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Le débat du Figaro entre BHL et Philippe de Villiers sans le mot "antisémitisme" dedans

En matière de débat idéologique, c’est-à-dire purement politique, Le Figaro a mis une vraie branlée au Monde, qui ne constitue plus le creuset, le cœur du débat intellectuel de la presse française. Aujourd’hui, 40 ans après la Nouvelle Droite du tandem Louis Pauwels-Alain de Benoist, une nouvelle droite siono-compatible d’Alexandre Devecchio lance des passerelles de tous les côtés, alors que Le Monde s’est arrête à une vision des choses socialo-sioniste aussi binaire que dépassée : si l’on n’est pas de ce camp, on n’a pas le droit de participer au débat démocratique. Cette étroitesse d’esprit (et cette peur de perdre à la loyale) débouche sur une démocratie boiteuse, infirme et agressive, car elle est en permanence sur la défensive. Dans l’Évolution, ceux qui sont dépassés augmentent leur niveau d’agressivité, mais cela ne change rien à leur destin.

Le 9 juillet 2020, Devecchio invite BHL et Villiers à ferrailler par correspondance sur la France d’après, l’expression préférée de Macron. Que les SS (socialo-sionistes) se rassurent, BHL n’a pas été blessé par la lame du vicomte : les fleurets avaient des embouts. Enfin, au départ.

 

Les dernières sorties des deux bretteurs

 

 

 

Nous avons sélectionné les passages les plus purement politiques, c’est-à-dire idéologiques, car c’est la racine des choses qui nous intéresse. Le fou du Puy attaque le premier (il attaque le confinement, pas BHL) :

« C’est une débâcle : le traumatisme d’un peuple amputé de ses libertés fondamentales, la déchirure des tissus conjonctifs de la France industrieuse, l’abandon des anciens, la défaite d’Antigone qui a perdu le droit d’enterrer son frère. Une défaite de civilisation. Le confinement généralisé fut une erreur. On pouvait faire un confinement ciblé, avec un périmètre sanitaire sur les zones contaminées et les groupes à risque. La politique est devenue une prophylactique : nous voilà déconfinés, bâillonnés, sous la surveillance du biopouvoir. Il faut avancer masqué pour paraître fraternel. »

La réponse de BHL étant très évasive, voire insignifiante, on passe tout de suite au premier sang. C’est BHL qui pique le premier, en assimilant le populisme au virus :

« Il y a tout un courant hygiéniste qui se développe depuis un siècle et dont il faudrait, là aussi, faire l’histoire. La vie à tout prix. La santé au lieu de la liberté. Tous les problèmes sociaux, politiques, réduits à des infections qu’il faut traiter. Bref, la volonté de guérir devenue le paradigme de l’action politique. Mais attention ! Vous avez aussi le populisme. À force de brandir des menaces imaginaires, d’agiter le spectre du “grand remplacement”, etc., on finit par terroriser les gens. Tout cela est lié. »

Comme si les Français étaient terrorisés par le complexe du grand remplacement, qui terrorise en revanche ceux qui l’ont conçu et appliqué ! Le vicomte en profite pour placer sa bote secrète, presque imparable (ça fait au moins 30 ans qu’il la travaille) :

« Le populisme, c’est le cri des peuples qui ne veulent pas mourir et cherchent à se protéger de la « mondialisation heureuse ». Elle nous a rendus malades. Ce n’est pas elle qui a fabriqué le virus, mais c’est elle qui l’a fait circuler aux dimensions d’une pandémie. Ce qui vient de s’effondrer, c’est le fameux “nouveau monde”, celui que vous avez célébré : le “village global” unifié, la religion des flux, l’avènement du marché comme seul régulateur des pulsions humaines avec les fameuses chaînes de valeur globale. L’épreuve nous a tous ramenés au carré magique de la survie. Le premier coin du carré, c’est la frontière, c’est-à-dire la protection régalienne, ce pour quoi les États ont été imaginés. Le deuxième, c’est la souveraineté. Le troisième, c’est le local, donc le contrôle au plus proche des intérêts vitaux. Et le quatrième coin du carré, c’est la famille qui, dans le malheur, redevient la première sécurité sociale. »

BHL se défend comme il peut, et son naturel, incohérent et médiocre, reprend le dessus :

« Non. Le populisme c’est le cri des démagogues qui ne veulent, eux, pas mourir et qui, comme Le Pen, comme Mélenchon, comme d’autres, attisent les peurs pour mieux contrôler leurs électeurs. Quant à votre “carré de la survie”, je demande à voir. La frontière, O.K., mais à condition qu’on la franchisse – et ça s’appelle l’Europe. La souveraineté, peut-être, mais certainement pas nationale, car plus aucun problème sérieux ne peut se régler à cette seule échelle, sur cette seule agora – et ça s’appelle encore, que vous le vouliez ou non, la mondialisation et l’Europe. La famille, mouais : mais est-ce que le premier psy venu ne vous répondrait pas que ça peut être un rempart au malheur mais que c’est aussi le pire nœud de vipères et de haines qui soit ? Et quant à votre repli sur le “local”, quelle pitié ! Quel aveu de défaite ! Et quel recul par rapport au temps où les amoureux de la France voulaient la voir, non se replier, mais rayonner ! Non se concentrer sur “le plus proche”, mais regarder vers l’universel, quand ce n’était pas le formuler, le fomenter, le dire, cet Universel ! »

On sent que le Terrien a secoué le Nomade, dont les coups sont tellement usés qu’ils sont attendus. Après sa botte, le Terrien touche une seconde fois, avec un lyrisme qui laisse pantois (mais la joute est écrite, donc ça permet de replacer les phrases ou blocs de phrases de son propre livre, on appelle ça des éléments de langage personnels) :

« Je vous invite à mettre un cierge au chevet du soldat Schengen. Il est mort du coronavirus. Quant à la souveraineté européenne, elle est comme l’amour à distance, c’est de la branlette. “Le plus proche” est une expression qui signifie non plus délocaliser mais relocaliser, par exemple pour retrouver une industrie et forger à nouveau des outils de puissance dans le concert des nations. L’universel sans les enracinements, c’est le hors-sol des cosmopolites verbeux. On a vu ce que le libre-échange universel a produit depuis Maastricht : la désindustrialisation massive, la prolétarisation de la classe moyenne, la partition territoriale et, parallèlement à l’épuisement de l’Amérique, la montée au firmament de la Chine. Beau travail ! La gouvernance européenne ne besogne qu’au service de l’illimitation marchande. Elle a immolé son enveloppe charnelle et perdu son être propre. Elle nous a fait perdre le sens de notre communauté de destin. Selon le mot de Régis Debray : “L’Union européenne aura été l’histoire de la sortie de l’Europe de l’Histoire”. »

On passe sur les passes d’armes suivantes, on note en passant un petit « hors-sol des cosmopolites verbeux » de toute beauté, et on passe au sang qui gicle : l’épée du vicomte traverse le Cosmopolite verbeux :

« Notre pays est au bord de la fragmentation territoriale. Il y a des enclaves étrangères qui, rejetant notre civilisation, considèrent la France comme une puissance étrangère chez elle et prétendent la “décoloniser”. En face des colons du barbaricum, on retrouve les bourgeois de Calais : robes de bure, têtes cendrées, nos élites font la génuflexion et récitent leur acte de contrition. Ce pays qui se défait, c’est votre œuvre. Vous avez décrit la France comme une terre de racistes et de collabos. Et vous êtes le père de SOS Racisme. Jean Baudrillard a tout résumé : “SOS Racisme et SOS baleines. Ambiguïté : dans un cas, c’est pour dénoncer le racisme, dans l’autre, c’est pour sauver les baleines. Et si dans le premier cas, c’était aussi un appel subliminal à sauver le racisme…” Le séparatisme qui nous menace, c’est vous qui l’avez mis en orbite : antiraciste, vous avez généré le racialisme. Et, antifrançais, vous avez généré les indigénistes qui ont la haine de la France. Regrettez-vous aujourd’hui, cher Bernard-Henri Lévy, la profession de foi du premier numéro du journal Globe, fondé en 1985 : “Bien sûr, nous sommes résolument cosmopolites. Bien sûr, tout ce qui est terroir, béret, bourrées, binious, bref franchouillard ou cocardier, nous est étranger, voire odieux ?” »

On dirait le grand Lesquen qui invective le petit Haziza !

 

 

Ouf, le combat est terminé, BHL, la chemise déchirée, s’enfuit en sanglotant vers son palais marocain où l’attend une épouse ruisselante de désir. Le vicomte a vaincu, mais le pouvoir reste aux Pharisiens. Le débat c’est bien, la lutte c’est mieux.

 

 

Et si, après ces débats à la limite de la politesse, on organisait des combats de lutte entre nos intellectuels ? Pour qu’enfin il y ait d’autres gagnants...

 

 

Mais ce faisant, le problème devient tout autre : que pèsera un Haziza devant un Lesquen qui a fait polytechnique et donc l’armée ? Conversano, qui filme son popo, devant Soral ? BHL sans ses amphètes devant Villiers ? Là, une autre hiérarchie, plus naturelle, plus instinctive, s’imposerait. Serait-elle plus juste ? Vous avez quatre heures.

Post-scriptum : à aucun moment le mot antisémitisme n’a été prononcé. C’est pas du jeu ! C’est pas un vrai débat ! On ne tourne pas autour du pot, il y a des gens qui regardent, que diable !

Le retour en force du nationalisme :

 






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25 Commentaires

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  • #2501120

    Un débat entre un Algérien se prenant pour européen ( Crémieux est passé par là) et un Gaulois, ces français par décret comme bcp d’autres dans les médias veulent influencer la mentalité en crachant sur les autres français qu’on accuse de racailles. Quelle différence entre un jeune issue de l’immigration et ces donneurs de leçons. Faut faire éclater la vérité !

     

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  • #2501126

    Oh bravo DeVilliers, c’est du grand DeVilliers, en vieillissant, il n’a peut être plus rien à perdre, sauf son bébé duPuy du Fou ou bien se rend il compte de tous les crimes commis par ces élites mondialistes des dégâts causés , et de la lente agonie , peut être en passe de se terminer d’ailleurs, et tragiquement, dans laquelle la France est plongée , merci quand même Mr DeVilliers...

     

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    • #2501284

      Pas mal en effet mais pour son premier ouvrage où il balance, je lui aurais suggéré le titre : « Le moment et venu de dire ce que j’aurais dû vous dire au moment où il fallait le dire ».
      C’est un peu tard tout ça ! Il fallait y aller franco quand tu étais au pouvoir, Philippe.
      Autre chose : je ne comprends pas pourquoi un mec comme De Villiers se présente comme républicain,car qui mieux que lui sait ce que la république a fait au peuple ?
      Il sait aussi pour certains groupes élitistes comme Bilderberg, et on sait tous entre nous ce que recouvre la notion de cosmopolite déraciné. D’ailleurs il a aussi connu Soljenitsyne (invité au Puy du Fou), donc il sait qui composait à 80% les révolutionnaires bolcheviques.
      Donc à quoi joue-t-il ? Pourquoi ne pas aller jusqu’au bout et continuer à régulièrement sucoter les fesses de nos maîtres ?

       
    • #2501329

      @Buck : De villiers fut opposé à Maastricht en 92, et fut un des premiers hommes politiques à dénoncer le Bilderberg et l’idéologie mortifère derrière le mondialisme. On ne peut pas lui faire ce procès.

      Je peux vous dire que si certains hommes politiques ne connaissent pas l’ennemi, le but qu’il poursuit, ni son mode opératoire pour parvenir à ses fins, lui PDV à très bien identifié tout ça depuis très longtemps. Après la politique c’est de ne pas dire tout ce que l’on pense, mais il faut savoir lire entre les lignes.

       
  • #2501129

    Un débat où l’autre commence en vous disant : ‘ non je ne te respecte pas ´ forcément cela mérite une droite dans la gueule ! ( pourquoi tu viens débattre alors si tu ne respectes pas au moins l’autre, tu peux ne pas être d’accord avec lui mais tu dois respecter l’autre). Soral a raison la politesse cela s’apprend, une bonne tarte dans la gueule cela remet les idées de ce jeune con en place !

     

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  • #2501135

    Un débat Soral/BHL ce serait purement jouissif ! Un rêve ! Le patron qui te le met ko direct avec un crochet droit de pure vérité dans la gueule, imagines.... BHL en panique (Arielle au secours !!!) le philosophe des bacs à sable à poil en 10 minutes de débat ! Lol....

     

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  • #2501170

    La droite des valeurs... suppression de l’usure.
    La gauche du travail...au boulot.
    Le reste suivra !

     

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    • #2501396

      Pourquoi on aurait pas le droit de prêter à intérêt ( à un particulier privée) ? Je veux dire moi par exemple en tant qu’entrepreneur je me vois pas ( et je suis pas seul ) miser mes fonds propres pour un projet . Interdire le prêt relevé de la démagogie catholique et morale plus que du pragmatisme économique. J’ai l’impression que tout est bon pour Faire du national bolchevisme dans ce pays

       
    • #2501621

      @Dexter : Ce n’est pas interdire le prêt que de vouloir supprimer les intérêts ... :/

       
    • Dexter, vous sous-estimez sa nuisance réelle pour quelques dollars de plus en vous cachant derrière un système.

       
    • #2501878

      Prêter a intérêt est prohibé par la religion catholique, tout comme réaliser un profit excessif sur une vente (et ca existe tjs en droit français). C’est considéré comme du vol.
      Il n’y a que les libertariens, qui font semblant de ne pas avoir compris la parabole des talents, en lui attribuant un sens qu’elle n’a pas.
      C’est également vrai en islam.
      Le prêt à intérêt est interdit, mais la prise de participation au capital ou les royalties (c’est le système que j’ai utilisé en tant qu’entrepreneur, qui n’existe pratiquement pas en France) est permis, car il y a alors partage équitable du risque entre le capitaliste et l’entrepreneur. En gros, un % de la récolte réalisé va au prêteur. Si la recolte en bonne, tant mieux pour lui. Si elle es mauvaise, tant pis. Alors que dans le système du prêt à intérêt,
      Les marxistes, en revanche, sont complètement hostiles à la participation au capital et préfèrent le systeme de prêt. En effet, pour eux, le systeme de prise de participation au capital empêche toute possibilité pour l’entrepreneur de pouvoir inverser un jour le rapport de force avec le capitaliste (banquier, prêteur). Vous faites donc un contresens complet sur ce qui st bolchevique et sur ce qui ne l’est pas.
      Après, il faudrait encore distinguer prêt à la conso et investissement productif. Les lutheriens interdisent le premier (prédation des pauvres là où seul le don est spirituellement permis), mais acceptent le second. Ce n’est pas la position des autres protestants qui, eux, autorisent tout.

      Le catholicisme méprise autant les marxistes/bolchéviques que les capitalistes/libéraux. Dans les 2 cas, c’est de la m... Apres, la France, c’est une économie de rente - un pays de statuts (ca revient au même). N’attendez pas d’un pays qui a une éco de subsustance la meme culture entreprenariale que celle d’une ile qui a besoi de tout aller chercher/voler à l’exterieur comme les anglais. Pour trouver une vraie culture entreprenariale en France, faut logiquement aller... en Bretagne.

       
    • Excellente mise au point de Letsfixit. J’ajouterai à l’attention de Dexter que ce qui est considéré comme immorale c’est l’idée de s’enrichir sans produire, ce qu’on peut en effet nommer usure.
      D’autant plus quand l’argent prété n’est rien de plus que de l’argent créé via une simple reconnaissance de dette, on touche là à l’escroquerie en bande organisée !!
      Par contre investir dans un projet productif en en acceptant les risques relève d’une toute autre démarche..
      Faudrait voir à pas mélanger les torchons et les serviettes pas vrai !?

       
  • #2501265

    Avez-vous noté que BHL est toujours filmés du même profil ?
    Je sais pas vous, mais je ne comprends rien à sa logohrée... !
    C’est probablement parce que je ne suis pas un philosophe Radhonite !

     

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  • #2501350

    BHL,De Villiers,et l’ombre de Soral .

    Bhl,n’assume plus ses déclarations passées,
    De Villiers multiplie les allusions sans prononcer ...le mot,
    Zemmour singe De Villiers,pour sauver son camp,
    Soral Absent mais de plus en plus Présent dans les esprits,
    hante les débats .
    Le vent de la Vérité souffle la poussière de la propagande,
    la Communauté inquiète se dissimule et se déguise en Gaulliste !
    Le vrai débat est entre BHL et Soral .

     

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  • #2501391
    Le 11 juillet 2020 à 09:39 par Rusty James
    Le débat du Figaro entre BHL et Philippe de Villiers sans le mot (...)

    Il n’y a vraiment qu’en France ou un pseudo philosophe ’débat’ sur des chaines de télévi-sion publique sans aucun mandat public, aucune légétimité démocratique, et tout le monde trouve cela normal, meme les lecteurs d’ER
    Pareil pour Zemmour, il est censé être journaliste et grosniqueur dans des émis-sions de diversions, pardon, de divertissement, et tout le monde lui prête une parole légitime pour s’exprimer sur tout et n’importe quoi
    La France est un pays de beau parleur et de tchatcheur mais qui ne passe jamais a l’action
    On perd du temps a bavasser sur tous ces parasites, tout le monde devrait agir a son niveau

     

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  • #2501419
    Le 11 juillet 2020 à 10:55 par frère zumain
    Le débat du Figaro entre BHL et Philippe de Villiers sans le mot (...)

    National-Sozialist donne nazi ;
    Socialiste-Sioniste donne sociss !
    Zemmour a raison. un frère humain, c’est n’importe quel être humain. Le terme fut popularisé par un poète très chrétien, notre cher François villon dont la statue fut détruite pendant la 2GM pour finir métal pour canon.
    "Frères humains, qui après nous vivez,
    N’ayez les coeurs contre nous endurcis (...)
    Se frères vous clamons, pas n’en devez
    Avoir dédain.
    "
    Le poète parle là de tous les êtres humains ; mais on peut aussi penser qu’il s’adresse exclusivement aux chrétiens. Les autres ne comprennent souvent rien au pardon, à la miséricorde, à la vie éternelle, au jugement dernier...
    Quant à BHL, père la morale pousse-au-crime, et "les juifs" comme obsession. Pas moyen de lui faire parler d’autre chose !
    De Villiers a très bien parlé, mais pourquoi parler de confinement partiel comme solution ? Dans les EHPAD, le confinement n’est pas bon du tout ! Le confinement autoritaire n’est jamais bon. Les malades se confinent volontairement, pas de souci.
    Pour faire plaisir à Macron ?
    ce n’est pas une bonne raison.

     

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  • #2501846
    Le 12 juillet 2020 à 01:51 par Albertemechan
    Le débat du Figaro entre BHL et Philippe de Villiers sans le mot (...)

    Selon BHL, les soldats nazis n’étaient pas des humains... Ce type a de drôles de catégories. A voir ces vidéos rassemblées dans un même article, je me prends à rêver à Soral enchaînant deux, trois bourre-pif dans la face de ce cuistre permanenté. Je sais que cela serait contre-productif, mais c’est tout de même une rêverie bien plaisante.

     

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