Egalité et Réconciliation
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Le faible taux de vaccination est un référendum contre Macron et sa politique délétère

Les Français rechignent à se faire vacciner, et les soignants ne montrent pas le chemin, malgré les menaces de l’exécutif. Véran avait tablé sur 70 millions de dosés fin août, Castex en a promis 20 millions fin mai, et le nouveau chiffre de la Kommandantur vient de tomber : 10 millions à la mi-avril. C’est Israël qui sert de modèle à nos gouvernants, pleins de bienveillance pour nous.

À l’heure où Israël rouvre ses bars et ses restaurants après avoir immunisé la majeure partie de sa population, que le Royaume-Uni se targue d’avoir offert au moins une dose de vaccin à plus de 20 millions de ses concitoyens, la France, elle, paraît à la traîne, avec seulement 3,8 millions de personnes dans le même cas. (Le Monde)

La France montre enfin l’exemple, mais ce n’est pas grâce à Macron et ses affidés. La crainte du vaccin est une chose, la méfiance envers un gouvernement qui mêle amateurisme et brutalité en est une autre. Tout cela ajouté fait que la France est en tête de la non-vaccination dans les pays occidentaux ! Enfin, on retrouve, derrière une apparente torpeur, le fond de résistance national.

Conscient de ce retard, le président de la République, Emmanuel Macron, a réclamé aux participants du conseil de défense sanitaire, mercredi 3 mars, de « vacciner à tour de bras ». Le seul moyen de gagner la course contre la montre engagée face aux variants du SARS-CoV-2, et de s’éviter un reconfinement généralisé.

Le petit Néron de l’Élysée (on rappelle que Notre-Dame a brûlé il y a deux ans) a beau frapper de son petit poing sur la table, rien n’y fait : les Français ne se précipitent pas dans les centres de vaccination, qu’ils soient de masse ou autres. C’est la rançon d’une politique illisible, antidémocratique et corrompue. Rien d’illogique : quand on agit pour le compte de forces occultes, on a du mal à passer pour honnête.

Le mignon Attal a trouvé un argument pour éviter d’affronter la résistance populaire : c’est la faute du nombre insuffisant de doses. Même Le Monde doute de l’argument :

Pour sa défense, l’exécutif met en avant la pénurie qui sévit dans toute l’Europe. « Le premier frein en France, comme ailleurs, ce sont les doses. On n’a pas suffisamment de doses pour vacciner tout le monde. Mais ça arrive », a cherché à convaincre le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, dans un entretien au Parisien, dimanche soir.

Aux grands maux, les grands moyens : pharmaciens, vaccinodromes (on attend les effetssecondairesodromes avec anxiété), pompiers et militaires seront mobilisés pour réussir à piquer, de force s’il le faut, toute la population ! Rien n’arrête les vaccinateurs fous, pas même la loi et la Constitution :

« Si de telles études étaient validées par nos autorités de santé, ces dernières pourraient recommander de revoir la priorisation des publics dans la vaccination, de faire passer par exemple les étudiants avant des quadragénaires, phosphore un conseiller de l’exécutif. Ce serait par ailleurs un préalable à l’obligation vaccinale, mais il y a d’autres enjeux éthiques et juridiques sur ce point qui ne seraient pas forcément réglés. »

Gabriel montre alors les canines, qu’il a longues et pointues (elles ont déjà traversé deux parquets), car les soignants ne montrent pas le chemin à la population, c’est le moins qu’on puisse dire. Le mignon nous menace :

« Il n’est pas admissible que l’on ait ce taux de vaccination chez les soignants aujourd’hui. Il y aurait une irresponsabilité à refuser de se faire vacciner quand on est soignant, a estimé Gabriel Attal dans Le Parisien. Est-ce que cela veut dire qu’on la rend immédiatement obligatoire ? On fait d’abord le choix de la confiance, mais cela reste une possibilité. »

Mais qui fait encore confiance à ce gouvernement ?

 

 

Naturellement, toute la presse aux ordres, qui sans les aides de l’État serait en faillite, relaye la menace en trouvant des collabos à la Lacombe :

 

Ils vont aller chercher les millions de Français qui ont apprécié Hold-Up avec les dents, « jusqu’au fond des chiottes » pour paraphraser Poutine ? Rien ne fera reculer la Crémieux – dont le nom nous rappelle un vieux décret – qui s’exprime sur Radio Kommandantur, pardon, France Info :

« "Je fais partie de l’Académie de médecine qui s’est prononcée il y a quelques mois sur l’obligation vaccinale pour la grippe", a déclaré la professeure, rappelant l’importance de la vaccination et a salué le coup d’accélérateur opéré par le gouvernement ce week-end. "C’est très bien et c’est notre principal moyen de nous protéger contre le virus et son variant anglais. Et plus la couverture sera importante et moins il y aura de risque de confinement. Donc, c’est vraiment une très bonne nouvelle", dit-elle. »

Le vaccin ou le confinement, ce bon vieux chantage

Le corps des médecins, globalement soumis à L’Ordre, multiplie les appels à la soumission des soignants. Dans le genre brutal, on a l’inénarrable Dr Pialoux, qui hurle du matin au soir « confinement ! », « confinement ! » C’est le père Fouettard sanitaire du père Fouettard politique Castex.

 

 

Invité le 2 mars 2021 sur BFM TV, il a réitéré son mantra répressif :

« Évidemment, il faut diminuer la pression de la circulation du virus, et cela ne passera que par des mesures drastiques... Je ne vois pas comment on peut diminuer la pression dans les hôpitaux sans passer par une mesure de confinement. »

Vous n’y échapperez pas, salauds de Français anti-confinement et anti-vaccin ! Pialoux qui hurle au loup est soutenu par le Pr Juvin, pour qui « chaque jour perdu est un jour qui compte double ». les éléments de langage destinés à alimenter la psychose commencent à faire bailler.

 

 

N’oublions pas Axel Kahn, président de la Ligue nationale contre le cancer (une manne pour le business), pour qui « le fait d’attendre n’a pas de sens ». Mais comme la méthode forte n’a pas l’air de marcher, on conserve quand même la méthode douce, relayée par Le Monde sous ce titre magnifique :

Cette propagande qui nous prend directement ou indirectement pour des cons est à bout de souffle : après, il ne reste que la vaccination forcée par l’armée ou la capitulation d’un gouvernement moribond, dépassé par ses mensonges et ses liens avec le Big Pharma qui crèvent les yeux.

Dans un second article, le journal des Lobbies & des Marchés nous propose un reportage sur les patients suspicieux. Après Mauricette et son consentement chelou, voici Paulette qui, du haut de ses 90 ans, a gardé toute sa suspicion :

« Je n’ai pas du tout envie, docteur, j’ai peur, ce n’est peut-être pas encore tellement au point, j’étais restée dans l’idée qu’il fallait plusieurs années pour faire un vaccin, j’ai des doutes… » Installée dans la salle de consultation de la maison de santé plantée au milieu des barres d’immeubles du quartier des Etats-Unis, à Lyon, Paulette, 90 ans, réagit avec inquiétude à la proposition de son médecin.

Son médecin traitant ne se démonte pas, il faut vacciner Paulette, vaincre ses doutes :

Vincent Rébeillé-Borgella ne se démonte pas et s’attelle à la discussion avec cette patiente qu’il suit depuis plus de trente ans. Le docteur aligne les études scientifiques. « Par rapport à ce que l’on sait, cela vaut le coup, on a le recul. » Il concède que les premières études faisaient état d’une efficacité moindre par rapport au vaccin Pfizer, avant de rappeler que les choses ont évolué depuis avec des données plus récentes.

Mais Paulette ne se laisse pas faire :

« Je ne sais pas, je suis très hésitante », reprend la dame de 90 ans. « Oh, et si je l’attrape, je partirai », lance-t-elle. « Ce n’est pas une mort facile », rétorque le généraliste avant de conclure : « Vous réfléchissez ce week-end, et vous me rappelez lundi. » « Et vous, vous êtes vacciné ? », demande-t-elle avant de partir.

On remarque un changement majeur dans la politique de répression sanitaire : alors qu’il y a un an, les médecins de ville ont été empêchés de soigner les Français symptomatiques (interdiction entre autres de l’hydroxychloroquine en phase de déclaration de la maladie, merci Agnès Buzyn, en fuite depuis en Suisse) qui ont dû attendre l’aggravation de la maladie pour être pris en charge – souvent trop tard, d’où l’hécatombe qui a servi la cause de la psychose –, aujourd’hui ces mêmes mêmes médecins sont réquisitionnés pour vendre la politique de vaccination de masse au profit d’intérêts étrangers et d’un gouvernement aux abois, dont les Français se méfient ouvertement.
C’est l’histoire du chien qui n’obéit plus à son maître, et qui va peut-être se retourner contre lui.
Tous les moyens sont alors jugés bons pour obtenir le « consentement », par le chantage si possible :

Josiane Henocque, 60 ans, est certes venue, mais elle reste très angoissée. « Je n’étais pas pour le vaccin et je ne le suis toujours pas, dit-elle alors qu’elle attend son tour. C’est assez flippant, un vaccin fait tellement vite, et l’AstraZeneca, ma fille, infirmière en Moselle, m’a dit qu’ils ne le font plus chez eux, parce qu’il y a trop de trucs qui se passent après, trop d’effets secondaires, je crois plus ma fille que les journaux. » Si elle fait le vaccin aujourd’hui, c’est pour une seule raison : elle est certaine qu’un passeport sanitaire va être mis en place. « Je veux pouvoir continuer à prendre le train pour voir mes enfants. »

Cette politique est vraiment dégueulasse, on est désolés pour le mot, mais on n’en voit pas d’autre !
Au vu de la situation, à la fois inédite et socialement grave, certains médecins ne cachent pas leurs doutes. Heureusement, le mur du complotisme érigé à leur intention stoppe net leur intelligence :

Pas toujours facile cependant pour le médecin de trouver les mots pour convaincre. « Il nous faudrait tellement de temps, souligne Bénédicte Hauvespre. On a les données scientifiques pour apporter les explications, mais les choses bougent sans arrêt. C’est lourd à porter sachant qu’on est forcément dans une zone d’incertitude, ça ne fait pas dix ans qu’on fait ce vaccin et qu’on connaît cette maladie. »

Avec parfois une petite musique proche du complotisme qui laisse la docteure « un peu démunie ». « On reçoit des arguments qui ne sont pas accessibles à la discussion, résume-t-elle. Chez certains, tout ce qu’on avance, ça rentre dans leur idée qu’on est nous-mêmes manipulés… » L’aspect « politique » est plus marqué sur ce vaccin AstraZeneca, ressent-elle : « On est vus comme des courroies de transmission du gouvernement. » (Le Monde)

Non ? Sans déconner ?
Autant le corps des policiers a perdu du crédit pendant la crise des Gilets jaunes, autant le corps médical est en train de perdre le sien pendant la crise (politique) du Covid. La lâcheté est bien le mal dont souffre la société française dans son ensemble. Ceux qui entretiennent cette lâcheté sont responsables de la situation du pays. Leur criminalisation du courage et des Français courageux pèsera lourd dans l’histoire.

 

Petit échange symbolique entre trois types emblématiques de Français

Runacher  : « J’ai confiance dans le vaccin. »

Hanouna  : « Et vous, vous allez vous faire vacciner ? »

Philippot  : « Pour l’instant, non. »

 

L’appel menaçant des médecins dans Le JDD

Vers un monde ignoble

 






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