L’Institut Tavistock, rejeton de Wellington House, département de la propagande de guerre du gouvernement britannique, est probablement l’organisation qui fit le plus de dégâts dans la civilisation occidentale depuis un siècle.
Les multiples « bienfaits » de cette organisation remplie d’ingénieurs sociaux fêlés parlent pour eux : Commission Creel, MK Ultra et ses diverses branches (Naomi, Often, et le terrifiant Monarch [1]), conférences Macy et création de la cybernétique, contre-culture, New Age, Ère et Conspiration du Verseau, LSD, la liste est sans fin. À ce jour, seuls John Coleman et Daniel Estulin ont écrit à son sujet, et de nombreuses informations sont exposées dans les diverses publications de l’Executive Intelligence Review de Lyndon LaRouche.
Dans le texte qui suit, John Rawling Rees, alors directeur de l’Institut Tavistock, expose sans fard sa volonté d’infiltrer toutes les structures d’un pays et d’influencer l’opinion en secret : « Soyons tous, désormais et très secrètement, “la Cinquième colonne”. » Notons que cet homme, qui eut pour élève Henry Kissinger au SHAEF (Supreme Headquarters Allies Expeditionary Force, état-major suprême des forces expéditionnaires alliées), opéra comme théoricien en chef du Bureau de guerre psychologique de l’armée britannique et fut le premier président de la Fédération mondiale de santé mentale (World Federation of Mental Health), inaugurée en 1948 par des représentants de Tavistock.
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