En 1997, l’ONU, est composée de 39 organismes situés dans 16 pays différents.
Ont-ils une fabrique de technocrates ? La réponse est oui.
L’Université des Nations Unies (UNU) dont toute la structure est à Tokyo.
Via cette université, on peut faire des études partout dans le monde : Canada, Etats-Unis (2 sites), Finlande, France, Ghana, Inde, Islande (3 sites), Japon (2 sites), Jordanie, Macao, Pays-Bas, Royaume Uni, Vénézuéla.
Mais l’UNU n’est pas à la portée de toutes les bourses. Seuls les fils et les filles des initiés adhérant à la mondialisation sont sûrs d’avoir un emploi et une carrière de haut niveau au sein de l’ONU.
L’ONU contrôle les programmes scolaires, la propriété intellectuelle, l’armement des nations et régit les lois agraires de la planète.
La convention de Paris datée de 1884, amena quatorze États à créer un Bureau international chargé d’assurer les tâches administratives en matière de droits d’auteur. Les droits d’auteur arrivèrent sur la scène internationale en 1886 à Berne, en Suisse avec la Convention de Berne pour la protection des œuvres littéraires et artistiques. En 1893, ces deux petits bureaux fusionnèrent pour former une organisation internationale appelée Bureaux Internationaux Réunis pour la Protection de la Propriété Intellectuelle (BIRPI). Comme à l’époque la science reposait sur des découvertes, disons individuelles, les inventeurs faisaient enregistrer leurs inventions respectives à Berne au (BIRPI).
En 1974, le BIRPI est devenue partie intégrante de l’ONU sous le nom de l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI). Auparavant l’ILLUMINATI s’était assuré la mainmise sur cette richesse dans le Grand Œuvre comme :
• (1925) arrangement de la Haye,
• (1960) transfert des BIRPI à Genève,
• (1967) convention de l’OMPI,
• (1970) création de l’OMPI et traité de coopération en matière de brevet.
Dans les années 1890, en pleine période d’industrialisation, les parts de marché des "grands argentiers" furent divisées entre eux. Des agents visitaient les bureaux d’enregistrement des inventions et entraient en contact avec les hommes de science qui les intéressaient.
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Thémistoclès
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et 
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Comores (à la fin de la 74ème session de l’Assemblée générale)
