Je compile ci-dessous les personnes et les groupes « défenseurs des Droits de l’Homme » les plus connus : beaucoup, voire la plupart, sont liés au Département d’État US et à des criminels comme George Soros.
[...]
Avaaz : « Avaaz est une organisation de cyberlobbying fondée en 2007 par Jeremy Heimans (maintenant PDG de Purpose) et d’autres personnes. Le financement de départ a été fourni par la fondation de George Soros. Ils ont joué un rôle important dans la promotion de politiques étrangères néolibérales conformes à la ligne du Département d’État américain. Avaaz a très activement promu une No Fly Zone en Libye. Ils sont en train de promouvoir très activement la même chose en Syrie. On trouvera ici des études sérieuses qui montrent ce qu’Avaaz est en réalité. [...] [1] »
Amnesty International (AI) : « AI prend de l’argent à la fois à des gouvernements et à des sociétés privées dont la plus fameuse, Open Society, est dirigée par le criminel financier condamné George Soros (son Open Society finance également Human Rights Watch et une myriade d’autres défenseurs « des droits de l’homme »). Suzanne Nossel , directrice d’AI-USA, par exemple, vient directement du Département d’État américain. Le site web d’AI mentionne précisément le rôle de Nossel derrière les résolution onusiennes, soutenues par le Département d’État, relatives à l’Iran, la Syrie, la Libye et la Côte-d’Ivoire. Les “contributions” de Nossel consistaient tout simplement à déguiser l’agression militaire pure et dure et la poursuite de l’hégémonie économico-financière mondiale sous le couvert de défense de “droits de l’homme”. [2] » [...]
Médecins Sans Frontières (MsF) :« Est entièrement financé par les mêmes intérêts économico-financiers derrière la politique étrangère commune de Wall Street et de Londres, y compris le changement de régime en Syrie et en Iran. Le rapport annuel 2010 de MsF indique comme donateurs financiers : Goldman Sachs, Wells Fargo, Citigroup, Google, Microsoft, Bloomberg, Mitt Romney’s Bain Capital et une multitude d’autres intérêts économico-financiers. MsF compte des banquiers dans son comité consultatif, comme Elizabeth Beshel Robinson de Goldman Sachs. Ce qui complique davantage les prétentions à “l’indépendance” et à “l’assistance”, c’est le fait que leurs installations médicales se trouvent dans des régions de Syrie tenues par des terroristes, en particulier le long de la frontière nord de la Syrie avec la Turquie, membre de l’OTAN. [...] [3] »