En fait on ne peut reprocher un "antisémitisme" au Père Dehon, dans la mesure où il exprimait fidèlement la tradition de l’Eglise catholique de son temps.
Pour résumer l’Eglise catholique avant Vatican II considérait que le rôle historique du Judaïsme avait été de préparer la venue du Christ. Le message d’amour du Christ étant destiné à toute l’humanité, et non aux seuls juifs, les Juifs auraient dus à l’exemple des apôtres, se convertir et se fondre dans le christianisme. Or entre la naissance du Christ et l’an 500 apr.JC, les rabbins juifs ont rédigés une compilation de lois juives le Talmud de Babylone, dont le principe était d’affirmer une supériorité humaine des juifs sur les autres hommes, considérés comme des animaux. Le prêt d’argent à taux usuraire était notamment permis à l’encontre des non-juifs, alors que les juifs ne pouvaient se prèter de l’argent entre-eux que sans intérêt.
L’application de ces principes a conduit à ce que les communautés juives se sont enrichies aux dépens des sociétés chrétiennes qui leurs avaient données l’accueil. Un journaliste comme Edouard Drumont avait résumé cette situation par un célèbre chiasme "Les juifs sont venus pauvres dans un pays riche, ils sont aujourd’hui les seuls riches dans un pays pauvre".
Or l’Eglise catholique, à l’époque à l’écoute des soucis de ses croyants ne pouvait pas rester, à l’instar du Père Dehon, sourde aux injustices qui lui étaient rapportées.
Après 1945 toutefois l’Eglise s’est vu confrontée au reproche d’avoir contribuée par son "enseignement du mépris" à l’holocauste. Le concile Vatican II a fait partiellement droit à ses reproches, en affirmant contre sa tradition que le Judaïsme était une voie particulière vers le salut, ne nécessitant plus la conversion. Or là où le bât blesse, c’est que les théologiens de Vatican II n’ont jamais demandé à leurs interlocuteurs juifs de dénoncer au préalable le contenu du Talmud. Tout ce passe donc comme s’ils avaient de fait reconnu une infériorité de la tradition catholique par rapport au judaïsme plus ancien. D’où une quasi-interdiction pour un catholique de critiquer au plan moral un juif ou un sioniste.
D’où le conflit par rapport à la béatification du Père Dehon. Par cette béatification l’Eglise pourrait renouer avec sa tradition de traiter tous les êtres humains sur un pied d’égalité, et de ne plus se taire face aux injustices commises par des juifs. Celà fait naturellement pousser des cris d’orfraie aux sionistes !

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François emploie exactement la même stratégie de séduction qu’Erdogan, de la pure manipulation maçonnique. D’un côté ils frayent avec les sionards, d’un autre ils font quelques sorties "fracassantes" anti-sionistes pour amadouer le gogo...

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Si on bloquait l’acces au rabbIna pour les rabins racistes que resterait-il ?

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Toutes les idoles de la République qui ont beaucoup de rues à leur noms sont anti-chrétiennes et on tenues des propos anti-chrétiens, mais ça c’est normal, ça pose pas de problème.

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"Dans son Catéchisme social de 1898, Léon Dehon écrit que le peuple juif « a conquis notre or et nous tient asservis. Il tient la presse et fait l’opinion. Il remplit nos grandes écoles publiques et vise à s’emparer de l’administration et de la magistrature. C’est une conquête entamée et déjà bien avancée. "
Si on réfléchit un peu, en quoi c’est antisémite ? En fait, c’est plutôt flatteur comme réussite. Le problème n’est que pas ce qui est dit, mais le fait que le peuple Elu ne veut pas que cela soit. Il n’assume pas.
Si on est à l’avant-garde de la République, on la domine. Donc ce que dit ce monsieur n’est qu’un constat.
L’antisémitisme n’est que le reflet d’une pathologie mentale où le malade accuse et rend responsable le médecin qui l’informe de son état.

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Le vatican n’est pas complètement corrompu, j’en ai la certitude. Je pense toujours qu’il y a 2 courants qui s’opposent fortement à Rome, et que l’un n’a toujours pas pris l’ascendant sur l’autre malgré les apparences.

Je suis l’actualité du pape de très près.
Et le pape François est certainement presque un aussi bon joueur d’échec que Poutine, qu’il rencontrera à nouveau le 15 juin, chose inhabituelle puisqu’il l’a déjà reçu il y a peu, je ne sais pas si E&R a relayé l’info. Rappelons qu’il est jésuite et que de se point de vue ce n’est pas étonnant. Rappelons aussi que Soral à déjà dit de ne pas trop le juger hativement pour les memes raisons.
Il y a aussi ce petit bras de fer en coulisse entre Hollande et le pape, qui pas plus tard que ce week-end a bien confirmé son envie de venir en France malgré cela et n’a toujours pas cédé à notre incompétent national.

Avec le temps, on remarque une chose ; lorsque l’on parle de l’église catholique, il faut prendre beaucoup (beaucoup...) de recul, face à l’institution qui n’est pas moins que l’institution la plus expérimentée et la plus rodée, et de très loin.. C’est une chose que je conseillerais à la plupart des personnes ici. Les apparences sont parfois trompeuses. Que ce soit dans le sens négatif... ou positif.

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Je n’y crois pas une seconde ! le pape François est aussi catholique que je suis bouddhiste !
Cette béatification, si elle se réalisait, serait alors un écran de fumée pour nous faire passer une saloperie derrière - mariage des prêtres, ordination des femmes etc...prenez date, les amis....

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@Maria-Magdalena
Quand à l’eglise d’aujourd’hui la voilà je vous relaye encore ce texte et ce lien... ?...

« La tisane du cardinal Kasper »
Dans le quotidien italien Corriere della Sera du 27 mai 2015, le cardinal Walter Kasper, tête de file des prélats progressistes qui militent en faveur de l’accès des divorcés remariés à la communion, déclare à propos du partenariat homosexuel : « S’il existe une union stable, des éléments de bien existent sans aucun doute et il faut les reconnaître ».
Déjà dans un entretien du 18 septembre 2014, le même cardinal demandait s’il ne serait pas possible d’envisager que des éléments du sacrement de mariage se trouvent dans un mariage simplement civil. Car, selon lui, « l’engagement définitif, l’amour et le soin mutuel, la vie chrétienne, l’engagement public » qui unissent certains couples mariés civilement, pourraient être considérés comme des éléments du mariage sacramentel.
Au fond, le cardinal Kasper est un grand chercheur. Avec un microscope, il cherche des particules sacramentelles dans le mariage civil, et maintenant des traces de bien dans une union contre-nature. Bientôt il finira par trouver que, dans une infusion de menthe additionnée d’arsenic, « il y a des éléments de bien sans aucun doute et il faut les reconnaître », comme les vertus digestives de cette plante…, sans oublier sa saveur exquise qui donne à l’arsenic un goût mentholé si rafraîchissant.
En avril, à l’annonce de l’Année sainte sur la miséricorde, le prélat allemand, âgé de 82 ans, a déclaré que c’était « une réponse géniale et prophétique aux signes des temps », expliquant : « l’Eglise doit devenir une maison ouverte à tous ». Ouverte au pécheur repenti ou au péché assumé et revendiqué comme un droit ? D’un côté, on a le remède de la grâce apporté par le Sauveur ; de l’autre, une miséricorde falsifiée et terriblement toxique.

«  Article DICI..  »

http://www.la-croix.com/Archives/20...

Alors que les évêques autorisent les autres cultes, ils interdisent des Catholiques dans leurs Eglises...
Honte à ces faux chrétiens qui nous font la morale tous les jours...
✞« Extra Ecclesiam nulla Salus... »✞

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" L’Eglise catholique avant Vatican II considérait que le rôle historique du Judaïsme avait été de préparer la venue du Christ. Le message d’amour du Christ étant destiné à toute l’humanité, et non aux seuls juifs, les Juifs auraient dû à l’exemple des apôtres, se convertir et se fondre dans le christianisme . "
Excellente analyse qui éclaire les évènements passés et présents ;

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« Nous ne pourrons pas empêcher les Juifs d’aller à Jérusalem, mais nous ne pourrons jamais les y encourager. Le sol de Jérusalem n’a pas toujours été sacré, mais il a été sanctifié par la vie de Jésus. Les Juifs n’ont pas reconnu Notre Seigneur et nous ne pourrons donc pas reconnaître le peuple juif. Non possumus. » (Saint Pie X, 25 janvier 1904, Cité du Vatican).

Gloire à Saint Pie X un Pape un vrai ...

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