Réponse à l’article de l’hebdomadaire Le Point et ses allégations mensongères à l’encontre de Thierry Meyssan, Mecanopolis et son fondateur, Claude Covassi.
L’avalanche d’événements qui organisent aujourd’hui la confusion sur tous les sujets limite la possibilité de rétablir les faits sur un point quelconque, car il faudrait pour y parvenir que quelques réalités historiques, qui forment le contexte des faits, soient encore accessibles. Or, les médias officiels de notre époque, si funeste, les ont balayées, et plus encore l’intérêt pour la vérité qui en était le moteur.
Pour les médias officiels, l’abolition de l’Histoire est une sorte de nouvelle « liberté » qui les délivre de tout devoir vis à vis du passé comme de toute charge envers l’avenir : cette « liberté », ils y tiennent plus qu’à la prunelle de leurs yeux. Quiconque en critiquera le sens sera taxé de nostalgie fascisante, à moins que ce ne soit de penchant au fondamentalisme religieux, ou encore d’adepte de la théorie du complot. Aussi, nous n’avons pas été surpris, il y a un mois, que quelques salariés au Nouvel Observateur et au Matin Dimanche nous classent dans l’une ou l’autre – et peut-être même les trois – catégories.