Quoi de surprenant ? C’est le fantoche inventé par le système pour faire en sorte que les musulmans de France s’inscrivent enfin dans la logique du communautarisme. Pour faire voler en éclat le seul communautarisme pourtant compatible avec la République Française, la communauté nationale, une et universelle (c’est ça l’universalisme français et rien d’autre). Le communautarisme c’est le cancer de République ; le risque est bien que les tumeurs prolifèrent au détriment de l’organisme tout entier. Ainsi c’est l’Etat français qui est visé : c’est aussi une forme de terrorisme car cette logique là ne fera pas 17 morts mais risque d’entraîner la guerre civile que souhaite l’oligarchie américano-sioniste et ses collabos pour en finir avec cette République encore si profondément gaulliste (jalouse de son indépendance) qui résiste aux nouveaux maîtres auto proclamés du monde. Mais que les collabos des occupants, qui se battent pour être délégués à la gestion d’un pays soumis devenu une succursale d’une multinationale sioniste, sachent que si ça tourne mal, ils ne seront pas invités à se réfugier en Israel… Voltaire, l’intellectuel bourgeois ambitieux, mauvaise langue et âpre au gain, a miné l’ancien régime par ses mensonges (travestissement délibéré de faits réels) sur la religion et l’aristocratie en ayant bien pris soin de se ménager une porte de sortie, la Suisse calviniste au fond de son jardin ; le coeur de l’oligarchie dispose, elle, de la double nationalité, pas ses collabos. Ce qu’il faut savoir c’est que la soumission d’un peuple à de nouveaux maîtres se fait toujours par des moyens déloyaux, le mensonge et la violence, autrement dit la terreur. Nous y sommes : le coup d’envoi a été donné en ce début de 2015. Mais l’hiver ne dure pas indéfiniment. A quand un printemps politique, un sursaut de la communauté nationale qui redeviendrait enfin elle-même et brûlerait l’infâme insigne qu’on voudrait lui faire porter "je suis Charlie",(quoi de plus facho que ce graphisme, lettres blanches sur fond noir ?) pour proclamer que les français ne sont pas des charlots.
"Je suis Bernard"
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