Egalité et Réconciliation
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N’ayez pas peur du crabe !

La section Santé d’Égalité & Réconciliation réunit des professionnels actifs couvrant à peu près tous les secteurs de la santé (praticiens médecins ou non médecins, journalistes, auteurs, chercheurs) qui se donnent pour ambition d’être les sentinelles des dérives du système de soins moderne. La section Santé se veut aussi un outil pragmatique présentant des solutions concrètes pour rester en bonne santé.

 


 

Le cancer est la première cause de mortalité chez les hommes, et la deuxième chez les femmes. Il s’agit donc bien d’un sujet central en matière de santé. Beaucoup d’argent a été englouti dans des plans cancer successifs, en France comme aux États-Unis. Beaucoup d’effet d’annonce et beaucoup de réjouissances sur les progrès à venir et les espoirs de traitement de cette maladie emblématique. Mais pour quels résultats finalement ? L’heure du bilan a sonné, et il est temps de mesurer les réelles améliorations en termes de survie, et en termes de qualité de vie.

 

La récolte est bien maigre. En effet, dès lors que l’on ajuste les chiffres en tenant compte des modifications démographiques, accroissement ou vieillissement de la population, la réalité apparaît. Réalité dure à admettre, mais réalité chiffrée : la chute de la mortalité est inférieure à 5 %, sur une période de 50 ans, et sur un ensemble de 40 pays occidentaux ! [1]. Pas de quoi fanfaronner avec de tels résultats, et aucun « progrès de la médecine » en vue malgré les bonnes volontés. Pourtant, en dépit de ces piètres résultats, le cancer est, avec la vaccination, le deuxième grand tabou auquel il ne faut pas toucher si on veut s’épargner les foudres de la bien-pensance médicale. Même les revues indépendantes de santé dites alternatives ne s’y risquent pas, et se cantonnent simplement à la gestion de l’après-traitement  [2]. Mais par respect pour les malades, à qui nous devons plus de transparence sur ce qui les attend, nous allons nous y coller.

Nous nous proposons de traiter ce sujet difficile en trois parties. Une partie chronologique sur les illusions servies au grand public, qui contrastent cruellement avec le néant des avancées thérapeutiques. Un vernis qui peut donner un temps à l’observateur extérieur la sensation que la science et la médecine maîtrisent leur sujet, mais nous verrons que le vernis craquelle vite dès lors que l’on s’approche d’un peu plus près, et encore plus vite si l’on est concerné. Puis une deuxième partie plus conséquente, à notre sens passionnante, sur les évolutions de la manière de penser le cancer, sur les modes thérapeutiques et les déconvenues de la recherche en cancérologie, pour mettre en lumière que nous ne savons toujours rien sur la cellule cancéreuse, pas plus les Prix Nobel que les Centres Cancer. Mais nous présenterons aussi les résultats irréfutables de chercheurs indépendants dont les travaux pourtant publiés n’ont malheureusement pas été suivis. Et une dernière partie, que nous espérons plus pratique, pour aider les bien-portants à le rester. Pour aider les malades, et les familles des malades, à établir avec discernement et recul, la meilleure stratégie possible pour eux-mêmes. Et nous l’espérons pour redonner espoir.

 

Première partie : Nous allons vaincre le cancer (? !)

 

Une connaissance vieille de 4 500 ans

2 500 ans avant JC, Chakara, un célèbre sage hindou classifiait les tumeurs en deux catégories. Il distinguait « arboda », les tumeurs bénignes, d’une part, et « ghataka », les tumeurs malignes, de l’autre. Notre sage conseillait de ne traiter QUE les tumeurs bénignes. Était-ce une façon de souligner l’importance de la prévention et de baliser les limites d’intervention humaines possibles ? Mais c’était il y a 4 500 ans. Depuis, nous pouvons imaginer que nous n’en sommes plus là.

Mille ans plus tard, on retrouve en Égypte la trace retranscrite du plus ancien cas connu de cancer : un cancer du sein. Ainsi, on apprend grâce au Papyrus Ebert, qu’il n’existe à cette époque aucun traitement à proposer au malade, sinon palliatif. Si l’on s’en réfère au déchiffrage du papyrus, la technique d’ablation chirurgicale de la tumeur était d’ailleurs tout à fait analogue aux techniques actuelles. Mais ça, c’était il y a 3 500 ans. Nous pouvons nous attendre aujourd’hui à un arsenal thérapeutique efficace.

Encore plus tard, en 490 avant JC, Alossa, reine de Perse, se découvrit une tumeur. Par crainte du cancer, elle la fit ôter par un esclave grec. Il ne s’agissait pourtant que d’un abcès. Cet interventionnisme, il y a 2 500 ans de cela, est l’exemple type d’actions inconsidérées, motivée par la terreur du cancer. Cette maladie mène très souvent au même genre d’excès encore aujourd’hui, tant du côté des patients que de celui du personnel soignant.

 

La cascade des prophéties médicales

Plus proche de nous, au cours de ses études, le doyen de notre section Santé se souvient de la lecture d’un livre déjà ancien sur le sujet, puisque datant d’avant la guerre de 14. On y annonçait avec triomphalisme que le cancer serait vaincu dans les… deux ans ! Mais ça, c’était il y a 100 ans. Aujourd’hui, nul doute que la cancérologie a fait de grands bonds en avant, que l’on imagine proportionnels aux fonds injectés dans la recherche.

Plus tard encore dans les années 60, on pouvait lire dans Médecine Praticienne, revue qui a sans doute disparu depuis, à l’occasion d’un numéro de fin d’année, un article qui se risquait à quelques pronostics sur le développement de la recherche médicale. Parmi les plus audacieuses prévisions de ce Nostradamus médical figurait la guérison de cancer, prévu pour...1985 !

 

Le saint Graal de la cancérologie ou l’imminence de la solution

La littérature médicale internationale se rassure sans cesse par la présence des fameux opérateurs grammaticaux de la langue anglaise. Les auteurs emploient généralement de prudentes conjonctions, écran de fumée fort utile qui masque l’absence de résultat. Le fantôme rassurant du wishfull thinking, le tutélaire « vœu pieux » ne coûte pas grand-chose finalement. On dit bien que les promesses n’engagent que ceux qui y croient... Il sera ainsi fait un usage généreux de formules évasives (sous réserve, à condition, peut-être) qui finissent par endormir la vigilance et attendrir la vérité. À leur lecture, la solution est toujours imminente et l’on n’a jamais été aussi proche de découvrir un traitement. « Chers lecteurs, chers malades », lit-on en substance, « encore un peu de patience, on est presque arrivé ». C’est une constante, un optimisme béat illumine la plupart des millions de publications au fil des ans. Et des parutions, il y en a ! Pour la seule période entre 1970 et 2000, on ne compte pas moins de 10 000 000 articles « scientifiques » sur le cancer.

Les malades en revanche se heurtent vite à la dureté du principe de réalité. Il semblerait bien que cette solution imminente ne soit malheureusement jamais atteinte, à l’image de cette métaphore du poète Jean Richepin décrivant l’horizon qui s’éloigne chaque matin, pour ne jamais être atteint le soir. Une perspective moins réjouissante qui change fondamentalement la vision des choses. Les promesses, généreuses et gratuites, sont hélas rarement suivies d’effets positifs sur la santé. Les paramètres conditionnels qui y sont accolés ressemblent à s’y méprendre à la ligne écrite en tous petits caractères au bas de la page de votre contrat d’assurance. Il y a si souvent en effet, une ou deux closes discrètes faisant en définitive que nous serons très mal remboursés... L’incontournable vedette de ces accessoires de sécurité est sans conteste la formule « Le problème reste encore mal compris ». (Traduisez par « On n’y comprend rien »). Cette close apparaît immanquablement depuis qu’il existe une littérature scientifique. Il existe donc bel et bien un saint Graal de la cancérologie, dont le scénario monotone est toujours le même : il est là, il est tout près, encore un peu de temps et nous toucherons au but. Quel malade n’a pas entendu « On fait des progrès tous les jours, on espère que vous aussi en profiterez bientôt ». Mais vous avez compris qu’il ne fallait pas être trop exigeant sur la validité des promesses.

 

La pauvreté des moyens disponibles

Est-ce que les fausses promesses sont de véritables mensonges ? Le menteur y croit-il lui-même ? Les faits en tout cas sont souvent invisibles, habilement enveloppés sous le manteau de la statistique. Il existe un gouffre abyssal entre l’apparence de sérieux et de maîtrise du phénomène cancer tel qu’il nous est servi dans les émissions grand public , – blouses blanches, ton docte et gros plan de microscopes – , et la terne réalité vécue par les malades. Idem pour les publications scientifiques. Ce que l’abondante littérature masque en réalité, c’est bien la pauvreté des moyens disponibles. D’honnêtes chercheurs en ont pourtant constamment rendu compte au cours de l’histoire. Harden Jones, à la suite d’une vaste étude portant sur divers type de cancer, concluait en 1956 :

« Le plus vraisemblable, c’est que, en matière d’espérance de vie, la chance de survie n’est pas meilleure avec que sans traitement, et il est possible que le traitement réduise l’espérance de vie ».

Harden Jones rejoignait par cette constatation dérangeante, et au delà des siècles, le conseil avisé de Chakara, notre sage hindou. L’écrasante majorité des études n’apportent rien de nouveau. Voici pour illustrer notre propos, un autre extrait datant de 1967, très révélateur de l’entretien volontaire ou non, de ce langage creux dans la littérature médicale sur le cancer :

« Aujourd’hui, les patients atteints d’un cancer de l’estomac peuvent espérer une guérison à condition que la tumeur soit confinée au seul estomac, et à la condition que le chirurgien soit compétent pour faire ce qu’il faut pour la retirer toute entière ». C.S. Cameron [3]

La conclusion de Camerone se veut rassurante, mais se révèle en réalité bien niaise au lecteur qui se donne la peine de lire entre les lignes. À ce compte-ci, on pourrait tout aussi bien promettre à des sportifs du dimanche un bon espoir de gagner la compétition à condition...qu’ils y prennent part. Ce n’est pas plus absurde : en effet, pourquoi faudrait-il une chirurgie d’exception pour procéder à l’ablation d’une tumeur récente et de surcroît n’atteignant que l’estomac ? L’esclave de la reine Alossa y est bien parvenu, et sans avoir usé les bancs de la faculté de médecine. Tant qu’à faire, dans le même style, nous avons aussi la tirade de Brice de Nice : « Je sais nager...mais pas dans l’eau ». En d’autres termes : on sait guérir un « modèle théorique » de cancer, mais pas les cas particuliers rencontrés dans la vraie vie.

Continuons notre remontée historique. En 1975, c’est un membre de l’OMS cette fois, Logan, qui confirme Harden Jones, en résumant une étude globale du cancer du sein. En effet, Logan montre que malgré des traitements les plus radicaux, non seulement la mortalité n’a pas décliné, mais elle s’est au contraire probablement accrue. À la fin des années 70, plus explicite encore, Thomas Dao du département de chirurgie du Roswell Park Memorial Institute à Buffalo, abonde dans le même sens :

« En dépit de l’amélioration des techniques chirurgicales, des progrès en radiothérapie et de la vaste propagation de la chimiothérapie, la mortalité du cancer du sein n’a pas changé en 70 ans ».

De grands scientifique l’ont dit, l’ont publié, l’ont répété sans être entendus et sans provoquer le moindre changement dans la manière d’aborder le cancer. Il a fallu attendre cette prise de conscience courageuse du Lancet, lançant un pavé dans la marre par le biais d’un éditorial musclé paru en 1993 et intitulé « Cancer du sein : avons-nous perdu la guerre ? » [4].

 

La vérité est dans Vogue

On peut dire que cet éditorial fait date. Écrit comme une véritable confession, humble et réaliste, The Lancet pose en substance les états généraux de la cancérologie :

« Certains lecteurs peuvent être effrayés d’apprendre que l’ensemble de la mortalité par cancer du sein reste stable… Si l’on croit l’énorme battage médiatique, le triomphalisme de la profession dans les publications et les petits miracles claironnés par les fondations contre le cancer, on peut être surpris que les femmes meurent encore de cancer. Pourtant il a fallu que le magazine de mode féminin Vogue [5] attire l’attention sur la vérité inéluctable. La leçon la plus importante que nous avons à apprendre de cette morne période est la capacité extraordinaire de la profession à l’auto-illusion ».

Newsweek (numéro du 30 novembre 1998) reprend ensuite le flambeau de l’énoncé des faits sans double langage. Trente ans après la déclaration du chirurgien Thomas Dao, Newsweek ne laisse pas la place au moindre doute sur l’échec absolu des oncologistes états-uniens, dans une description minutieuse de la situation. En effet, en trois décennies, bien que le président Nixon ait hissé les couleurs et déclaré la guerre au cancer, et après que l’Amérique ait dépensé des milliards de dollars pour trouver de meilleures voies de destruction des tumeurs malignes, on y découvre consternés que le taux de mortalité reste hélas totalement inchangé. Ne nous décourageons pas. Allons encore plus avant avec notre machine à parcourir le temps pour découvrir les derniers développements de cette saga médicale à une période un peu plus récente. L’Hindustan Times du 31 juillet 2003 titre « La guerre contre le cancer est un travail de longue haleine ». L’article explique que, il n’y a pas si longtemps, la défaite du cancer paraissait inévitable (et donc la victoire… certaine !). On annonçait la fin des chimiothérapies aux horribles effets secondaires, grâce à l’émergence de molécules brillamment conçues, qui détruiraient seulement les cellules cancéreuses en laissant intactes les cellules normales. Malheureusement, le succès n’a encore une fois pas été au rendez-vous. Car si les molécules sont bien là, le cancer… aussi. Mais c’était il y a 15 ans, et nul doute qu’aujourd’hui les choses vont enfin changer.

 

On ne va pas vous guérir, mais vous accompagner

En effet, de la nouveauté, il y en a. Notre période contemporaine est marquée par un tournant conceptuel important introduisant un changement de perspective dans la formation des médecins. Si autrefois, la médecine cherchait à guérir, ce n’est plus le cas aujourd’hui. On apprend aux étudiants en faculté qu’il n’est pas possible de guérir, la guérison étant considérée comme un idéal inatteignable. Ainsi, les médecins dispensés de guérir, seront seulement formés à « accompagner » les malades. Un changement de paradigme qui se ressent dans les publications, et qui touche également le phénomène cancer. Lentement mais sûrement, on peut deviner que le cancer sera désormais de plus en plus présenté comme une maladie chronique avec laquelle il faudra négocier tout au long de sa vie. Cette évolution déplace le but de la recherche. La guérison est abandonnée pour une demi-mesure, dont les malades devront se satisfaire.

Pour exemple, la déclaration du docteur Leonard Saltz, expert de l’Institut Sloan-Kettering à propos du cancer : « Il sera malheureusement avec nous pour longtemps ! ». Et le Docteur Craigh Enderson de l’Université de Californie de rajouter : « La société dans son ensemble et la plupart des médecins ont une compréhension erronée de la situation ; ils croient en effet qu’en se réveillant un beau matin ils découvriront que le cancer est vaincu. Cela n’arrivera pas ». Ce que ces auteurs espèrent désormais, c’est de transformer le cancer en une sorte de maladie chronique, comme le diabète. D’ailleurs, le docteur Von Eschenbach envisageait avec beaucoup d’optimisme que cette stratégie de transformation du cancer, serait effective pour 2015. Mais c’était il y a trois ans. Nul doute que… Cette fois on ne peut plus y croire. Le planning devient vraiment trop serré. Aujourd’hui en 2018, sans surprise, on attend toujours. Il conclut : « Éliminer le cancer ? Pas dans un futur prévisible ».

 

Banqueroute scientifique

Ce tour d’horizon démontre l’incroyable capacité de la médecine à s’auto-persuader et à se congratuler pour des progrès qui n’en sont pas. C’est une évidence, les investissements gigantesques dans la recherche contre le cancer n’ont vraiment pas amélioré grand-chose en termes de survie, ni même en terme de qualité de vie. Les stratégies passées ont tout simplement échoué. On passe de la promesse de la guérison à la promesse de la bonne gestion de la maladie, concept qui resterait d’ailleurs à définir, avec deux conséquences à la clé. La fin de nos haruspices médicaux, qui devenaient à la longue pathétiques tout autant que lassants. Et le début d’un nouveau marché (ce qui ne va pas déplaire à Big Pharma), dans la mesure où chronicité du traitement rime avec chronicité des dépenses de santé. Comme quoi en cancérologie aussi, on transforme la guerre violente en une guerre de basse intensité !

Au fond, qui est vraiment dupe ? Toute l’hypocrisie grammaticale des publications scientifiques n’entraîne pas d’adhésion enthousiaste pour la bonne raison qu’elle n’est pas assortie de progrès dans le quotidien des patients. La vérité finissant toujours par transpirer, – ici dans la référence des magazines féminins, Vogue en l’occurrence –, la cancérologie perd peu à peu de sa crédibilité. À tel point que le prix Nobel J. D. Watson a qualifié la cancérologie de « banqueroute scientifique, médicalement inefficace et financièrement ruineuse ». Le pire étant peut-être que le chemin se poursuit jusque dans la tête des cancérologues eux-mêmes, qui malgré un discours de façade, ne peuvent que constater les dégâts réels. Pour preuve, cette enquête du Los Angeles Times. On y apprend que plus de 75 % des oncologues interrogés déclarent que s’ils avaient un cancer, jamais ils n’auraient recours à la même chimiothérapie que celle qu’ils prescrivent à leurs patients. À cause de son inefficacité et de son inacceptable degré de toxicité. Cynique ? Peut-être. Mais prévisible. À l’instar de la déclaration du médecin et ex-ministre Dominique Voynet dévoilant que les enfants les moins vaccinés se trouvaient être ceux des professions médicales. Car dès lors que l’on sait, on est alors en mesure de prendre les décisions qui s’imposent.

- La Section Santé d’E&R -

Notes

[1] Laurent Schwartz. « Cancer, un traitement simple et non toxique, les premiers succès du traitement métabolique ». Thierry Souccar Editions, 2016.

[2] Par exemple : « Le cancer est un territoire réservé à la médecine conventionnelle » Plantes & Bien-être de novembre 2017, page 1.

[3] CS Cameron, The Truth about Cancer. Collins Books. New York 1967.

[4] The Lancet editorial 34 (fev) 343-344, 1993

[5] Vogue, Hutton D, breast cancer : private griefs is turning to puplic outrage. Vogue 1993, 157 pages 120-125.

Prendre soin de sa santé avec Kontre Kulture :

Les excellents articles de la Section Santé d’E&R :

 
 






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66 Commentaires

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  • #1923191
    Le 19 mars 2018 à 00:10 par Fanch
    N’ayez pas peur du crabe !

    Dommage que cet article ne traite pas des "chercheurs maudits, savants exclus" recensés par Pierre Lance : Solomidès, Beljanski, Gernez et consorts. Le succès de leurs traitements anticancéreux novateurs et alternatifs aux chimiothérapies leur a malheureusement valu des persécutions impitoyables dans le but réussi de les discréditer et de les faire tomber dans l’oubli...

     

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    • #1923479
      Le Mars 2018 à 13:14 par guili guili
      N’ayez pas peur du crabe !

      Lisez plus attentivement l’introduction : on vous y explique que le sujet sera traité en trois parties. Cet article constitue la première partie. Pour la deuxième partie, voici ce qui est annoncé :
      "Puis une deuxième partie plus conséquente, à notre sens passionnante, sur les évolutions de la manière de penser le cancer, sur les modes thérapeutiques et les déconvenues de la recherche en cancérologie, pour mettre en lumière que nous ne savons toujours rien sur la cellule cancéreuse, pas plus les Prix Nobel que les Centres Cancer. Mais nous présenterons aussi les résultats irréfutables de chercheurs indépendants dont les travaux pourtant publiés n’ont malheureusement pas été suivis."

       
  • #1923255
    Le 19 mars 2018 à 06:33 par Socrade
    N’ayez pas peur du crabe !

    Une petite histoire de cancer guéri : j’ai étudié l’hypnose pour moi (j’ai des problèmes...) trouvé les bons auteurs et en particulier Stephen Parkhill qui s’était spécialisé dans les cancers et maladies chroniques, qui sont donc inaccessibles à la médecine et sa causalité matérialiste. Ma cousine m’appelle et me dit que son mec a un cancer de l’estomac stade IV, métastasé, pas opérable, il est sous chimio, un an de survie en perspective... Je lui dit qu’en hypnose un cancer c’est juste un symptôme qui exprime une souffrance psychique très ancienne (avant 4 ans), ça n’a rien de spécial car on ne fait pas de diagnostic et surtout pas de théorie en hypnose, on ne veut rien savoir car c’est l’inconscient qui sait et ce sont les mêmes pratiques pour toutes les souffrances, il n’y a vraiment pas de diagnostic. Je bosse comme un tordu (j’ai absolument horreur de ça, c’est mon problème justement, mais bon, le laisser mourir c’est encore autre chose...) pendant deux mois, j’y vais, on fait 4 ou 5 sessions selon différents modèles du maitre de Parkhill qui s’appelle Gerald Kein, je dois dire qu’il fait l’hypnose magnifiquement et deux mois après au bilan : plus rien, plus de tumeur, plus de métas, plus de marqueurs sanguins et aujourd’hui il est complètement sorti des statistiques de survie.

    Le pire c’est que pour moi c’est un non-évènement et pour eux aussi : j’ai juste eu un sms me l’apprenant, même pas de remerciements :D

    C’était ma première session d’hypnose, je dois dire que c’est assez cool, je vous encourage à faire pareil et c’est pas si compliqué : vous étudiez à fond Kein et Parkhill, il y a tout sur le net et après vous persistez, c’est le plus important : n’imaginez pas qu’une auto-agression massive comme un cancer va tomber à la première séance-miracle, attendez-vous à voler d’échec en échec jusqu’à ce que l’inconscient lâche le morceau.

    Sinon vous avez la chimio... D’après vous la chimiothérapie contribue pour combien dans la survie en % ?

    2.1% c’est prouvé scientifiquement par méta-analyse des stats de survie (et 0.7% pour le cancer de l’estomac) :
    http://www.cancer.ca/fr-ca/cancer-i...

    Choisis ton camp camarade ER ;-)

     

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    • #1923871
      Le Mars 2018 à 21:19 par Youn
      N’ayez pas peur du crabe !

      Merci pour Klein et Parkhill.

       
    • #1923962
      Le Mars 2018 à 23:01 par Socrade
      N’ayez pas peur du crabe !

      Les chimios sont injectées au plus toxique possible, un peu plus et c’est la mort. La chimio provoque ainsi une expérience de mort imminente qui force la personne a faire le point sur sa vie, à se remettre en cause et à changer, c’est à dire à répondre à la demande que l’inconscient envoie via le cancer, c’est ça la vraie raison de son efficacité (expliqué par Parkhill).

      La preuve de ça ? Tous les patients guéris par la chimio disent que ça a été une profonde expérience existentielle qui leur ont permis de faire le point sur leur vie et de changer profondément leur point de vue et prendre des décisions existentielles.

      Réfléchissez deux secondes : ça n’a aucun sens, il devraient remercier uniquement la chimio si c’était le facteur de guérison !

      La personne qui a faillit être emportée par une septicémie, elle dit merci aux antibiotiques et au service de réa, elle ne dit jamais que l’important c’est d’avoir faillit crever et ainsi faire le point sur sa vie ! Vous voyez bien qu’avec le cancer, qui est une production du corps, on est sur de la causalité existentielle et pas matérielle.

      C’est le job du système immunitaire de virer les cellules qui pètent les plombs, il doit le faire des dizaines de millier de fois par jour : s’il laisse passer quelque chose c’est que la partie inconsciente du psychisme pense que ça a une fonction existentielle.

      Le fait que la médecine a dépensé des centaines de milliards en pure perte est la preuve que la causalité prépondérante dans le cancer est psychique et pas biochimique.

      Sinon je n’ai pas mis le bon lien sur les 2,1% d’efficace des chimiothérapies dans la survie à 5 ans, le voici : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed...

       
    • #1924004
      Le Mars 2018 à 01:12 par Gelee Royale Air Force
      N’ayez pas peur du crabe !

      Oui, toxique, les platines sont dérivées de gaz de combat écrit Schwartz, qui ne liste hélas pas les effets secondaires qui se rajoutent selon lui à la diminution des globules blancs et plaquettes...

      Par contre, risque de rechute, car les chimios créent plus tard des "clones tumoraux"... Des trucs bizarres m’a dit une vieille infirmière en cancéro.

      Oui septicémie surtout après la 2e chimio... Car plus de globules bllancs (à reconstituer en mageant en 7 jours. Risque vital engagé ...

       
    • #1934593
      Le Avril 2018 à 00:13 par Wilhelm
      N’ayez pas peur du crabe !

      Pour Socrate... Parler de psychisme pour une pathologie physique est de l’inconscience pure et donc tu n’a rien à faire dans le corps médical... Les organes cités par le cycle d’ Hippocrate ne font en aucun cas la présence du cerveau. A part si tes cours sont faits à partir d’internet.
      Cordialement.

       
  • #1923256
    Le 19 mars 2018 à 06:43 par neribu
    N’ayez pas peur du crabe !

    Certains ont dit : le cancer fait vivre plus de personnes qu’il ne tue...

    Pour le reste, il serait intéressant de savoir où passe vraiment l’argent des dons depuis des décennies... je mets dans le même sac celui du téléthon...

     

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    • #1924078
      Le Mars 2018 à 08:20 par PAS
      N’ayez pas peur du crabe !

      Les appels aux dons sont des plateformes de blanchiment d’argent avec de faux donateurs. Il y a un épisode de la série breaking bad qui explique comment ils font.
      Ensuite si toutefois des ahuris envoient vraiment de leur argent, ils font la fête avec.

       
  • #1923585
    Le 19 mars 2018 à 15:48 par Paphytos
    N’ayez pas peur du crabe !

    Le cancer c’est une question très facile. Tout les jours nous avons des tonnes de cancers mais le corps les gère sans soucis, c’est quotidien. Le cancer qui se développe est celui que le corps n’a pas su gérer parce qu’il n’en avait pas les capacités. Pourquoi ? Parce qu’on mange de la merde, et même si on mange bio on se nourris quand même de sucre (pain), ce qui acidifie le corps et donc prépare le terrains à une tonne de maladie.

    Assurez vous de ne pas être en acidose, mangez sainement, bougez pour de vrais et arrêtez tout ce qui est chimique (synthétique) et votre corps seras incompatible avec le cancer (donc il ne se développeras pas/se détruiras)
    Et n’oublions pas que le jeune est un processus fondamentale dans le maintient de la santé car il permets de purger le corps de ces toxines.

     

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    • #1923678
      Le Mars 2018 à 17:48 par guili guili
      N’ayez pas peur du crabe !

      « Le cancer qui se développe est celui que le corps n’a pas su gérer parce qu’il n’en avait pas les capacités. Pourquoi ? Parce qu’on mange de la merde, et même si on mange bio on se nourris quand même de sucre (pain), ce qui acidifie le corps et donc prépare le terrains à une tonne de maladie. »
      Votre réponse à votre "pourquoi" manque de précision : le corps possède deux lignes de défense pour gérer les mécanismes réparateurs du corps (division cellulaire) et assurer qu’ils ne s’emballent pas. Première ligne : enzymatique. La cellule cancéreuse est entourée d’une charge électrostatique qui la protège de l’attaque des globules blancs. Toutefois, cette charge électrostatique est détruite par les enzymes pancréatiques, mettant alors la cellule cancéreuse à la merci des globules blancs. Si cette ligne ne fonctionne pas (par exemple parce qu’une alimentation trop riche en sucres accapare tous les enzymes pancréatiques pour la digestion), alors il y a une deuxième ligne de défense : l’action de la vitamine B17. J’espère que les auteurs de la section Santé d’É&R prendront le temps d’expliquer son mécanisme dans le détail dans la deuxième partie (à venir) de leur exposé. Sinon, je le ferai en commentaire.
      Conclusion : oui, tout ce qui agresse le corps (par exemple les pollutions chimiques) va engendrer des mécanismes de réparation qui présenteront le risque de s’emballer (cancer), mais le corps a deux manières de prévenir cet emballement, l’un enzymatique et l’autre vitaminique.

       
  • #1923669
    Le 19 mars 2018 à 17:40 par Cisco38121
    N’ayez pas peur du crabe !

    Un article intéressant mais sujet à précaution. L’accent est notamment mis sur les tumeurs mais pour reprendre les propos d’un commentaire précédent, certains cancers ont vu leur pronostic complètement "bouleversé" par la recherche. J’ose le dire car je fais malheureusement partie des personnes touchées par le cancer. Atteint d’une leucémie myéloïde chronique, je ne serai probablement plus là si je l’avais eu 20 ans plus tôt car je n’aurai eu que pour seule option la greffe avec les effets secondaires dévastateurs et une mortalité liée à celle-ci très élevée. D’un cancer au pronostic les plus sombres, je suis passé à une maladie devenue chronique grâce à la mise au point d’une thérapie ciblée qui sert à priori de modèle aux autres cancers, et ce qu’on le veuille ou non, c’est bien grâce aux chercheurs, cancérologues etc...Il est évident que la chimiothérapie a des effets néfastes, parfois et même souvent pires que la maladie en elle même mais il ne faut pas mettre tous les oeufs dans le même panier. Sans ce médicament, je ne saurai plus là et mes filles n’auraient déjà plus de père car cette maladie déclarée pour moi voilà 4 ans et qui n’avait autrefois que 2 à 5 ans d’espérance de vie, est devenue chronique grâce aux progrès de la médecine. Néanmoins, je rejoins à 100% l’idée que l’industrie pharmaceutique s’engraisse de manière honteuse sur notre dos car pour moi la survie à un côut : Plus de 40 000 euros par an !! Mais sans elle je ne serai plus de ce monde....Je constate également malgré tout car je m’y suis beaucoup intéressé depuis mon diagnostic que les progrès sont moindres dans les autres cancers, et surtout que la médecine tend vers un déclin inquiétant et cela va malheureusement de pair pour la recherche, je n’ai pas mémoire d’une découverte fulgurante en matière de traitement de cancer. Enfin, il faut également souligner que même si j’adore ce site que je consulte tous les jours et me délecte de l’ensemble des intervenants extrêmement cultivés, l’on a tendance à culpabiliser le malade qui, malgré tout ce que l’on peut croire, est l’"otage" de pensées un peu trop stéréotypées, comprend qui pourra ! . Les médecines alternatives sont un excellent moyen pour faire face aux effets secondaires des traitements, à la douleur liée à la maladie mais quand un médicament efficace existe, personne n’a le droit et tout le monde à le devoir d’inciter les gens à se soigner. Ma démarche n’est pas de prouver quoique que ce soit, juste de nuancer. Longue vie à ER.

     

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    • #1923919
      Le Mars 2018 à 22:04 par guili guili
      N’ayez pas peur du crabe !

      Merci pour votre témoignage.
      Personne ici, je crois, ne dit que vous ne devriez pas vous soigner comme vous le faites. Que chacun choisisse librement son traitement.
      Par ailleurs les approches alternatives ne contredisent pas ce que la médecine officielle sait du cancer. On ne peut nier que les chercheurs institutionnels ont cherché dur... mais seulement dans la direction qui pouvait faire le beurre de Big Pharma. En effet, ce n’est pas avec l’hypnose, le jeûne, l’hyperthermie, les vitamines K et C et les amandes amères d’abricot qu’on va générer des milliards de bénéfices...
      Personnellement, je pense que si on avait mis ne serait-ce qu’un dixième de l’argent qui a été consacré à la recherche "officielle" dans la prévention et la recherche sur les méthodes de traitement naturelles, le cancer fatal serait rarissime aujourd’hui.

       
    • #1923989
      Le Mars 2018 à 00:28 par Enys M.
      N’ayez pas peur du crabe !

      Je rejoins votre commentaire guli guli, sachant qu’en Allemagne et en Russie, des services entiers sont consacrés au jeûne thérapeutique, comme le montre ce documentaire fort instructif d’Arté (quand BHL est au Maroc, évidemment) : https://www.youtube.com/watch?v=kav....

      Longue vie à toi Cisco38121

       
    • #1925344
      Le Mars 2018 à 17:16 par Régis
      N’ayez pas peur du crabe !

      @Guili guili

      "Personnellement, je pense que si on avait mis ne serait-ce qu’un dixième de l’argent qui a été consacré à la recherche "officielle" dans la prévention et la recherche sur les méthodes de traitement naturelles, le cancer fatal serait rarissime aujourd’hui."

      Voilà le problème cher ami, vous êtes beaucoup à "penser personnellement", ce qui se traduit bien souvent par le fait d’asséner vos opinions vaporeuses comme des vérités ou des hypothèses sérieuses à propos de sujets que vous ne maitrisez ni de près ni de loin. Ces opinions bien souvent vous vous les êtes forgées au doigt mouillé ou bien plus souvent par ce magnifique téléphone arabe qu’est internet, où il suffit qu’un blaireau raconte une ineptie quelconque avec suffisamment d’aplomb, pour qu’il soit immédiatement suivi par une foule de connards toujours plus affirmatifs et péremptoires qu’ils en savent le moins.

      L’expression d’une opinion doit certes être libre, néanmoins, cela ne dispense pas de l’humilité et de la prudence la plus basique dans l’expression de ladite opinion.

      Les questions ne santé sont trop graves et trop tragiques pour être discutées sans méthode ni connaissances à coup de traitements alternatifs néo-chamaniques ou de témoignages de la guérison miraculeuse de son arrière-belle sœur suite à l’ingestion d’un bonbon gout citron pendant une séance de spiritisme.

       
    • #1926466
      Le Mars 2018 à 21:06 par guili guili
      N’ayez pas peur du crabe !

      Ouhlala, Régis, visiblement, mon commentaire vous a énervé !
      Vous faites bien de relever ma formulation "Personnellement, je pense...", car cela fait justement quelque temps que je me suis donné le droit de penser par moi-même pour ce qui concerne ma santé, au lieu d’écouter sans esprit critique et de croire benoîtement "ceux qui savent" (qui savent peut-être beaucoup de choses, mais peut-être pas les choses les plus utiles et efficaces). J’ai entrepris une démarche que j’appellerais "démédicalisation" : j’ai renoncé aux multiples examens de dépistages de routine, examens devenus tellement sensibles aujourd’hui qu’on est absolument sûr de vous trouver quelque chose et de le traiter - probablement inutilement car la chose en question n’était ni grave ni réellement anormale.
      Peut-être que cela vous agace, mais les guérisons spectaculaires que le médecine "officielle" ne sait pas expliquer existent bel et bien et posent de réelles question que cette même médecine n’a pas trop envie de se poser (ça pourrait compromettre les jolis bénéf de Big Pharma).
      Oui, je trouve normal d’avoir pu exprimer mon opinion librement et contente aussi que vous ayez pu faire de même. Apparemment nous n’avons pas la même approche, mais est-ce si grave ?

       
  • #1923807
    Le 19 mars 2018 à 20:04 par Abdu
    N’ayez pas peur du crabe !

    « Pour la seule période entre 1970 et 2000, on ne compte pas moins de 10 000 000 articles « scientifiques » sur le cancer. »

    Pour les subsides, recevoir le titre de docteur ès-sciences...

     

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  • #1923986
    Le 20 mars 2018 à 00:20 par Enys M.
    N’ayez pas peur du crabe !

    Ah ça aurait été pas mal, me semble t’il, de rediriger vers le livre que Kontre Kulture édite "Les Maladies dégénératives - Les Propositions du docteur André Gernez" d’Abbeville Soline qui est une petite bombe d’informations, couplé avec les vidéos (trouvable sur youtube) de ce grand Docteur qu’il était.

     

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  • #1924025
    Le 20 mars 2018 à 03:24 par Frederic
    N’ayez pas peur du crabe !

    Bonjour. Je n’ai vu aucune solution valable dans tous ses commentaires et si par exemple la methode de Linus Pauling retarde l’evolution du cancer, elle ne le stoppe pas car le cancer n’est pas la finalite. La finalite est ce qui provoque le cancer. Il est bon de lire le livre de Ty Bollinger : ’’Cancer, sortez de la boite’’ (telechargement gratuit), il vous aide a orienter votre reflexion dans la bonne direction.
    La verite est assez compliquee et il ne faut pas blamer la medecine officielle qui correspond aux demandes de la majorite des gens qui ne sont plus par leur physique comme par leur esprit sous l’influence de Dieu mais du Diable (99% des personnes n’en ayant pas conscience et croyant bien penser et agir).

     

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    • #1924088
      Le Mars 2018 à 08:43 par guili guili
      N’ayez pas peur du crabe !

      « Je n’ai vu aucune solution valable dans tous ses [sic] commentaires » - voilà une affirmation bien péremptoire...
      « ...ne sont plus par leur physique comme par leur esprit sous l’influence de Dieu mais du Diable (99% des personnes n’en ayant pas conscience et croyant bien penser et agir) » - et vous, vous êtes dans le 1%, bien sûr ?
      L’humilité est le fondement de toutes les autres vertus...

       
    • #1924225
      Le Mars 2018 à 12:15 par giustizia
      N’ayez pas peur du crabe !

      C’est exactement ce que j’ai pensé, Frederic, comme souvent et malgré toutes les recherches, si Dieu ne veut pas encore nous rappeler à Lui, quelle que soit la maladie on s’en sort. Cela dit, je trouve quand même incroyable qu’après tant de recherches, aucun consensus de guérison fiable n’ait émergé. Et on se sent bien seul face à la maladie. Le titre de l’article est sympa, mais la réalité ne l’est pas du tout.

       
    • #1924693
      Le Mars 2018 à 20:18 par guili guili
      N’ayez pas peur du crabe !

      @ giustizia

      Je trouve étrange que pour vous la Foi vous affranchisse de tout devoir de prendre soin de votre corps, "véhicule" de votre vie terrestre. Une vie précieuse vous a été donnée, n’est-ce pas votre devoir de la favoriser ? Si l’on pousse votre raisonnement à l’extrême, alors je suppose que vous ne regardez pas s’il vient une voiture avant de traverser la rue ? Ben oui, si Dieu ne souhaite pas vous rappeler à Lui à ce moment-là, vous vous en sortirez toujours.... Ce n’est pas un peu déresponsabilisant, comme approche ?

       
    • #1924713
      Le Mars 2018 à 20:44 par giustizia
      N’ayez pas peur du crabe !

      @ guili guili : je me suis mal exprimée, je voulais essentiellement cibler cette maladie-là, celle dont il est question dans l’article, le cancer quoi, car j’ai souvent constaté, comme d’autres ici, que des personnes très malades s’en sortent alors que d’autres meurent en quelques semaines seulement. D’où ma réflexion de croyante, on dirait bien que Dieu rappelle à lui dans un ordre qui lui est propre ! Autrement vous avez raison, il faut prendre soin de soi.

       
  • #1925020
    Le 21 mars 2018 à 10:41 par Régis
    N’ayez pas peur du crabe !

    Article intéressant, néanmoins assez décousu et clairement partisan, avec des citations qui semblent dater pour beaucoup d’entre elles.

    Je regrette le manque de sources précises (5 seulement malgré le nombre de citations) et la tournure clairement partisane de l’article. Tout cela me semble assez léger lorsque l’on prétend parler de sujets aussi graves.

     

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  • #1925030
    Le 21 mars 2018 à 10:45 par petithous
    N’ayez pas peur du crabe !

    Si on arrive à vous faire croire que vous avez une maladie mortelle, alors ce sera un jeu d’enfant de vous faire croire que l’on vous a guéri !
    Le cancer comme toute maladie n’est pas une maladie sans causes !
    Même si les causes sont multifactorielles il est quand même surprenant de constater par exemple le nombre incroyable de femmes qui développent un cancer du sein dans l’année qui suit la perte d’un être cher !
    Il est quand même extraordinaire que l’on puisse accepter aussi facilement l’idée de soigner un individu en lui injectant des poisons !
    Il est aussi extraordinaire que l’on cultive l’idée qu’il faut se battre contre son cancer et que l’on ne comprenne pas que se battre contre son cancer c’est se battre contre soi-même !

     

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    • #1925080
      Le Mars 2018 à 11:42 par giustizia
      N’ayez pas peur du crabe !

      Votre commentaire très intéressant nous laisse sur notre faim ! Merci de développer.

       
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