Depuis que les caméras du monde entier ont délaissé la figure de Tedros, la femme de ménage de Bill Gates, pour le conflit ukrainien, les stars hollywoodiennes, qui sont attirées par les objectifs comme les insectes par la lumière ou les mouches par la chair en putréfaction, se précipitent à Lviv, Kiev, mais pas Marioupol, où ça chauffe dangereusement. On veut bien faire de la com’ sur le dos des Ukrainiens, mais pas risquer ses fesses. La star, c’est l’autre nom de la lâcheté.

Dans le genre couillon mondial, on a déjà l’acteur et réalisateur Sean Penn, petit-fils de juifs russes qui ont émigré aux États-Unis, venu sur place pour tourner un docu sur l’invasion russe. Un film antirusse, bien dans la ligne du maccarthysme des années 50 !

Après lui, comme s’il avait donné un top départ, on a vu l’actrice has been Angelina Jolie, mère anorexique folle doublée d’une alcoolique invétérée, faire son cinoche à la gare de Lviv :

Malheureusement pour la scène, Angelina doit être évacuée : on sent qu’on ne va pas la refaire.

On n’oublie pas la sorcière mondiale Madonna, qui bouffe à tous les râteliers oligarchiques (antiracisme, féminisme, sionisme, kabbalisme), et qui s’est fait surlifter pour l’occasion. La reprise qui suit est censée être un tire-larmes et un tire-pognon pour les Ukrainiens, pardon, pour Zelensky, qui est déjà assis sur 850 millions de dollars, piqués à son peuple. Cela n’empêche pas Complément d’enquête de réaliser un panégyrique du président ukrainien, présenté comme un « héros », en oubliant sa corruption et sa soumission à l’axe américano-sioniste...

Zelensky peut compter sur le soutien sans faille de France Télévisions et de Madonna.

Sur son compte Twitter, la chanteuse de 63 ans, Madonna, accompagnée de son fils de 16 ans, David Banda, a partagé à ses quelque 2,7 millions d’abonnés, une reprise intime du célèbre titre d’Elton John, « Your Song ». Ils ont également rendu hommage au président ukrainien, Volodymyr Zelensky. « La musique rassemble les gens avait dit le président Zelensky avec tant d’éloquence, la semaine dernière aux Grammys », a-t-elle souligné, avant d’ajouter : « C’est pourquoi, mon fils David Banda et moi aimerions vous offrir ce cadeau, l’une de nos chansons préférées, dans l’espoir que nous pourrons inspirer les gens du monde entier à se lever et à soutenir le peuple ukrainien ». (Paris Match)

Chez nous, en France occupée, on a l’inamovible BHL, le VRP des guerres de l’Empire, qui débarque sur place dès que la première goutte de sang est versée. En langage traditionnel des villages carpathiques, on appelle ça un vampire.

Ce goût du sang (sans le boire), de la guerre (sans l’aimer), ne trompe pas. BHL veut être dans l’Histoire, il veut faire l’Histoire, et doit être là où ça se passe, même si c’est une mise en scène, à la fois grotesque et morbide.

Heureusement, il peut compter sur Paris Match, ce vieux canard à une patte qui en est réduit à flatter les membres de l’oligarchie pour survivre.

C’est bizarre, partout où ce type passe, tout n’est que mort et désolation...

À Kiev, surprise. Les Russes ayant, pour l’heure, levé le siège, nous espérions un climat, sinon de liesse, du moins de libération. Mais non. Les rues sont vides. Les magasins et les églises sont fermés. Le Maïdan que nous avons connu, en 2014, avec Gilles Hertzog et Marc Roussel, noir de monde, vibrant de sa révolution démocratique en marche, est devenu désert, couvert de barricades en chicane et de croisillons de fonte antichars. Et il règne partout le même terrifiant silence que sur les planètes mortes, couvertes de givre, semblables à des globes d’acier, qui servent de décor aux romans de Philippe K. Dick. Normal, nous dit Vitali Klitschko, l’ancien boxeur devenu maire et, désormais, chef de guerre qui nous accueille, en treillis, à l’ombre d’une basilique. Ne vous y trompez pas, insiste-t-il, avec un drôle de regard dur qui n’est plus celui du bon géant, de l’ancien superchampion passant sa vie à retenir ses coups, de l’homme doux dostoïevskien que nous avions, en 2014, rencontré au siège de son parti, puis amené à Paris pour y voir le président Hollande.

On vous épargne ce énième reportage sionard dans l’hebdo « des têtes couillonnées et des glands de ce monde », pour reprendre l’expression de Jean-Jacques Peroni, expulsé des Grosses Têtes par le censeur socialo-sioniste Laurent Ruquier.

Les people, on le sait, ne sont pas les seuls à s’engouffrer dans la propagande et la haine antirusses. De nouvelles catégories intoxiquées par la propagande de l’OTAN entrent dans la danse :

Des dockers néerlandais ont refusé samedi de décharger un pétrolier contenant une cargaison de diesel russe à Amsterdam, au lendemain d’une action similaire qui avait empêché le navire d’accoster à Rotterdam. Le Sunny Liger, un pétrolier de 42 000 tonnes, est actuellement au mouillage au large d’Amsterdam. Vendredi, les dockers du port de Rotterdam ont également refusé de traiter sa cargaison.

Ces dockers qui ne se gênent pas pour décharger les armes de l’OTAN, et préférer l’OTAN à une armée européenne, les traîtres ! C’est vrai qu’ils accueillent chez eux, à Eindhoven, « le Commandement européen du transport aérien (EATC), qui vise à mutualiser les capacités de transport aérien militaire de 7 pays membres de l’UE et de l’OTAN » (Opex360)...