Cette condamnation judiciaire n’abaisse pas Alain Soral ni ne grandit Frédéric Haziza. Elle aurait l’effet inverse que je n’en serais pas étonné. Le tort d’Alain Soral est d’avoir confondu Fréréric Haziza avec un chien pouilleux venu lui pisser dans les pattes. Il l’a éloigné sans ménagements. Il a fait ce que ses maîtres font sur lui au quotidien de façon répétée et dont il ne se plaint pas, bien au contraire, tant que sa gamelle est pleine. Quelle chance il a d’être né juif. Sinon, que serait-il ? Un informateur (c’est ce qui est le plus près du journalisme actuellement le plus répandu) ? Plus certainement un simple pauvre type qu’on n’aimerait pas avoir comme voisin, encore moins comme parent même éloigné. Ah la honte !
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