Pathétique Plenel ! Un gauchiste de l’arrière-garde répugnant de vieux paradoxes manipulatoires. Un écoeurement. Ménard, Bilger, Kahn, pas mal, mais pas assez de percussion. Il faut boxer ses adversaires, le temps n’est plus aux mondanités. Ce n’est pas à coups de petites tapes élégantes qu’ont brise les faux concepts, c’est au burin qu’on attaque le roc.

Répondre à ce message

Tu la vois Babylone Robert... Tu la vois maintenant...

Répondre à ce message

Je pense que nous vivons une époque très intéressante, où s’amorce une prise de conscience générale, on sent un frémissement de fronde chez les penseurs, et au sein des médias.

J’espère de tout coeur que cette vague va prendre de l’ampleur et que, encouragés par les quelques éclaireurs que sont Michel Collon, Rony Brauman, Dieudonné, Alain Soral, Robert Ménard, etc., de nombreux autres intellectuels et figures médiatiques vont se remettre à penser réellement et oserons dire cette pensée.

C’est de notre respnsabilité à chacun, de faire également de la pédagogie autour de soi, de partager des vidéos et bouquins avec nos proches (attention à y aller progressivement, certaines vérités peuvent susciter des réactions épidermiques), et diffuser de l’information de qualité sur Internet, voire créer du contenu original, si possible aboutit.

(L’attitude des journalistes/animateurs devient de plus en plus insupportable, il y a des baffes qui se perdent. Aucune maturité, aucune conscience professionnelle, aucun sens de l’honneur ni de la vérité...
Sous couvert de faire l’avocat du diable et de titiller les interlocuteurs pour les pousser dans l’expression du vrai, ils se comportent en vrais chiens de garde du système, prescripteurs de pensée dominante, pourfendeurs de toute idée originale ou hérétique).

Amitiés

Répondre à ce message

A cette émission, il y avais une phrase d’anthologie.
j’ai failli m"étouffer en l’entendant.

Je vous la cite de mémoire : "La préférence nationale, ca créé deux catégories de français"
dite par la greluche (je ne me rappelle plus de son nom)

Répondre à ce message

Des propos qui dérangent... ? qui dérangent-ils, entre l’enclume et la charité... ? la paix dans le monde... ? mais de quelle paix parlons nous... ? de peut être quelques enclumes qui se perdent... ? Perte de confiance... ?
http://latelelibre.fr/reportages/vo...
franchement loin du boostage de Vincent Reynouard... ?
Et pourquoi pas fausse propagande... ?
Lire Kapput de Malaparte ; tout est dit dans les dernière pages...
Tapez vous le pavé tout de même.
Ensuite aux choix du toujours le choix...

Répondre à ce message

En réponse à bruce...
mais oui... ; il suffit dans l’expression ; mais... encore... ?

Répondre à ce message

Soutient total à Ménard qui a le courage de s’opposer à tous ces clones du système. L’autre journaliste est d’une platitude scandaleuse, la pensée unique dans toute sa splendeur, on dirait qu’ils sortent tous de la même boite !
Il faut que de vrais gaulois se soulèvent face au fascisme du faux Bien !
Un de plus, qui va faire bouger les lignes et réveiller les consciences endormies !

Répondre à ce message

Et surtout j’ai envie de dire de quoi je me mêle. Le type a évoqué un aspect de sa vie privée (ses enfants), pas une prise de position politique (vie publique), et tout le monde lui chie dessus allègrement pour ça. Mais il fait ce qu’il veut chez lui et il éduque ses enfants comme il l’entend !

Répondre à ce message

"Nous vivons dans un monde d’idéologies nettement définies et nous sommes généralement capables de discerner les pensées hérétiques au premier coup d’oeil" écrivait George Orwell en 1948. Voilà donc le rôle des journalistes : pointer du doigt les hérétiques comme Ménard. c’est-à-dire tous ceux qui ne soumettent pas aux orthodoxies et aux "lignes de parti".
Et Orwell continue : "Il existe toujours une orthodoxie dominante : y contrevenir demande un caractère coriace [...] Manifestement, l’orthodoxie dominante, notamment parmi les jeunes est de "gauche". Les mots clés sont "progressiste", "démocrate", et "révolutionnaire", alors que les étiquettes qu’il faut à tout prix éviter de se voir accoler sont celles de "bourgeois", de "réactionnaire" et de "fasciste".

Avec cette vidéo - une de plus - nous est une nouvelle fois démontré que les journalistes ne sont pour la plupart (tous ?) que des rabatteurs au service du pouvoir. A la manière des témoins de Jéhovah, ils prouvent à l’évidence qu’ils sont incapables d’entendre une parole qui irait à l’encontre du discours qui les a formaté.

De tout coeur avec toi, Robert !

Répondre à ce message