Ne connaissant pas Frédéric Haziza, j’ai pris la peine d’aller l’écouter sur LCP dans une vidéo où il recevait Jacques Cheminade. Le mépris, la condescendance, l’incorrection et l’ironie blessante que ce "journaliste" (le qualificatif est clairement usurpé) a manifesté face à son invité, non seulement déshonore la fonction de journaliste mais ne peut que renforcer les convictions des pétitionnaires appelant à son renvoi de la chaîne où il officie aussi médiocrement.
Incapable de structurer une phrase complète et cohérente, inapte à la moindre analyse globalisante et structurée, il rejoint la longue cohorte des chroniqueurs à deux balles, souvent agressifs et auto-satisfaits. Face à Cheminade, dont il ne possède pas 1/10 de la culture, il a compensé par de l’arrogance, l’arme des faibles et des incultes. Pris en flagrant délit de mensonge et de malhonnêteté intellectuelle (face à Eric Naulleau dont il a commenté une
photo soi-disant "quenellière" pour étayer son délire de persécution) il n’a même pas été capable d’apporter un contre-argument. Non, décidément, un monde journalistique sans Haziza devrait être possible. J’incite à aller voir, sur youtube, la vidéo à laquelle je fais référence, elle est édifiante. Peut-être, un jour, un ministre de l’Intérieur prendra, dans un meeting militant, la défense d’un vrai journaliste, et pas d’une parodie. Et bien-sûr, comme d’habitude, ces propos seront assimilés à de l’antisémitisme, la ritournelle habituelle....
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