Si les médias français ont bien annoncé la mort, à Venise, de Gilles Le Blanc, directeur adjoint du ministre de la Culture Aurélie Filippetti, ils ont jusqu’ici passé sous silence certaines informations pourtant diffusées par leurs homologues italiens, à l’image du quotidien Corriere Veneto.
Dans la poche de sa veste, les carabiniers ont trouvé un sachet de cocaïne d’un demi-gramme. Une quantité qui s’inscrit dans les limites de la consommation personnelle autorisée par la loi italienne.
Les carabiniers cherchent maintenant à savoir où Gilles Le Blanc s’était procuré cette drogue et si sa mort est due à une overdose ou si la drogue est pour quelque chose dans son décès. Hypothèse des plus vraisemblables si la cocaïne était coupée d’autres substances toxiques.
On cherchera en vain ces précisions sur la mort de Gilles Le Blanc dans la presse française.
Boulevard Voltaire a estimé de son devoir de les porter à la connaissance de ses lecteurs.