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Louise Glück, une vieille poétesse juive new-yorkaise, rafle le prix Nobel de littérature

Le prix Nobel de littérature est attribué chaque année par un jury de l’Académie suédoise qui fait son choix sur les recommandations d’autres académies littéraires. En gros, comme pour le concours Eurovision de la chanson, chaque pays envoie ses petits chouchous et ensuite les Suédois tranchent.

Louise Glück est couronnée « pour sa voix poétique caractéristique, qui avec sa beauté austère rend l’existence individuelle universelle », a annoncé l’Académie suédoise en décernant le prix à Stockholm. (Le Monde)

Cette année, les Vikings ont tranché pour Louise Glück. Qui est Louise Glück ? Personne ne la connaît, et ça tombe bien, puisque le Nobel de littérature est là pour « mettre en lumière un auteur et ses travaux » dit la brochure publicitaire. Louise est la gagnante parfaite : elle est juive, d’abord, femme, ensuite, américaine, enfin. On espère avoir respecté l’ordre d’importance sociale.

 

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Ici Louise fait un peu la gueule,
normal, c’est une prof de gauche

 

Trois super atouts – le petit, le Bout et le 21 – pour rafler un maximum de prix internationaux dans tous les domaines et d’ailleurs, cette année, c’est open bar pour les gonzesses en Nobel comme en Oscars.

Cependant, si Louise coche en apparence toutes les bonnes cases (féminisme, gauchisme, new-yorkisme), il en manque une, et de poids : la case Noire ou antiracisme. On le sait, en ce moment, c’est très important : le jury suédois veut-il déclencher des émeutes raciales à New York sur le modèle de Portland, la ville gérée par un homo sioniste ? Les Suédois seraient-ils taquins, ou négrophobes ? Les deux ??

Mais Louise est-elle vraiment blanche ? On le sait, une prof américaine juive s’est fait passer pendant des années pour une Noire souffrante, histoire de toucher le gros lot en cumulant les prestiges de deux minorités victimaires. Et puis, il y a les Falashas, ces juifs éthiopiens qui peuvent donner le change, donc méfiance.

 

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Une des rares photos où Louise sourit

 

On vient de le vérifier, sur photo, Louise est bien blanche (mais elle peut encore se dire noire car aujourd’hui on peut choisir son sexe et sa souffrance) et à propos de photo, plus jeune Louise était vraiment sexy, dans le genre intello faussement coincée qui se déchaîne au lit, ce que semble dire ce poème :

 

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On est en 77, Louise a 34 ans, elle est sexy même sans avoir de seins

 

Maintenant, le poème :

I did not expect to survive,
earth suppressing me. I didn’t expect
to waken again, to feel
in damp earth my body
able to respond again, remembering
after so long how to open again
in the cold light
of earliest spring –
afraid, yes, but among you again
crying yes risk joy
in the raw wind of the new world.

Je ne m’attendais pas à survivre
que la Terre me supprime, je ne m‘attendais pas
à me réveiller à nouveau, à sentir
dans la terre humide mon corps
capable de répondre à nouveau, en se souvenant
après si longtemps comment s’ouvrir à nouveau
dans la lumière froide
du premier printemps

peur, oui, mais à nouveau parmi vous
pleurant, oui, risquant la joie
dans le vent brut du nouveau monde

C’est très, très mauvais (le texte original et la traduc). Certes, on a traduit avec les moyens du bord mais ceux qui nous reprocheraient de juger la Glück à partir d’un seul poème sur 500 doivent savoir qu’on applique toujours la théorie du tonneau : si tu prends une louche du tonneau et qu’elle est dégueulasse, c’est que le vin est dégueulasse. Ou pas mûr. Il n’y a pas de hasard, en fait.

Et là, à 77 ans, c’est pas trop pardonnable de publier ou de laisser publier des trucs pareils. On vous trouve 250 poétesses de 14-15 ans un peu allumées à la Anne Frank qui sont capables d’écrire ce pauvre truc et même du plus chaud.

La poésie a perdu ses lettres de noblesse à cause de toute une bande de médiocres et/ou de malfaiteurs qui écrivent n’importe quoi et qui se prennent pour des Verlaine. Or, un poète, c’est pas juste quelqu’un qui découpe un texte en allant à la ligne plus souvent que prévu, mais un humain étrange qui fait montre d’une inspiration unique, qui produit des images que personne n’a jamais imaginées, belles ou moches c’est pas le problème, mais des images qui marquent, qui restent.

On ne va pas accabler la Louise, on va plutôt passer un poème de Hank, qui a un peu plus de classe que la prof de gauche de Yale.

 

 

Oh, bien sûr, il y a des poètes français, qui ont quasiment inventé le genre, et d’ailleurs ce sont les frenchies qui ont chouravé le plus de Nobel de littérature, ce qui ne veut pas dire que c’était les meilleurs, d’ailleurs : on n’a pas vu Céline dans la liste. Donc... Il y a même ce pauvre Sartre, mais en creux puisqu’il s’est ridiculisé en refusant le Nobel en 1964, ce qui a fait de lui, à son corps défendant, un écrivain mainstream.

Non, les très bons, ceux qui brûlent les doigts, ne sont pas à chercher dans le tas, sauf Soljenitsyne. De plus, à chaque fois qu’un écrivain est couronné, il est de gauche, donc chiant. Les vrais écrivains sont de droite, c’est bien connu, du coup il faudrait créer un Lebon, un Nobel de droite, qui se lit de droite à gauche.

En politique comme en chanson, il n’y a pas de démocratie

La poésie est en fait un art très sérieux, qui met des décennies à maturer. Par exemple, il n’y a pas de bon poète à 20 ans, sauf peut-être Rimbaud, mais lui est hors concours.

On parlait de concours Eurovision de la chanson ou de la littérature, certains esprits mal tournés diront encore que c’est encore Israël qui a gagné, en trafiquant les voix. On n’ira pas jusque-là, d’abord parce que ça va mettre Noémie Halioua en colère et parce que le public ne participe jamais à ce genre de prix, et quand il y participe, par exemple le concours eurosioniste de la chanson 2018 ou le référendum sur la constitution européiste de 2005, les votes sont truqués.
Alors... à quoi bon, chantait Jane Gainsbourg.

 

 

Nous parlerons une autre fois plus sérieusement de poésie, de ce travail ingrat – puisque ça rapporte pas un radis – que plus grand-monde ne lit, mais c’est aussi parce que le genre s’est effondré sur lui-même, sous la facilité, sans oublier la mainmise de la gauche, cette peste de l’intelligence, qui flingue tout ce qu’elle touche, comme le cinéma.

 

Pourquoi tout le monde devrait avoir un Glück dans sa bibli

 

Oh pardon, c’est une vidéo sur le Glock, pas la Glück ! Mais c’est aussi ça, la poésie, jouer avec les mots, les idées, les phrases, la musique, tout ça...

Post scriptum

Samuel, oh ! Samuel ! Viens ici ! Plus vite ! C’est quoi cette photo en une ? C’est Louise ou pas ? Si c’est pas Louise tu as déconné mais alors sévèrement. Ah, OK, tu t’es planté dans Google images. Le problème c’est qu’on peut pas virer la photo comme ça, techniquement c’est compliqué. Tu as de la chatte...

Comment ? Si t’avais mis la photo de la vioque personne n’aurait cliqué sur l’article ? Mais c’est pas écrit PlayBoy ici ! Tu nous prends pour qui ? Ne recommence jamais ça, hein. Ce coup-ci, on passe l’éponge.
Au fait, viens voir ici, mais non, on ne va pas te taper, et arrête de lever les bras quand on lève la voix : la brune, elle s’appelle comment en vrai ? Mais non, pas Louise, l’autre !

Félix, sur E&R :

 






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