Egalité et Réconciliation
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L’inquiétant Patrick Pelloux (Charlie, Bataclan) est pour la vaccination obligatoire des enfants

Plus rien ne doit nous étonner pendant la « pandémie » de covid, covid étant le nom de code de l’organisation mondialiste qui veut prendre le pouvoir sur les nations avec la complicité des gouvernements corrompus, l’argent de la Banque, les moyens de propagande du Big Tech et les dangereuses injections du Big Pharma.

 

Dernière surprise en date, l’irruption dans la balance (il faut faire plier les récalcitrants à la vaccination de masse) de l’urgentiste Patrick Pelloux, qui a été rendu célèbre pendant la canicule de l’été 2003 en allant sur tous les plateaux prêcher la parole syndicale et alerter sur l’état des urgences hospitalières. Depuis, il a découvert le premier ses amis morts pendant le massacre de Charlie le 7 janvier 2015 et participé à la répétition générale du Samu le matin du 13 novembre 2015 en cas d’attentats multisites...

« C’est à peine croyable, mais nous avons réalisé une sorte de répétition générale vendredi matin... Le scénario dramatique de vendredi soir faisait partie des hypothèses que nous avions travaillées », explique-t-il au JDD. « Nous avions planifié depuis plusieurs semaines, avec la brigade des sapeurs-pompiers et les huit Samu d’Île-de-France, un exercice baptisé “fusillade sur sites multiples”. C’est un travail sur carte, avec des ordinateurs, dans les locaux de la cellule de crise du Samu de Paris à l’hôpital Necker », poursuit le médecin chef du Samu de Paris. (France Info)

Toujours là où il faut...

À cette occasion, Patrick retrouve les plateaux télé, qu’il affectionne, et eux aussi puisqu’il fait partie des bons clients, c’est-à-dire des relais de la pensée dominante. Il se retrouve encore en pôle position dans l’opération de sauvetage, mais aussi de communication.

« J’espère qu’on a servi le mieux les blessés, les victimes et les familles ». Un peu moins de 24 heures après les terribles attaques qui ont touché Paris ce vendredi 13 novembre, le médecin urgentiste Patrick Pelloux, ancien contributeur de Charlie Hebdo, était présent sur le plateau du 20 Heures de France 2 pour donner des détails à propos du plan d’action mis en place par les services médicaux, hier soir, pour venir en aide aux blessés.

Visiblement très ému, il a tenu à signaler l’incroyable solidarité qui a permis de sauver des vies : « On a réussi à faire venir des Samu de toute la France en hélicoptère. Spontanément, les équipes sont venues au Samu et sont parties immédiatement sur le terrain. Je tiens à préciser que, spontanément, que ce soir les infirmières, les personnels médicaux, les brancardiers, les chirurgiens, les anesthésistes sont revenus dans les hôpitaux ». (Télé-Loisirs)

Trois événements tragiques, une canicule mortelle et deux attentats très meurtriers, auront poussé l’urgentiste sur le devant de la scène et fait de lui une figure médiatique. Pour le téléspectateur moyen, qui ignore tout de l’information profonde, Pelloux est un super docteur, toujours sur la brèche, qui se bat pour l’hôpital, pour ses collègues, et surtout, qui sauve des vies. C’est l’image positive qui a été fabriquée par les médias mainstream en 20 ans. Du coup, sa parole a du poids dans l’opinion, qui aujourd’hui hésite à se prendre une troisième injection (on parle pour la majorité des Français, soit 80 % environ) et qui renâcle à faire « vacciner » ses enfants (à 70 %).

 

 

Et curieusement, alors que l’on s’attendrait à un jugement non politique mais très thérapeutique de la part de Pelloux, voilà qu’il réapparaît dans les lucarnes pour pousser à la vaccination obligatoire des enfants, alors que tous les chiffres montrent que ces derniers ne risquent absolument rien avec ce variant grippal en fin de vie.

Quelque chose cloche. Si cette prise de position n’est pas scientifique, alors elle est politique. Dans ce cas, quel est le vrai rôle, au-delà de sa fonction officielle de soignant et de syndicaliste, de Patrick Pelloux ? Aurait-il quelque chose à cacher qui le force à tordre ses convictions, qui furent celles d’un vrai soignant ?

 

 

 

Ce revirement à 180 degrés nous rappelle celui de Philippe Val, chansonnier d’extrême gauche des années 70 qui prendra dans les années 90 le pouvoir, avec la complicité du dessinateur Cabu, sur le journal anar Charlie Hebdo, pour en faire en moins de 10 ans un brûlot américano-sioniste islamophobe. Une torsion idéologique qui pourrait s’expliquer par la proximité de Val avec le pouvoir sarkozyste, via son amie Carla Bruni et par le soutien direct de Sarkozy au journal incendié en 2011, mais ce serait rétroactif !, sinon par des affaires plus ténébreuses qui l’obligeraient à renier ses convictions profondes.

Or, on sait aujourd’hui que ce pseudo-vaccin ne soigne pas, mais Pelloux insiste.

« Moi, je suis un fervent partisan de la vaccination de masse en France »

 

Le contestataire Pelloux coche toutes les bonnes cases (oligarchiques) !

Il fait accessoirement passer la casse de l’hôpital derrière l’obligation vaccinale...

 

 
 
 
 
 
 
 
 

Patrick a-t-il un médicament contre les quintes de toux ?

 

À peine a-t-il pris la parole que des quintes de toux, nombreuses, répétées, se font entendre. L’urgentiste Patrick Pelloux, ancien collaborateur de Charlie Hebdo, continue son intervention, yeux baissés vers la feuille de son discours, qu’il lit d’un trait. Nous sommes le samedi 25 novembre. La scène se passe dans un des salons de l’Élysée. Emmanuel Macron y a convié 200 personnes – représentants d’associations, d’institutions, hommes et femmes politiques – à l’occasion de la journée contre les violences faites aux femmes, afin de proclamer «  grande cause du quinquennat  » l’égalité entre les femmes et les hommes.

Discours ponctué de toux incessantes, donc. A priori volontaires. Toux qui n’échappent à pas à Marlène Schiappa, secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes. Après avoir remercié Patrick Pelloux, elle se tourne vers l’assistance et lâche  : «  S’il y a des personnes qui ont des maux de gorges, il y a des verres d’eau à disposition dans la salle à côté. Au pire, la ministre de la Santé ici présente pourra vous prescrire quelque chose si vraiment ça perdure.  » Sa plaisanterie n’efface pas tout à fait le malaise. (Ouest-France)

Comme prévu, sur E&R :

 






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