Environ une heure plus tard, à quelques kilomètres de là, à Villiers (Vienne), l’homme est soupçonné d’avoir enlevé une fillette de neuf ans qui sortait de la boulangerie, de l’avoir mise dans le coffre de sa voiture avant de la conduire dans un champ non loin. Il l’a frappée au visage, violée et est reparti en voiture sans elle. La fillette est rentrée à pied au village, selon le procureur de Poitiers.
Selon le procureur d’Angers Éric Bouillard, le suspect de 31 ans avait frappé, vendredi, vers 18 h 30, chez une femme de 74 ans, à Varennes-sur-Loire (Maine-et-Loire), près de Saumur, qui lui a ouvert. Il l’a violée et est ensuite parti avec « la voiture et les moyens de paiement de cette dame », qui a « donné une description très précise » de l’agresseur.
Selon M. Bouillard, le suspect, sorti de détention fin 2019 pour des faits sans rapport avec ce qui lui est actuellement reproché, « ne reconnaît qu’une très légère partie des faits », à savoir la voiture volée. D’après le procureur de Poitiers, cet homme qui appartient à la communauté des gens du voyage a été condamné à 18 reprises pour faits de violences, vols, trafics de stupéfiants et un homicide involontaire dans une affaire de circulation routière mais pas pour agression sexuelle. (Le Télégramme)
***
#JusticePourJulie
Sommes en route vers la Cour d’Appel de Versailles avec Julie
pour demander la re qualification en viol et la mise en examen des 20 @PompiersParis qui l’on violée de 13 à 15 ans en état de grande vulnérabilité
Elle est prête, forte & digne pour les affronter— Corinne Leriche #JusticePourJulie (@corinne_leriche) September 24, 2020
***
Peter Cherif a été arrêté à Djibouti le 16 décembre 2018. Écroué à la maison d’arrêt de Bois-d’Arcy, il a été mis en examen des chefs d’association de malfaiteurs en vue de préparer des actes de terrorisme s’agissant de crimes d’atteinte aux personnes, notamment d’avoir « de 2011 à 2015, jusqu’au 9 janvier 2015 », « au Yémen et sur le territoire national, participé à un groupement formé ou à une entente établie en vue de la préparation d’actes de terrorisme », en l’espèce « les assassinats et séquestrations commis par les frères Saïd et Chérif Kouachi ».
Peter Cherif, qui, pour une question de procédure, ne comparaît pas dans le cadre du procès actuel sur les attentats de janvier 2015, doit être entendu en tant que simple témoin jeudi 24 septembre. (Mediapart)
***
Sortie d'un vagon de metro a Stockholm
Rien de surprenant pour vous , francais ? pic.twitter.com/vWtIv8q959— Michel Saint-Hilaire (@lautreamont13) September 25, 2020
***
N’empêche qu’un virus qui ne te vise qu’en dehors de tes heures de taf, que dans les lieux où tu t’amuses, que dans les endroits où tu peux échanger avec les autres, bah ça ressemble quand même beaucoup à un virus évadé d’un labo du Medef...
— Tacou Glacé (@PitchouTacou) September 23, 2020
***
Le premier, Philippe Braham, est exécuté après que Coulibaly lui a demandé son nom, et y a reconnu un patronyme juif. Son épouse Valérie, venue à la barre parce que, dit-elle, elle a « besoin de parler de son mari », raconte qu’elle lui avait fait une liste de courses pour shabbat. Il y était allé dès le jeudi mais n’avait pas tout pris. Elle l’avait « engueulé », dit-elle avec des accents terribles de culpabilité, et « le pauvre, il y était retourné » le lendemain, c’est-à-dire le vendredi 9, « pour ne pas me contrarier ».
Entendre cette femme se remémorer leurs préparatifs, et raconter que c’est elle, désormais, qui, à la place de son mari, raconte pour ses trois enfants la sortie d’Égypte à la table de shabbat, et leur récite toute la prière avec la photo de leur père posée au milieu des plats, nous serre le cœur. (Charlie Hebdo)
***
Depuis qu’un auditeur de France Inter, se qualifiant de lui-même de « complotiste », a interrogé vendredi 14 août Jérôme Salomon sur le propos, la polémique enfle. « Trouvez-vous normal que certains fabricants proposent des masques avec des puces RFID incorporées ? […] Quel est l’intérêt de ces puces ? », demandait-il. Une question à laquelle notre directeur général de la Santé n’a pas su répondre de façon convaincante. « Je peux vous dire que les masques français en tissu sont excellents, j’en porte tous les jours et ils ont un impact bien meilleur sur notre environnement, on peut les laver, les réutiliser. Ils sont fabriqués en France, à proximité de chez vous et n’ont pas de puce intégrée, je peux vous le garantir. » (Sud Ouest)
Pourtant, la présence d’une puce RFID dans certains masques n’a rien d’un délire. Certains masques en tissus réutilisables en sont bel et bien équipés, afin de contrôler le nombre de lavages effectués.
Les puces RFID, de l’anglais « radio frequency identification », font déjà partie de notre quotidien, puisqu’on les retrouve dans les cartes bleues, les badges d’immeuble, les cartes de transport, ou bien encore les étiquettes de vêtements.
Interrogé par Ouest France, Fabrice Zehra, président d’UBI solutions, leader européen dans le domaine affirme que « l’enjeu de cette technologie n’est pas de tracer les faits et gestes des individus ni d’atteindre leurs libertés. C’est le masque qui est tracé et pas l’utilisateur. Il n’y a aucun lien entre l’identité du porteur du masque et le masque ».
Puce RFID dans un masque ? Si ce n'est pas pour nous pister, c'est quoi ? un cadeau comme dans les Kinder surprise ? #COVID19 #tracking #liberté pic.twitter.com/AxuUJWULGV
— Le Grand Réveil (@GrandReveil) August 16, 2020
***
Accueillir encore des réfugiés ? Bien sûr, répondent la majorité des Allemands. Plus de 87 % d’entre eux sont favorables à l’accueil de familles bloquées en Grèce, selon un sondage de la télévision publique allemande (ARD).
« C’est normal d’aider des gens en difficulté, s’insurge Andrea Schlenker, cheffe du département migration et intégration de l’association caritative catholique Caritas. La vraie question n’est pas de savoir si les Allemands sont accueillants, mais de savoir pourquoi les autres Européens ne le sont pas. » L’expérience de 2015 et 2016 (un million de réfugiés arrivés en quelques mois) ne les a pas découragés. « Bien au contraire, cela nous a montré que nous étions capables d’organiser correctement l’accueil de gens en difficulté. Les Allemands ont surmonté leurs craintes en entrant en contact avec des familles qui avaient les mêmes peurs et les mêmes rêves qu’eux », insiste Andrea Schlenker.
Ils n’ont pas accueilli les réfugiés par intérêt économique, contrairement à une idée répandue en Europe. « C’est vraiment un acte d’humanité », insiste Samy Charchira, pédagogue et membre de la Conférence gouvernementale sur l’islam. « Sinon, nous n’aurions pas accepté autant de gens analphabètes », ajoute Andrea Schlenker. (Libération)
***
***
Lola Schulmann, spécialiste immigration chez Amnesty International :
« On parle des personnes migrantes et réfugiées qui fuient l'enfer libyen (…) Aujourd’hui, c’est la responsabilité de l’Union Européenne d’accueillir ces personnes » #LHeureDesChoix pic.twitter.com/wYCMVbADZK— CNEWS (@CNEWS) September 23, 2020
***
Mais voilà, Guilluy ne pouvait pas prévoir qu’à côté des « gilets jaunes » s’affaireraient les black blocs, antifas d’extrême gauche et petits voyous de banlieues. Les premiers casseraient et les seconds pilleraient, le tout avec un curieux attentisme de la police. Après le saccage de l’Arc de triomphe par les voyous de banlieue, la police se réorganise et frappe… sur les « gilets jaunes ». Surtout, Guilluy ne pouvait pas prévoir le génie manipulateur de l’extrême gauche, qui est entré comme dans du beurre parmi les « gilets jaunes ». Ceux-ci se sont avérés sans leaders, sans ligne politique, sans structure idéologique. Encadrés par les militants de La France insoumise, les « gilets jaunes » n’ont plus parlé d’impôts et n’ont pas osé évoquer l’immigration. Ils ont réclamé une nouvelle Constitution et un « RIC ». Rééduqués comme à Pékin au temps de la Révolution culturelle, ils se sont mis à parler tels des militants CGT. Certains ont accepté la « convergence des luttes » avec les Traoré. Tout est rentré dans l’ordre de la gauche. Les médias bien-pensants, qui les insultaient et les méprisaient, se sont mis à les aduler et à les vénérer, tandis que, par un effet de vases communicants, leurs effectifs se vidaient. (É. Zemmour, Le Figaro)
***
Sous le choc de l’affaire Weinstein et de l’assassinat de George Floyd, l’académie des Oscars a présenté, le 8 septembre dernier, une nouvelle liste de critère d’éligibilité à la catégorie de meilleur film. Pour recevoir le tampon de la diversité à l’écran une œuvre devra remplir l’une ou l’autre de ces trois exigences : un rôle principal ou un rôle secondaire important provenant d’un groupe « racial » ou ethnique sous-représenté ; au moins 30 % des rôles secondaires provenant de deux groupes sous-représentés, « les Noirs, les Latinos, les femmes, les personnes s’identifiant comme LGBTQ+ ou les personnes handicapées » ; l’intrigue principale, le thème ou le récit axés sur un groupe sous-représenté. (A. Finkielkraut, Le Figaro)
***
De nombreux intervenants ont participé à Big… Mais qui sera là cette année ? Pour le savoir, rendez-vous le 1er octobre : https://t.co/8x4iKKbr0Y
— Bpifrance (@Bpifrance) September 23, 2020
***
« C'est de la merde ce qu'a dit Mila, elle fait bien de se faire toute petite.
Je suis contre les blagues sur les religions.
A-t-on besoin de mots comme ceux de Mila, de dessins comme ceux de Charlie Hebdo qui mettent de l'huile sur le feu ? »Hanouna piétine toutes nos libertés. pic.twitter.com/vSU9hRtQCQ
— A. (@astasyia) September 22, 2020