Les Européens représentent désormais 20 % des acheteurs, motivés par un « sentiment d’insécurité grandissant ».
Le nombre d’appartements en Israël achetés par des Juifs de Diaspora, principalement d’Europe et d’Australie, a augmenté de manière significative suite à la guerre de Gaza survenue cet été, un phénomène que les agents immobiliers attribuent à la montée de l’antisémitisme à travers le monde, selon un rapport du journal Haaretz publié mardi.
Les acheteurs ne sont pas motivés par le potentiel ou la compétitivité du marché de l’immobilier en Israël, mais par un sentiment d’insécurité grandissant au sein des communautés juives de la Diaspora, notamment après la hausse du nombre d’actes antisémites enregistrée cet été.