M. Guyénot précise justement qu’il faut garder le beau bébé divin hellénique Jésus "fils de Dieu" (entendre le Dieu universel des philosophes grecs) et jeter en revanche l’eau frelatée (mensongère) du bain judaïque des Juifs religieux messianistes (qui attendaient un messie nationaliste pour prendre leur revanche sur les Romains, et le monde entier par la suite...) : il appelle autrement dit à séparer le bon grain de l’ivraie dans le christianisme (soit à garder l’helléno-christianisme et à rejeter le judéo-christianisme), ce qui lui vaut l’anathématisation et condamnation des judéo-crétins pour "hérésie marcioniste" (alors que ce n’est qu’en étant marcioniste qu’un chrétien peut pleinement ne pas être sioniste (ou du moins être + libre de ne pas faire le jeu du sionisme)), puisque, comme il le dit très bien, la lecture sioniste de la Bible hébraïque est celle d’un programme politique (expansionniste) à appliquer actuellement et d’ailleurs suivi pour ainsi dire à la lettre...
Tandis que les juifs talmudistes (post-J.-C.) veulent voir bouillir le Dieu d’Amour universel J.-C. dans une vasque d’excréments en enfer, les chrétiens catho-dogs, eux, continuent de vouloir voir à toute force (dans leur grande foi ou crédulité dogmatique confinant à la cécité intellectuelle) le peuple juif comme "le peuple élu" de "Dieu" (entendre ici en vérité le diabolique dieu nationaliste juif, raciste, misogyne, psychopathe (etc.) Yahvé/YHWH) en fermant les yeux sur les atrocités commises par les anciens Hébreux/Juifs/Israélites, alors déjà sommés jadis par leurs élites d’obtempérer aux commandements dits "divins" (et dans les faits diaboliques), sur les peuples alentours dits rétrospectivement "païens", que les judéo-chrétiens, que sont les catho-dogs yahvistes (et parfois plus yahvistes que les juifs eux-mêmes !), ont ainsi été autorisés à trucider, comme leurs prédécesseurs juifs psychopathes, pendant des siècles, tout au long de l’histoire censément chrétienne (c-à-d normalement charitable).
Il a expliqué dans une conf. ultérieure (sa dernière sur Paris) que l’eau du bain "biblico-hébraïque" dans laquelle baignent les cathos était en qq sorte le cheval de Troie du judéo-sionisme au sein du christianisme.
À noter que le bon mot final de Soral n’exclut justement pas que le satanisme soit une branche du judaïsme, ce qui coïnciderait cette fois avec l’anathématisation/condamnation par un certain helléno-chrétien J.-C. de la Synagogue de Satan ! CQFD !