Recette à l’envers, mais recette quand même !

Entièrement d’accord. Le simple fait que la Turquie insiste toujours avec autant d’ardeur pour entrer dans l’UE est un signe très révélateur qu’il y a anguille sous roche.
Toutes ces simagrées entre la Turquie et Israël n’est qu’une triste comédie.
Il n’y a pas d’antisioniste radicaux sur la scène politique et l’armée turque. Le judéo-franc-maçon Ataturk a fait du bon boulot ! Toutefois le peuple turc est sincèrement antisioniste et ceci explique pourquoi que le gouvernement Erdogan, prétendûment islamiste, est obligé de jouer à ce petit jeu avec Israël...

Cette savate de Lieberman peut faire le mariole, tout le monde sait que le génocide Arméniens est l’œuvre des adeptes de la synagogue de Satan et des sectes judaïsantes FM. 
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Ata Truk, c’était une tapette au service de la FM, c’était un Turc blanc. Ce sont les jeunes Turcs qui ont massacré les chrétiens dans l’ancien empire Ottoman, sur les conseils de la haute juiverie, en prenant le gnocide Vendéens comme base. Avant cela, les Chrétiens arméniens, les Chrétiens grecs, les musulmans ottomans entretenaient de bons rapports.
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La création de l’actuelle Turquie et la création d’Israël faisaient partie du même plan de domination de la "couronne " ( comprenons de la haute juiverie ) au moyen-orient, plan mis en œuvre par les fils de l’alliance et les loge inféodées.
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Ces fausses divergences et querelles entre la Turquie et Israël ne sont là que pour protéger les intérêts des vrais responsables en enterrant la vérité sous des tonnes de mensonges. C’est du travail d’acteur. Israël et la Turquie sont des états à qui on a imposé le rôle de gardien pour les appro en brut. Les vrais patrons sont les mêmes personnes.

Il faut savoir que le mouvement des Jeunes Turcs au début du XXe siècle, la révolution kémaliste et le laïcisme occidental de la Turquie trouvent une partie de leurs origines dans le judaïsme. Les Donmeh (ou Donmehs) — des juifs faussement convertis à l’islam (cf. Psychanalyse du judaïsme, pages 158-164) — ont effectivement joué un rôle important dans l’histoire récente de la Turquie. Voici ce qu’en dit Gershom Scholem, qui est l’un des grands penseurs juifs du XXe siècle : Les Donmehs, écrit-il, « ont fourni de nombreux membres à l’intelligentsia des Jeunes Turcs… Ils ont joué un rôle important dans les débuts du Comité Union et Progrès, organisation du mouvement Jeune Turc qui eut son origine à Salonique… On a la preuve que David Bey, un des trois ministres du premier gouvernement Jeune Turc et chef important du parti Jeune Turc, était un Donmeh. » (Le Messianisme juif, 1971, Calmann-Lévy, 1974, p. 235).
Alexandre Adler confirme lui aussi les origines juives et maçonniques de la Turquie kémaliste : « L’un des fondateurs au moins du mouvement Jeune Turc, le 14 juillet 1889, jour centenaire de la prise de la Bastille, est un Donmeh avoué, Sükrü Dey. Plusieurs généraux Donmehs se battront à la tête de leurs troupes… dans les malheureuses guerres de l’empire. Mais l’entourage de Mustapha Kemal, malgré sa totale rupture avec son comploteur ministre des Finances donmeh Djazid Bey, sera toujours rempli de sabbatéens [les Donmeh, ndlr] (et par ailleurs d’une coterie de franc-maçons musulmans sunnites à l’origine, de rite écossais). » (Rendez-vous avec l’islam, page 175).
Dans une conférence du 14 mars 2005 à la maison Itshak Rabin, Alexandre Adler s’exprimait un peu plus librement, devant un public juif : « Vous ne serez pas étonnés d’apprendre que j’ai de nombreux amis Donmeh, c’est-à-dire disciples de Sabbataï Zevi, et je les trouve assez extraordinaires… S’il n’y avait pas eu autant de Donmeh dans les élites turques de la fin du XIXe et du début du XXe siècle, il n’y aurait pas eu de kémalisme. »