Les événements se sont précipités depuis l’échange de Washington entre Trump, Vance et Zelensky. L’ex-président ukrainien est reparti groggy vers l’Europe chercher le soutien qu’il a perdu aux États-Unis. On raconte même qu’il a refilé à la Grande-Bretagne cent ans d’exploitation des terres rares !

Le plan à 800 milliards... pris dans notre poche

D’une seule voix, menés par le couple Macron-Starmer chapeauté par l’ignoble Leyen, les européistes se sont entendus pour soutenir l’Ukraine jusqu’à la mort, du moins tant que ce sera possible. Avec quel argent ? Le nôtre. Avec quelles armes ? Celles qu’on va fabriquer, puisque Leyen promet des investissements massifs dans l’industrie de l’armement. Car, dit-elle, « il est de notre intérêt commun de prévenir les guerres futures ». Prévenir ou préparer ?

Avant de quitter le territoire américain, une fois dégrisé de sa coke, Zelensky a tenté de rattraper le coup sur Fox News, mais le mal était fait. Quand Trump se fâche, il a la rancune tenace.

Dans la lignée de la rencontre houleuse du 28 février 2025, le président US, le 4 mars 2025, soit à peine trois jours plus tard, décide de couper les vivres à l’Ukraine. C’était pourtant prévisible, mais toute la propagandasphère hurle au lâchage, à la trahison, à la fin de l’Occident.

L’Europe se retrouve seule avec le bébé ukrainien sur les bras. Et l’Ukraine, ce n’est pas seulement un pays qui a perdu vingt millions d’habitants en trente ans, et dix depuis trois ans : c’est le pays de toutes les corruptions, de tous les trafics.

Malgré cela, Leyen annonce pour le 6 mars un plan de réarmement massif de l’Europe. Mais avec quel argent ? Celui des 450 millions d’Européens, qui vont de gré ou de force cracher au bassinet. Malgré la crise énergétique, la crise migratoire, la crise de la représentation, c’est-à-dire l’effondrement de la confiance des peuples vis-à-vis de leurs dirigeants.

Europe, la nouvelle Syrie ?

Le budget de l’UE a depuis longtemps échappé aux citoyens, les sociaux-traîtres de la Commission en font ce qu’ils veulent. Ils l’ont dilapidé dans de faux vaccins, ils vont maintenant le faire partir en fumée via les marchands de canons, et la reconstruction sera pour les mêmes, BlackRock et compagnie. Une production massive de morts est à craindre.

La France, qui est mal en point économiquement, va devoir payer très cher cette décision du trouple Leyen-Macron-Starmer. N’oublions pas que nous sommes en première ligne, si nous nous en prenons à la Russie, en tant que puissance nucléaire.

« Des sommes ensuite reversées aux épargnants », annonce la sympathique voix off, déjà complice de l’arnaque à venir... On serait épargnants, on retirerait tout de suite notre fric ! Ça sent le très grand braquage.

Le tableau est simple : une classe dirigeante européiste corrompue et désavouée n’a plus que la guerre contre la Russie pour faire bloc, union sacrée, et sauver ses prébendes, ce qui inclut ses fesses. Cette gouvernance aussi ignoble que délirante a été trop loin, et le coup d’arrêt trumpo-poutinien sonne le glas de l’UE.

Même si elle fait la guerre, la tyrannie européiste a déjà perdu. On le voit à sa panique, à sa réunionite stérile. Son armée de larbins, toute cette classe médiatique elle aussi corrompue, a du mal à avaler la nouvelle et brutale réalité, à savoir le changement de paradigme russo-américain. Pour les gauchistes, c’est-à-dire les borgnes, c’est un choc.