Rentrant des JMJ, François a réfuté tout lien spécifique entre l’islam et la violence.
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Des JMJ sous le signe du terrorisme qui s’étaient ouvertes au lendemain de l’assassinat du prêtre français Jacques Hamel dans son Église de Saint-Etienne-du-Rouvray. Dans l’avion qui le menait en Pologne, il avait déjà exhorté à « ne pas avoir peur de dire cette vérité : le monde est en guerre. Il ne s’agit pas d’une guerre de religion, car toutes les religions veulent la paix ».
Rentrant au Vatican, il a été interpellé sur les liens de celle des auteurs des attentats avec la violence. « Je n’aime pas parler de violence islamique », a-t-il rétorqué, rappelant que tous les jours, même en Italie, des personnes baptisées commettaient des actes violents. « Tous les musulmans ne sont pas violents comme tous les catholiques ne le sont pas, a-t-il précisé. C’est comme une salade de fruits : il y a de tout ! Il y a des gens violents dans cette religion : c’est vrai, mais je crois que, dans toutes les religions, il y a toujours un petit groupe fondamentaliste. Il n’est pas juste d’identifier l’islam avec la violence. Cela n’est pas juste et n’est pas vrai ».
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Sur les rapports de force au sein même de l’Église,
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