Le projet de résolution sur le Kosovo soumis au Conseil de sécurité de l’ONU contient des dispositions qui ne peuvent pas être acceptées par la Russie, a déclaré samedi le porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Mikhaïl Kamynine.
Le problème du Kosovo peut être réglé sur la base d’une entente entre les parties en conflit, c’est-à-dire, entre les Serbes et les Albanais du Kosovo, et non pas sur la base de scenarios imposés de l’extérieur, selon lui.
C’est pourquoi la Russie préconise une élaboration conjointe de mesures à prendre pour intensifier le processus de négociations en vue de trouver un compromis qui permette de trouver une solution durable à ce problème.
Un projet de résolution approuvant le plan de l’ONU visant à l’octroi d’une indépendance surveillée à la province serbe du Kosovo (fondée sur le plan de Martti Ahtisaari) a été déposé vendredi au Conseil de sécurité.
L’ambassadeur américain, Zalmay Khalilzad, a indiqué aux journalistes vendredi que la majorité des 15 membres du Conseil de sécurité soutenaient l’idée d’accorder au Kosovo une indépendance qui s’exercerait dans un premier temps sous supervision internationale.
Source : http://fr.rian.ru
Le problème du Kosovo peut être réglé sur la base d’une entente entre les parties en conflit, c’est-à-dire, entre les Serbes et les Albanais du Kosovo, et non pas sur la base de scenarios imposés de l’extérieur, selon lui.
C’est pourquoi la Russie préconise une élaboration conjointe de mesures à prendre pour intensifier le processus de négociations en vue de trouver un compromis qui permette de trouver une solution durable à ce problème.
Un projet de résolution approuvant le plan de l’ONU visant à l’octroi d’une indépendance surveillée à la province serbe du Kosovo (fondée sur le plan de Martti Ahtisaari) a été déposé vendredi au Conseil de sécurité.
L’ambassadeur américain, Zalmay Khalilzad, a indiqué aux journalistes vendredi que la majorité des 15 membres du Conseil de sécurité soutenaient l’idée d’accorder au Kosovo une indépendance qui s’exercerait dans un premier temps sous supervision internationale.
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