Le Monde et Mediapart révèlent que l’un des documents récemment déclassifié étaye la théorie soutenue par le juge Marc Trévidic, qui a d’emblée écarté la piste terroriste dans son instruction.
Une information qui vient relancer un dossier déjà très sensible. Les services secrets français doutaient dès le jour de l’attentat de Karachi au Pakistan, le 8 mai 2002, de la responsabilité d’al-Qaida et évoquaient une « piste financière » liée à un contrat d’armement franco-pakistanais, révèle une note récemment versée à l’enquête.
Après avoir longtemps privilégié la thèse islamiste, les enquêteurs français se sont lancés, depuis 2009, sur la piste d’un mobile financier pour expliquer cet attentat qui a causé la mort de 15 personnes, dont 11 salariés français de la Direction des constructions navales (DCN).
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