Une partie du discours d’Attali avec l’école des juifs me fait douter et je reviens sur mes pensées d’avant ( = ma formation par des films sur la seconde guerre mondiale chaque trimestre ou année au moins) et puis j’ai vu le lien vers la vidéo de 20 secondes où Attali dit qu’il ne suffit pas de faire 7 gosses pour en faire des êtres humains et ce lapsus ? " des êtres humains ou juifs car c’est la même chose pour moi " m’a fait l’effet d’un seau d’eau glacée car sa pensée profonde est que les juifs sont des êtres humaisn , ce qui n’est pas le cas pour tous les autres !!!

Répondre à ce message

Mr. Attali pratique ici cet art de l’esquive que l’on attribue souvent, à tort ou à raison, aux juifs. En effet, il parle de la "tsedaka" mais n’en donne pas la définition !. Il ne dit même pas explicitement que le prêt à intérêt en fait partie !. Personne ne relève ... .

Il sous-entend que le prêt à intérêt ne consisterait pas à dépouiller les gens de leurs biens mais à les aider à s’enrichir financièrement.

S’en-ri-chir, voilà le maître-mot.

Peut-on s’enrichir à tout prix, Mr. Attali ?S’il existe une éthique juive de l’enrichissement (et pourquoi non ?), qu’elle est-elle, Mr. Attali ?..

Ce qu’il dit à la fin à propos de l’ Egypte conforte les vues de Cheikh Imran Hossein. Puisse Dieu protéger l’Egypte et toutes nos patries. Amin !.

Répondre à ce message

"École supérieure des étudiants juifs" : çà existe çà ?! On est où là ?!

Bref. D’accord pour dire que le problème est surtout juif, mais disons qu’étant de culture chrétienne, et donc plutôt pour le pardon que pour la revanche, j’opterai plutôt à la place du terme juif - et pas pour ne pas être taxé d’"antisémitisme", ce dont je me fous royalement : il y en a tellement ! - le terme USURIER, terme qui convient à mon avis beaucoup mieux. Comme çà on passe d’un niveau métaphysique-religieux à un niveau beaucoup plus "réel". D’ailleurs on ne peut juger que des faits, et pas des intentions ou je sais pas quoi, donc ne tombons pas dans la parano de l’ennemi !
Sans les usuriers, et non pas sans les juifs, on pourrait vivre beaucoup mieux, c’est vers çà qu’on va. Parce qu’on est les plus nombreux :)

Répondre à ce message

en avril 2010 il est déja quasi-certain de la chute prochaine de Moubarak, il se rectifie ensuite par "au moins à sa mort"..

alors qu’à l’époque il n’y avait rien qui laissait présager le printemps arabe.

les dictateurs étaient tous là depuis 30 ou 40 ans, et personne n’imaginait que ça allait changer.

Répondre à ce message

Merci d’avoir relevé Bromélia mais, il y a autre chose d’assez, disons ... déconcertant dans cette vidéo en rapport avec la pratique du prêt à intérêt : Mr Attali dit que c’est parce qu’ils (les juifs) se sont affaiblis qu’il y a eu la Shoah !.

Il ne s’agit plus de savoir si le prêt à intérêt est une activité bonne ou mauvaise.

Plus généralement, il ne s’agit plus aujourd’hui de savoir si la façon d’agir mise au monde par l’idéologie sioniste est bonne ou mauvaise.

La question est : allons-nous rester puissants ou allons-nous prendre le risque d’être affaiblis et subir une autre forme de Shoah ?.

Quels seraient les attributs de cette puissance ?.

Sur quels principes reposerait-elle ?.

Répondre à ce message

à 3:50 "je suis président de PlanetFinance, mais les 2 présidents d’honneurs sont 2 musulmans".

Merci Attali, mais un président d’honneur ne sert strictement à rien si ce n’est à donner un certain crédit auprès des banlieues du fait de leur "musulmanité" supposée. Encore une tentative vaine d’amadouer ceux qu’ils détestent par ailleurs.

Il y a qu’a regarder l’organigramme réel pour se faire une idée de qui dirige vraiment ta société :

http://www.planetfinance.org/FR/sie...

Répondre à ce message

École supérieur des étudiants juif ??? Je ne savais même pas que ça existait.

Répondre à ce message

Intéressant, ce qu’il raconte. Sauf que ça me semble faux.
S’il allait jusqu’au bout, il mentionnerait la mafia juive et les criminels financiers comme l’une des causes premières de ce qu’il appelle à tort "antisémitisme".

La question de l’usure est assez délicate : il y a tout de même une prise de risque de la part du prêteur, notamment de ne plus revoir son argent. Dans ce sens, il rend un service. Et les services se paient.

Blâmez-vous au lieu de blâmer les juifs : si vous aviez la sagesse de n’acheter que ce pourquoi vous avez déjà l’argent, vous n’en seriez pas là.
Je parle au niveau individuel, évidemment. Les états, eux, ont tout simplement pris en otage leur population. Et on sait bien que ce sont les populations qui subissent les effets dont les causes proviennent des élites.

Répondre à ce message

"L’Egypte, de ce point de vue, est le pays le plus à surveiller"
Tout s’explique, donc...

Répondre à ce message

Sur la puissance et la perte de puissance évoquées par Attali et citées d’ Anna Arendt, il s’agissait de la puissance politique de l’aristocratie Française à partir de Louis XIV qui, pour les raisons que l’on sait, s’était condensée à Versailles et donc coupé de sa représentation ostentatoire dans les provinces. L’exemple est cité à tort par Attali, qui dans une autre vidéo sur le pantalon à une jambe, était plus prés de la puissance de plus en plus ostentatoire de certains de sa communauté sur le dos de ses victimes.
Tout est faux dans l’analyse d’Attali et apparaît pour de la propagande sur internet suite à sa prestation sur le fameux "pantalon à une jambe" qui a du lui attirer les foudres de sa communauté pour une telle franchise involontaire.
Quant au XIX éme siècle, c’est celui de l’envol spectaculaire de la puissance financière et politique de la communauté juive. Si Attali avait mieux lu, ou lu, Anna Arendt, le sujet est clairement exposé dans son livre cité : Le totalitarisme, son origine et ses causes (à lire avec circonspection). Livre où il est malgré tout exposé quelques vérités qu’Attali se garde bien de citer : La volonté des élites financières juives que les états-nations du XIXéme n’accordent pas la citoyenneté aux juifs du peuple dans le but de conserver leurs privilèges, et l’implication des élites religieuses et politiques juives dans la shoah. Vérités qui lui avaient valu les foudres de sa communauté au titre qu’un(e) juif(ve) n’a pas le droit de critiquer un autre juif.

Répondre à ce message