dans du plus jeune : Laurent Faulon, à 10 ans seulement, sera l’une des victimes de Lévêque, qui donnera le portrait photo qu’il a réalisé du fils aux parents... Plus bas encore, le jeune David, 8 ans au moment des premières agressions, Lévêque aura au préalable mis la mère dans sa poche... Il offre des cadeaux de Noël à tous les enfants, ravissant les parents.

À l’époque, il est moniteur de colo, autant dire qu’il a de la chair fraîche sous la main : vacances, parents absents… Il remplace les parents, il est le tonton gâteau, le père de substitution. Il a l’ascendant et il en profite. Il y a même des mères qui, fières de côtoyer un grand artiste, lui confient leur fils sans sourciller, qui deviennent officiellement des « assistants » (quand ils ont dépassé les 15 ans). Habilement, il les met en concurrence, « orchestre les jalousies », pour en obtenir plus. Exactement la méthode du prédateur pédocriminel de l’École en bateau.

 

 

La perversité de ce système d’emprise sur les enfants saute aux yeux avec l’histoire des frères Faulon, que les avocats de Lévêque tentent d’exploiter.

La dimension fraternelle s’avère ici centrale. Laurent Faulon, le premier à avoir brisé la chape de plomb, l’évoque dès son dépôt de plainte : Lévêque l’a approché et mis en confiance par l’intermédiaire de l’un de ses deux frères : « Je n’osais protester, j’étais dans une sorte de sillage. » Le procédé lui est apparu clairement une fois adulte : « C’est par l’exploitation d’une forme de rivalité mêlée d’admiration avec mes frères qu’il a réussi à arriver à ses fins avec chacun des membres de la fratrie. »
Son frère Rémi s’est suicidé à l’âge de 34 ans.
Quant à l’aîné, Jean-Loup, il contredit le récit de son cadet. Avec sa compagne, ils comptent parmi les derniers soutiens du plasticien. Patrick Klugman et Lucas Veil, les avocats de l’artiste, n’hésitent pas, eux, à faire de Laurent Faulon, qui a joué les traits d’union entre les victimes du plasticien, un agitateur malveillant : « Nous espérons que l’enquête de Libération ne sera pas une occasion supplémentaire pour un personnage comme M. Faulon d’animer sa vindicte éternelle contre Claude Lévêque sans le moindre égard pour les victimes, la justice et la vérité. »

« Que Lévêque ose invoquer la justice, la vérité et le respect des victimes m’étonne à peine tant je connais sa capacité à retourner contre les autres le poids de sa propre culpabilité, riposte l’intéressé. Aujourd’hui, de toute façon, la procédure judiciaire dépasse largement mon cas personnel. »

Le tragique : la mère de Léo Carbonnier, une des victimes de Lévêque, n’a pas supporté d’avoir ouvert sa porte au prédateur, qui l’achetait avec des « œuvres ». Elle s’est suicidée. Depuis, Lévêque a détruit beaucoup de disques durs et de pièces compromettantes. Après l’affaire Dutroux (1996), il a commencé à se protéger.

Dans ce sujet datant de 2021, Me Pierrat, alors défenseur de Lévêque, prévient les auteurs d’« accusations graves » contre son client : cela peut mener à des « conséquences irréversibles », à savoir le suicide de son client.

Les premières accusations

 

Série Faits & Documents
« Jeunesse, éducation et sexualité en Macronie »

 

Pierrat, Lévêque, Brigitte et compagnie

 






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33 Commentaires

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  • Les ordures se ressembleraient-elles ? C’est le clone d’Emile Louis .

     

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  • Dans la vie il y a un temps pour prendre des pincettes et un temps pour prendre des mesures radicales.

    Ras le bol de voir la justice écouter des violeurs d’enfants expliquer pourquoi ils trouvent ça normal de violer des gosses, et ne comprendre que c’est mal que quand ils se font coincer, pour ensuite évaluer l’injustice irréparable faite aux victimes en décidant d’une peine qui dira à quel point c’est grave de violer des gosses...

    Un adulte qui n’est pas capable de réprimer ses pulsions criminelles envers un enfant, et qui se fabrique des petits arrangements avec la morale pour justifier un mépris inhumain pour l’innocence, est un être définitivement défectueux.

    Peine de mort pour les violeurs d’enfants !

     

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  • Dans la famille pédo, je demande le journaliste sportif amadouant les jeunes garçons dans des trains, au moyen de photos de stars du ballon rond. On le voit apparaître furtivement dans un film célèbre des années 1980, sur un terrain de football. Coup de tête, je crois.

     

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  • Il y a des gens sexuellement attirés par les gens du sexe opposé, d’autres par les gens du même sexe ou les deux, avec pour certains un goût particulier pour la chair fraîche, on ne choisit pas une inclination naturelle puisqu’elle est naturelle nous dit-on ; alors, à l’image de l’homophobie, à quand la pédophobie pour que la nature puisse enfin s’ébattre en toute liberté, égalité, fraternité ? en toute impunité ? sous le regard bienveillant de la démocratie ?
    A quand la zoophobie, la nécrophobie et tutti quanti ?

     

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    • Le bon sens admet que l’ordre naturel se compose de deux genres sexués distincts et complémentaires depuis l’origine... les très minoritaires caprices génétiques ou chromosomiques n’avaient jamais posé de problème au regard de la tolérance générale et de leur absence d’influence sur la marche du monde.

      La banalisation des déviances sexuelles au cours du temps n’est pas le fait d’une évolution mais d’une régression contre nature et les normes sociales établies. Elles se sont imposées comme tous les autres signes de décadence au nom de l’égalitarisme et de l’indifférenciation .

      Il n’y a rien d’étonnant à constater la tyrannie que représente actuellement le Lgbetisme puisque tout a été fait pour qu’il domine la société et le moeurs. Le dénoncer est le plus court chemin de la mise au ban et du pilori pour les ennemis de l’inversion systémique.

       
  • Même quand c’est un populo y s’appelle l’évêque, c’est de l’acharnement...

     

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  • Vous savez pourquoi l’abolition de la peine de mort pour les crimes commis contre les mineurs est anticonstitutionnelle ?

    Parce qu’elle est de droit divin, donc impossible à abolir.

    M 18,6 : "Mais, si quelqu’un scandalisait un de ces petits qui croient * en moi, il vaudrait mieux pour lui qu’on suspendît à son cou une meule de moulin, et qu’on le jetât au fond de la mer."

    * NB : Tous les enfants croient en Dieu.

    M18 6 est le seul cas de peine de mort dans le NT
    Tous les autres cas de l’AT ont été abolis par le Christ à l’occasion de la femme
    adultère.

    C’est l’abolition de la peine de mort qui est illégale, non son maintien.
    ( Si la justice de Dieu est au dessus de la justice des hommes ).

     

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  • Une intronisation, un couronnement de carrière pour ce régime, ses thuriféraires, ses compatibles adoubés, sa caste, ses complices et ses innombrables larbins, bonniches et autres bennies oui-oui ; têtes de nœud ’’républicaines’’ serviles à la gamelle : ’’pecunia non olet’’(voire...). Une consécration avec, d’une fusée d’artifice l’autre, d’abord détournement de mineur originel, suivi de pédérasties assumées dans l’exhibitionnisme provocateur, suivi par la domination délirante sur un appareil d’état qui, quand il ne se consacre pas anticonstitutionnellement (c’est dur à dire mais facile à faire) au service des névroses sadiques de ses mandataires et complices, sert sans scrupule les intérêts de l’étranger. Fusée d’artifice encore, avec l’interpellation d’un pseudo-artiste représentant la pseudo-nation (! ?), vrai malade mental, prédateur hypervirulent gesticulant dans l’hyperimpunité. Terminus sur bouquet final, avec interpellation du cousin de l’homoncule qui sert de doublet au psychopathe accroché aux manettes, pour pédophilie en vaste réseau organisé. Rien que du beau monde ou, les aventures de l’argent très mal intentionné et peut être aussi très mal acquis (?). Exactement le genre de soutient dont a besoin une entité plutôt monstrueuse qui tape l’incruste, engagée au loin, au dépens de la machine à cash à sa pogne, dans l’extermination au grand jour d’un Peuple spolié de sa terre en un long siècle d’acharnements en tous genres. Étourdi et stupéfait, quand même ; on a envie de dire, même si c’est dans une grande poubelle qui sentait déjà mauvais avant :’’ Pitié, n’en jetez plus, ça éclabousse !’’ Bon dimanche...’’

     

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  • Je sais, pas le physique, mais lui il a vraiment plus une tête de pédophile que "d’artiste"... les pauvres gamins et lui qui prendra le minimum comme d’habitude.

     

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  • Aïe ! Une manifestation de troubles mentaux n’est pas de l’Art, son auteur n’est pas un artiste mais juste un malade mental. L’Art admet sans difficulté les originaux et leurs excentricités, il les encourage comme indices, comme marqueurs spectaculaires de certaines formes de génies, dans leur époque (voir Dali). Mais l’Art n’a aucune vocation à devenir un alibi à ce qui bascule dans le répréhensible. La brutalité n’a rien à faire dans l’Art, l’Art ne canalise parfois la Violence que comme révélateur et pas comme une promotion de l’agressivité et/ou de la prédation. L’Art est à la fois quelque chose de très simple et de très compliqué, bien loin du carambolage qui exploite les vulnérabilités et les dévoiements de l’argent mal intentionné.

     

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  • Quel salaud ce l’Abbé Pierre... S’adonner en cachette à l’amour vénal... ignoble ! Il aurait fallu qu’il soit (L)évêque et qu’il encule des gosses pour échapper à la disgrâce de la TV française qui en parlait encore aujourd’hui tout en cachant les ramifications de notre pédocriminalité institutionnelle ! Dégueulasse.

     

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